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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 151 à 160 sur un total de 179

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Pour une sociographie partagée. D’un outil de formation en travail social à une méta-innovation sociale

Article de Marie Eve Humery

Paru dans la revue Forum, n° 150, février 2017, pp. 16-31.

Mots clés : Travail social : Formation, Expérimentation, Innovation sociale, Travail social, Pédagogie, Formation, Travailleur social

Je propose ici la notion et l’approche sociographie partagée à la fois en tant qu’épistémologie et méthodologie pour former des travailleurs sociaux (des éducateurs spécialisés, jusqu’ici), mais aussi en tant qu’outil ou médiation éducatifs, et enfin, en tant qu’approche globale pouvant être utilisée pour développer l’expérimentation et l’innovation sociale, c’est à dire en tant que méta-innovation sociale.

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De la Bildung à la citoyenneté existentielle : Une approche franco-allemande de l'éducation des travailleurs sociaux

Article de Nathanaël Wallenhorst

Paru dans la revue Le Sociographe, hors-série n° 9, décembre 2016, pp. 55-70.

Mots clés : Travail social : Formation, Formation, Travailleur social, Politique, Citoyenneté, Éducation, Méthode pédagogique, Allemagne, France

Cette contribution se situe dans le champ de l'anthropologie politique et a pour objectif de travailler une approche franco-allemande de la formation des travailleurs sociaux. Un dialogue conceptuel d'une mise au travail de l'univers notionnel allemand de la bildung et celui, plus français de la citoyenneté est proposé afin d'aboutir à la notion de citoyenneté existentielle.

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Coopération dans un espace culturel et social : Le séminaire RECOS

Article de Dominique Kern

Paru dans la revue Le Sociographe, hors-série n° 9, décembre 2016, pp. 203-214.

Mots clés : Travail social : Formation, Coopération internationale, Organisme de formation, Identité professionnelle, Apprentissage, Approche systémique, France, Suisse, Allemagne

La coopération RECOS réunie des hautes écoles du travail social des trois pays du Rhin supérieur (Allemagne, France, Suisse) situées à Bâle, à Freiburg, à Mulhouse et à Strasbourg. L’article constitue une présentation sur la base d’un récit d’expérience structuré méthodologiquement par quelques éléments de la théorie systémique. L’auteur ayant eu différents rôles en lien avec la coopération, son regard sur l’objet est celui d’un proche sans objectivité revendiquée.

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Expérience de l'altérité : Voyage d'étude à Berlin

Article de Pauline Dorgler

Paru dans la revue Le Sociographe, hors-série n° 9, décembre 2016, pp. 185-190.

Mots clés : Travail social : Formation, Mobilité professionnelle, Formation, Travailleur social, Altérité, Identité professionnelle, Témoignage, Allemagne, Berlin

Le texte présente l'expérience d'une étudiante éducatrice spécialisée partie à Berlin pour réaliser un stage dans le cadre de sa formation d'éducatrice spécialisée. L'auteur nous explique l'intérêt que représente ce temps de formation pour la construction de son identité professionnelle.

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Quelle formation initiale et continue pour les professionnels éducatifs travaillant en IME ?

Article de Philippe Heim

Paru dans la revue Empan, n° 104, décembre 2016, pp. 66-70.

Mots clés : Travail social : Formation, IME, Formation initiale, Formation professionnelle continue, Compétence professionnelle, Évaluation, Travailleur social, Tutorat, Motivation

La fonction éducative au sein des IME ouvre à toute une série de questionnements, tant sur la transformation du secteur que sur les acteurs de ces institutions, sur les modèles de la formation professionnelle et les formes d’engagement professionnel.
Il est question aujourd’hui de formation tout au long de la vie et les professionnels dits de terrain ont une part très importante dans la qualification des nouveaux venus. Apprendre à se définir comme professionnel implique un mode de socialisation fort et les IME ne peuvent être considérés comme des structures stables et homogènes.

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Regards croisés sur l'expérience en tant qu'hommes d'étudiants québécois et chiliens durant leur formation universitaire en travail social

Article de Oscar Labra, Isis Chamblas, Pierre Turcotte

Paru dans la revue Le Sociographe, n° 56, décembre 2016, pp. 121-132.

Mots clés : Travail social : Formation, Étudiant, Travail social, Relation femme-homme, Profession, Motivation, Identité culturelle, Québec, Chili

Les résultats de deux recherches portant sur les motivations, les obstacles et les points d’ancrage, réalisée auprès de 13 étudiants hommes en travail social de l’UQAT et 13 autres inscrits dans un programme de travail social dans une université chilienne, donnent accès à des regards croisés et complémentaires sur des dimensions liées aux motivations, aux obstacles et aux points d’ancrage dans leur parcours universitaire. Sur le plan de motivations, bien qu’elles ne soient pas les mêmes pour eux, elles sont variées et associées aux trajectoires de vie. En ce qui trait aux barrières et obstacles, les résultats ont montré dans les deux groupes d’hommes une dimension commune : l’influence historique, culturelle et sociétale liée à la dimension de genre. Force est de constater particulièrement chez les hommes chiliens une sorte d’obstacle faisant allusion à une certaine méconnaissance et la dévalorisation du travail social. Or, les points d’ancrage qui font que ces hommes chiliens et québécois s’investissent dans le travail social sont variés et se vivent de façon différente selon leur parcours de vie.

