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Paru dans la revue Revue des politiques sociales et familiales, n° 120, 2ème trimestre 2015, pp. 63-70.
Mots clés : Ecole-Enseignement, Accueil périscolaire, Enseignement préscolaire, Mode de garde, Analyse comparative, EUROPE
À l’heure où la réforme des rythmes éducatifs suscite, en France, un intérêt renouvelé pour les activités périscolaires, il paraît utile de procéder à une analyse conjointe des services préscolaires et périscolaires en Europe. La littérature existante traite ces deux thèmes, en règle générale, de manière séparée, alors qu’ils répondent à des problématiques communes. L’enjeu de cette étude est notamment de déterminer s’il existe une corrélation entre le développement de ces deux types de services.
Article de Pierre Yves Bernard, Maryse Esterle, Reda, et al.
Paru dans la revue Les Cahiers dynamiques, n° 63, juin 2015, pp. 4-147.
Mots clés : Ecole-Enseignement, Échec scolaire, Difficulté scolaire, Protection de l'enfance, École, Insertion professionnelle, Absentéisme scolaire, DECROCHAGE SCOLAIRE
La scolarité des mineurs et leur insertion professionnelle sont des éléments centraux des missions de la Protection judiciaire de la jeunesse. Or on constate qu’une part importante des jeunes concernés de moins de 16 ans, donc soumis à l’obligation scolaire, sont déscolarisés. Décrochage, raccrochage, rupture scolaire… les mots ne manquent pas pour définir des problématiques complexes aux enjeux à la fois sociétaux, institutionnels et individuels. Qui sont les « décrocheurs » ? Comment comprendre leurs parcours scolaires en regard de leurs parcours de vie ? Quels liens établir entre absentéisme, déviance et délinquance ? Quels types de partenariats, d’outils et d’espaces, les acteurs du travail éducatif peuvent-ils partager pour encourager les jeunes à reprendre une scolarité et pour favoriser leur insertion professionnelle ?
Paru dans la revue Thérapie familiale, vol. 36, n° 1, janvier-mars 2015, pp. 85-98.
Mots clés : Ecole-Enseignement, Enfant, Lien social, Relation, Identité, Groupe d'appartenance, École, Adaptation, Altérité, Conscience de soi
« Être écolier » n’est qu’une appartenance parmi d’autres... lorsque tout va bien. Mais tel n’est pas toujours le cas. L’auteure se propose d’explorer ces problématiques d’enfants n’arrivant pas à s’adapter à l’école du fait de difficultés : à se constituer une identité propre par défaut d’individuation (du fait du manque de « désadaptation » des parents – au sens donné par Winnicott –) et à développer un réel sentiment d’appartenance (en lien avec l’entrée dans la Loi, la notion d’altérité, la capacité d’empathie, etc.). Puis elle expose une méthodologie de collaboration avec les parents et l’enseignant de façon à aider l’enfant à franchir ces étapes du « grandir » afin qu’il puisse trouver sa juste place à l’école... gage de sa capacité à trouver plus tard une juste place dans la société.
Ce livre apporte une réponse aux différentes questions que pose la mise en oeuvre de la pédagogie Freinet au XXIème siècle. Pédagogue et instituteur français, Célestin Freinet (1896-1966) est le fondateur du mouvement de l'École moderne. Freinet a créé une pédagogie dotée d'une originalité propre.
Le Liban, pays de dix-huit communautés religieuses officiellement reconnues par l’État, a subi, à partir de 1975, une terrible et sanglante guerre civile qui a duré une quinzaine d’années. Ces communautés religieuses s’entre-déchirent jusqu’à présent pour créer un Liban à leur image. La liberté de l’enseignement approuvée par la constitution permet à chaque communauté religieuse d’avoir ses propres institutions scolaires et son propre projet d’éducation. De ce fait, l’éducation à la citoyenneté impose des épreuves à tous les Libanais ainsi qu’aux différentes écoles. En effet, le Libanais appartient d’abord à sa communauté religieuse, puis à sa famille politique et enfin au Liban. Comment peut-on donc arrêter un programme pour éduquer les nouvelles générations à une citoyenneté nationale et non communautaire ?
A aucun moment de son histoire et dans aucun de ses effets l'école n'est réductible à une seule fonction. (...) Ce sont les paradoxes de l'"école démocratique " qu'analysent les sociologies contemporaines : formes nouvelles de sélection, stratégies déployées par les familles, relations problématiques des élèves au statut scolaire, importance du jeu des acteurs et de la gestion locale des établissements. Jean-Manuel de Queiroz est professeur de sociologie de l'éducation à l'Université de Rennes-2 Haute-Bretagne