Documentation sociale

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Et si les écrans nous soignaient ? Psychanalyse des jeux vidéo et autres plaisirs

Livre de Michael Stora, édité par Erès, publié en 2018.

Mots clés : Culture-Loisirs, Psychologie, Dépendance, Addiction, Jeu vidéo, Santé, Médecine, Thérapie, Traitement médical, Technologie numérique

Dans cette réédition actualisée de son ouvrage Guérir par le virtuel, Michael Stora s’appuie sur son expérience personnelle pour analyser notre rapport inconscient aux écrans qui, en quelques années, ont connu une véritable révolution en devenant interactifs (télévision, ordinateur, jeux vidéos, smartphones, réseaux sociaux…)
L’auteur dresse un état des lieux de nos diverses pratiques numériques, qu’il interprète comme de nouvelles manières de jouer avec nos représentations, sans aucun jugement moral. Avec l’aide de nombreuses vignettes cliniques, il montre en quoi ces usages numériques bouleversent notre rapport à l’autre mais aussi à nous-mêmes. En tant que pionnier français, il expose son utilisation de jeux vidéo comme médiation numérique auprès de jeunes ou de moins jeunes en souffrance psychique. Entre pratique et théorie, il partage ses réflexions sur la nouvelle clinique des addictions au numérique, qu’il considère comme révélatrice d’une société en pleine évolution, où l’Idéal du Moi semble avoir gagné du terrain sur le Surmoi.

Le pouvoir des contes

Livre de Bernard Chouvier, édité par Dunod, publié en 2018.

Mots clés : Culture-Loisirs, Conte, Enfant, Émotion, Initiation, Adolescent, Identité, Identification, Psychanalyse, Symbolique, Mythe, Livre pour enfant, Culture populaire, Imaginaire

Le conte nous accompagne toute notre vie. Pendant l’enfance, leur puissance imaginaire comble les périodes d’ennui, et leur pouvoir émotionnel ponctue les situations familiales difficiles. A l’adolescence, ils sont un recours et un secours possibles pour ce passage identitaire douloureux. Puis, devenus parents, c’est la redécouverte de la chaleureuse présence du conte, à travers le regard émerveillé des enfants. Au plaisir du conte est l’ouvrage d’un psychanalyste passionné depuis l’enfance par les contes et leur pouvoir « magique ». Écrit à la première personne, émaillé de souvenirs personnels, cet ouvrage nous fait pénétrer intimement dans cet univers et ses infinies ressources. Fantastique, énigmatique, effrayant, ambivalent, B. Chouvier décrit chacun des personnages (lutins, diable…) qui peuplent les contes ; il en décrit les caractéristiques et en présente une histoire. Il donne à voir deux contes traditionnels (Petit Chaperon rouge, Cendrillon) et décrit les lieux habituels des contes (montagne, forêt…). En filigrane, il analyse la portée symbolique de tous ces éléments et donne ainsi des clefs pour mieux nous comprendre.

Social, la presse en rade

Article de Christophe Robert

Paru dans la revue Le Journal des acteurs sociaux JAS, n° 223, janvier 2018, pp. 14-20.

Mots clés : Culture-Loisirs, Presse, Danger, Gestion financière

L'heure n'est pas à la fête du côté de la presse écrite en général et de la presse sociale en particulier. Diminution des recettes publicitaires, changements d'habitudes des lecteurs ou encore omniprésence du Web, difficile pour le papier de tirer son épingle du jeu sans prendre de nouvelles orientations. D'autant que celles-ci peuvent être bien différentes. Pour les ASH, titre leader du secteur, c'est la voie de l'économie qui a été choisie. D'autres journaux ont fait un choix différent. Mais quelle que soit l'option choisie, la qualité de l'information ne saurait être négociée. Aux lecteurs de trancher.

Et si la lecture c'était ça aussi ?

Article de Bernard Friot, François Simon

Paru dans la revue Vers l'éducation nouvelle, n° 569, janvier 2018, pp. 71-74.

Mots clés : Culture-Loisirs, Lecture, Livre pour enfant, Littérature, Littérature orale

Auteur jeunesse, Bernard Friot affirme une position radicalement opposée à celle défendue par la majorité des auteur.e.s, il expose avec ses arguments sa définition de la lecture. Une approche particulière qui détonne dans le paysage du cénacle de "la charte des auteurs".

Mineurs non accompagnés : de l'embolie à l'embellie ?

Paru dans la revue Le Journal des acteurs sociaux JAS, n° 222, décembre 2017, pp. 24-31.

Mots clés : Culture-Loisirs, Mineur isolé étranger, Traitement statistique, Droit de la famille, Majorité

L'arrivée sur notre territoire de mineurs étrangers sans attache familiale n'est pas un phénomène nouveau. Ce qui l'est, en revanche, c'est l'explosiion de leur nombre, avec toutes les détresses qui accompagnent leurs situations. Chargés de mettre en œuvre leur protection, les départements ont d'autant plus de mal à assumer leur mission que les profils de ces jeunes nécessitent des réponses nouvelles. Fort heureusement, ils ne baissent pas les bras et l'Etat s'engage à mieux les soutenir. Peut-on y voir un signe d'espérance ?

Des jeux pour le bien-être et le bien-vivre

Article de Stéphanie Berteau

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 27, octobre-décembre 2017, pp. 9-10.