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"Le ça-voir" du superviseur

Article de Yannick Guillaume

Paru dans la revue Le Sociographe, n° 56, décembre 2016, pp. 111-120.

Mots clés : Travail social : Formation, Résistance, Théorie, Parole, Formation, Travail social, Supervision, Contre-transfert

La supervision n’est pas neutre quand elle engage des processus transférentiels et contre-transférentiels devant être décodés pour savoir ce qui se joue dans l’implication au sein des champs de la formation en travail social.
Pour ce faire, il me parait intéressant d’aborder la question au regard de deux angles de lecture : le savoir comme bouée de sauvetage et la question du contre-transfert. Dans ces deux espaces, ils y circulent alors la parole et le silence dans un cadre contenant et fiable permettant un jeu de variables à condition de savoir ce que l’on bouge et pourquoi on le bouge.

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L’interculturalité dans les formations de l’action sociale‪

Article de Marcel Jaeger, Mohamed Madoui, Marie Poinsot

Paru dans la revue Hommes et migrations, n° 1315, juillet-août-septembre 2016, pp. 113-116.

Mots clés : Travail social : Formation, Immigration-Interculturalité, Travail social, Formation, Interculturel, Immigration, Réfugié, Action sociale, Cnam

Entretien avec Marcel Jaeger, titulaire de la chaire de travail social et d’intervention sociale du Cnam, et Mohamed Madoui, professeur de sociologie au Cnam. Comment les formations du Cnam dans le domaine de l’action sociale prennent-elles en compte les phénomènes des migrations ?

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Formation des travailleurs sociaux : état critique

Article de Michel Chauvière

Paru dans la revue Journal du droit des jeunes, n° 356-357, juin-septembre 2016, pp. 38-40.

Mots clés : Travail social : Formation, Formation, Travail social, Évolution, Profession

En France, la question de la formation des professionnels du social est récemment devenue un problème public après avoir été sciemment négligée par les tutelles politico-administratives pendant plusieurs décennies. Pour autant, lesdits États généraux du travail social et les différents rapports, parfois non diffusés (commission paritaire consultative - CPC, Groupe Lafayette, député Bourguignon, etc.) qui ont conduit au plan d’action gouvernemental d’octobre 2015 posent bien mal le problème et les solutions préconisées restent très discutables.
Dans tous ces travaux préparatoires, l’entrée choisie est double : d’une part, par les équipements (établissements, services, dispositifs…) et leur soi-disant nécessaire adaptation économique (à grand renfort de management et de bonne gestion) tant aux contextes de tassement des ressources financières qu’aux besoins évolutifs des dits usagers, d’autre part, par les opérateurs/employeurs (collectivités locales, ex-associations gestionnaires, dominants à la CPC, mais aussi entreprises sociales lucratives) et par la soi-disant adaptation indispensable des salariés à l’état de l’emploi.
Cette lecture utilitariste de la formation, dite aussi réingénierie, a un effet structurel presque ordinaire : le renforcement de la division interne du travail social entre cadres et exécutants et un double effet conjoncturel délétère : la liquidation des métiers historiques du travail social et la réduction en valeur relative de l’importante masse salariale indispensable à des activités où des humains rencontrent d’autres humains.

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La formation des travailleurs sociaux

Article de Martine Pottier

Paru dans la revue Journal du droit des jeunes, n° 356-357, juin-septembre 2016, pp. 35-37.

Mots clés : Travail social : Formation, Formation, Travailleur social, Changement

La formation des travailleurs sociaux répond au besoin pour l’État qui est le garant des politiques sociales, de pouvoir compter sur des professionnels de l’action sociale dans la mise en œuvre de missions ou de dispositifs au bénéfice de personnes qui, pour des raisons diverses, ne peuvent être autonomes dans tout ou partie de pans de leur existence (handicap, absences de ressources, problématiques psychosociales, insertion dans l’activité économique, accès aux soins, etc.)
L’action sociale, entendue comme l’ensemble des dispositifs existant aujourd’hui, s’est progressivement construite depuis le XIXème siècle à partir des idées promues par les philosophes des Lumières, et principalement sur celle que tout citoyen a droit de s’exprimer et prendre part aux décisions qui gouvernent sa vie.
C’est donc à la société de veiller à ce que les droits de chacun soient pris en compte ; dans le cas contraire, on a affaire à des phénomènes d’injustice qu’il convient de réduire. C’est ici la raison d’être de l’action sociale. Les travailleurs sociaux sont donc l’expression du gouvernement dans la réduction des inégalités et l’évitement de l’exclusion qui produit la fracture sociale.

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