Documentation sociale

Vous êtes étudiant, professionnel, enseignant, documentaliste, chercheur en travail social ?
Accédez ici à tous les outils de PRISME vous permettant de chercher de la documentation et de suivre une veille documentaire spécialisées dans le secteur des sciences sociales et de l'action sociale.

Réponses 41 à 50 sur un total de 331

Votre recherche : *

Le bénévolat d'entreprises : un renouvellement de l'engagement dans l'action collective pris entre recherche de sens et essor des entreprises sociales

Article de Camille Morel, Sébastien Poulain

Paru dans la revue Nouvelle revue de psychosociologie, n° 32, automne 2021, pp. 163-179.

Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Association, Bénévolat, Coopérative, Délégation, Économie, Économie sociale et solidaire, Entreprise, Évolution, Implication personnelle, Institution, Modèle, Motivation, Service public, Témoignage, Travail

Les associations détenaient le monopole de la délégation de service public en assumant des missions d’intérêt général et accueillaient donc l’ensemble des bénévoles qui s’impliquaient dans des causes dites sociales. Mais les lois ess et pacte ont confirmé une évolution du rôle social confié aux entreprises en les légitimant dans leur position au service de l’intérêt général. Dès lors, les entreprises commencent à s’intéresser aux bénévoles et vice versa, occasionnant ainsi un renouvellement des formes de l’engagement. L’objet du présent article est d’étudier ces nouveaux « bénévoles d’entreprises » et d’analyser les modalités de ces contributions en s’intéressant à leur vécu de cette évolution.

Accès à la version en ligne

Richesses et ambiguïtés du travail bénévole

Article de Nicolas Da Silva, Pascale Molinier, Jean Yves Briard, Lucie Lepoutreet al.

Paru dans la revue Nouvelle revue de psychosociologie, n° 32, automne 2021, pp. 9-179.

Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Bénévolat, Capitalisme, Conditions de travail, Coopération, Économie, Économie sociale et solidaire, Éthique, Étude de cas, Insertion sociale, Organisation du travail, Psychosociologie, Recherche, Reconnaissance, Rémunération, Service public, Travail

Travail militant, travail associatif, travail syndical, pair-aidance, stages non rémunérés, les formes du travail bénévole sont nombreuses et concernent des populations variées, le bénévolat venant scander des itinéraires de chômeurs, retraités, étudiants, salariés mais aussi de personnes concernées par une maladie chronique ou un stigmate, ou encore de salariés venant chercher du sens dans une autre activité que celle pour laquelle ils ou elles sont rémunérées. Le travail bénévole est ainsi sur le fil du rasoir entre la gratuité du don, l’autonomie militante, les marges de créativité autorisées, d’un côté ; l’instrumentalisation et l’exploitation des « bonnes volontés » au détriment de la qualité des emplois, de l’autre. Le bénévolat donne à voir les contradictions du travail dans un univers capitaliste : payer, c’est marchandiser (les affects, l’engagement citoyen…), et ne pas payer, c’est exploiter. Mais si la simple recherche de maximisation du profit monétaire n’explique pas la motivation bénévole, ce sont donc des idéaux, des valeurs, mais également la recherche d’un plaisir ou d’une satisfaction, voire un intérêt secondaire qui orientent l’engagement dans le travail. Dans une approche pluridisciplinaire, sont présentées des analyses qui problématisent les tensions caractéristiques du travail non rémunéré, dans ses dimensions psychiques, sociales ou économiques mais aussi anthropologiques ou historiques.

Accès à la version en ligne

Cohortes d'enfants et développement à risque

Article de Pauline Burger, Romain Coutelle, Axelle Strehle, et al.et al.