Mots clés : Culture-Loisirs, Grand âge-Vieillissement, Jeu, Loisir, Jeu collectif, Jeu de société, Personne âgée, Bien-être, Équipe soignante, Maladie d'Alzheimer, Motricité, Thérapie

Les limites de la prise en charge médicamenteuse ont ouvert la voie à différentes formes de soutien thérapeutique et d'activités procurant bien-être et bien-vivre aux personnes âgées. Nous avons à portée de main une ressource universelle, millénaire et incroyablement bénéfique : le jeu. Cette activité répond à merveille aux attentes des aidés et des aidants ainsi qu'aux spécificités de ce public. Elle s'insère aisément dans leur quotidien, elle s'inscrit dans leur temps libre, pour que celui-ci ne soit pas un temps vide, douloureux et isolé.

Le jeu : adapter et ne pas infantiliser

Article de Alexandra Marquet, Caroline Cattanéo, Cécile Bacchini, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 27, octobre-décembre 2017, pp. 11-22.

Mots clés : Culture-Loisirs, Grand âge-Vieillissement, Jeu, Loisir, Jeu collectif, Jeu de société, Activité, Personne âgée, Dépendance, Déficience cognitive, Bien-être, Jouet, Animation, Atelier, Maladie d'Alzheimer

Jouer de 7 à 77 ans ? Contrairement aux préjugés, les jeux ne sont pas uniquement réservés aux enfants. En tant qu'adulte, on joue d'ailleurs entre amis... Alors pourquoi faudrait-il cesser de jouer quand la dépendance s'installe ? Les jeux sont connus des professionnels pour être un bon médiateur à condition toutefois de respecter certaines règles : trouver un environnement calme et isolé, adapter le jeu tout en adoptant une attitude bienveillante et non infantilisante. Loin du soin, le jeu a pris une place centrale avec en ligne de mire le bien-être des personnes souffrant de troubles cognitifs.

Jouer, un jeu d'enfant ?

Article de Rachel Le Méhauté

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 27, octobre-décembre 2017, pp. 25-26.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Culture-Loisirs, Jeu, Jeu collectif, Activité, Personne âgée, Vieillissement, Déficience cognitive, Handicap sensoriel, Dépendance, Dignité, Plaisir, Animation

A priori, proposer des activités ludiques paraît simple. Et pourtant... Les personnes âgées désorientées se trouvent confrontées à une accumulation de pertes : aux déficits auditifs, visuels ou moteurs, liés au vieillissement, s'ajoutent les déficits cognitifs. Dans les maladies neurodégénératives, de nombreuses fonctions sont atteintes : se concentrer, comprendre le sens d'un jeu, reconnaître la fonction d'un objet, raisonner et planifier son action, effectuer les gestes adaptés pour réussir, se repérer dans l'espace, verbaliser...

Les jeux de mémoire sur tablette numérique

Article de Liza Bousquet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 27, octobre-décembre 2017, pp. 27-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Culture-Loisirs, Jeu, Technologie numérique, Mémoire, Personne âgée, Dépendance, Vieillissement, Déficience cognitive, Internet, Accompagnement, Stimulation

Le principal intérêt des tablettes tactiles est la possibilité d'accéder à Internet facilement et de façon plus conviviale. L'utilisation des tablettes constitue véritablement un outil clé afin de lutter contre les effets du vieillissement cognitif. Elles permettent une utilisation adaptée sans oublier le plaisir du jeu et une utilisation durable. L'accompagnement des personnes atteintes de troubles cognitifs a des caractéristiques propres et l'emploi de jeux sur tablettes numériques peut être très riche et avec des résultats probants.

Quelles activités à l'intérieur ?

Article de Alexandra Marquet, Véronique Gerbelot, Yves Cougoule, et al.

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 12, novembre-décembre 2017, pp. 7-18.

Mots clés : Culture-Loisirs, Grand âge-Vieillissement, Animation sociale, Animation, EHPAD, Personne âgée, Personne handicapée, Établissement social et médicosocial, Dépendance, Déficience cognitive, Activité, Projet d'établissement, Accompagnement, Lien social, Bien-être, Inclusion

Gymnastique douce, atelier mémoire, jeux de société, chorales, pâtisseries... Les activités sont de plus en plus diversifiées à l'intérieur des établissements médico-sociaux. Si pendant longtemps, les structures ont été avant tout des lieux de soins, elles sont progressivement devenues des lieux de vie où les personnes sont accompagnées selon leurs besoins, leurs habitudes de vie sans oublier leurs envies.
L'individualisation est en marche dans le collectif, impulsée par le projet d'accueil personnalisé. L'enjeu est de sortir de l'idéologie : il ne s'agit pas de proposer des rendez-vous sans écouter les envies des résidents ou des usagers ; ce qui n'est pas toujours simple à l'heure où les Ehpad accueillent de plus en plus de personnes dépendantes, souffrant de troubles cognitifs. Du côté des foyers pour personnes en situation de handicap, lorsque la personne est discommunicante, toute la difficulté est de pouvoir apprendre à la connaître, à décrypter sa communication pour pouvoir ensuite répondre à ses vraies demandes. Ce recueil d'informations doit se faire en lien avec les aidants familiaux et au fil du temps avec les professionnels qui connaissent de mieux en mieux la personne accompagnée.
Evidemment, l'inclusion est aujourd'hui sur toutes les lèvres... Reste que dans la réalité, il n'est pas toujours possible d'évoluer en milieu ordinaire, compte tenu de la dépendance de la personne ou encore des effectifs des équipes. L'intérieur et l'extérieur ne doivent pas s'opposer, mais être complémentaires. Le défi est de prévoir des activités pour chacun, des moments collectifs qui permettront de partager, des moments individualisés qui redonneront à la personne toute sa singularité. (...)