Paru dans la revue Enfance, vol. 73, n° 3, juillet-septembre 2021, pp. 215-334.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Autisme, Psychologie du développement, Réduction des risques, Méthodologie, Neurosciences, Génétique, Déficience cognitive, Maladie rare, Nourrisson, Enfant, Adulte, Psychopathologie, Épidémiologie

Les cohortes sont des outils à vocation multidisciplinaire. Elles peuvent servir de nombreux objectifs et ce d’autant plus qu’elles ont le précieux avantage de porter sur un grand effectif. Données renseignant l’épidémiologie en termes de facteurs de risque et de leur prévention ? Big data pour l’intelligence artificielle ? Outils de diagnostic et indicateurs de signes de risque ? Moyens de méta-analyse ? Chacun de ces objectifs peut constituer un enjeu des cohortes d’enfants. Mais cet enjeu distingue-t-il les cohortes d’enfants des cohortes d’adultes ? René Pry, coordinateur du numéro, interroge le caractère développemental des études prospectives de cohortes d’enfants et leur coût. L’après-propos d’Hélène Vulser nous suggère de répondre en termes de trajectoires évolutives entre l’enfance et l’âge adulte, exploitant ainsi les perspectives offertes par le concept de neurodéveloppement pour unir la psychopathologie développementale et la psychiatrie adulte.
Ce numéro est le premier à réunir des auteurs renommés pour présenter leurs cohortes d’enfants, s’interroger sur des notions couramment utilisées dans les études prospectives comme celle de trait autistique, et comparer les implications méthodologiques des études longitudinales experience-based et développementales. Il contribue à donner de l’étude de l’enfance une vue riche, diversifiée et multidisciplinaire, mais aussi sujette par là même à des inadéquations théoriques et méthodologiques qui sont ici relevées.

Sommaire :

- Avant-propos. Jacqueline Nadel. Page 215
- Introduction. Les études de cohortes. René Pry. Page 217 à 228
- GenIDA : l’histoire naturelle et les comorbidités des troubles du neurodéveloppement d’origine génétique. Pauline Burger, Romain Coutelle, Axelle Strehle, Florent Colin, Nicole Collot, David Koolen, Tjitske Kleefstra, Jean-Louis Mandel.
- L’épidémiologie pour comprendre le développement dans le TSA : l’exemple de la cohorte ELENA. Amaria Baghdadli. Page 253 à 262
- Recommandations dans le suivi et l’accompagnement précoce des bébés à risque de développer un trouble du spectre de l’autisme (TSA) : dernières avancées scientifiques. Martina Franchini, Marie Schaer, Stephan Eliez. Page 263 à 276
- Prospective longitudinal research in infants at elevated likelihood for autism spectrum disorder. Herbert Roeyers. Page 277 à 292
- Les « traits autistiques » ne sont pas autistiques. Laurent Mottron. Page 293 à 311
- Études longitudinales dans le TSA et position développementale. René Pry. Page 313 à 325
- Après-propos. Vers les cohortes d’adultes. Hélène Vulser. Page 327 à 334

Accès à la version en ligne

L'effet de la présence et de l'absence de fratrie sur le niveau d'adaptation sociale des enfants présentant un trouble du spectre de l'autisme

Article de Marie Andrée Eymard, Nathalie Poirier, Nathalie Nader Grosbois

Paru dans la revue Devenir, vol. 33, n° 1, janvier-mars 2021, pp. 5-22.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Enfant handicapé, Autisme, Sociabilité, Fratrie, Âge

Dans la littérature scientifique, il est indiqué que la fratrie contribue au développement social de leurs frères ou de leurs sœurs. Cependant, l’influence de la fratrie sur les habiletés sociales des enfants ayant un trouble du spectre de l’autisme diffère d’une étude à l’autre. Ainsi, la présente étude (n=39) vise l’exploration de l’effet de la présence ou de l’absence d’une fratrie sur le niveau d’adaptation sociale des enfants ayant un TSA, chez les enfants âgés entre 6 et 12 ans, et évalue également l’effet d’avoir ou de ne pas avoir une fratrie plus jeune et une fratrie plus âgée. Cette étude suggère qu’il serait pertinent d’inclure la fratrie dans les interventions auprès des enfants ayant un TSA, afin que celles-ci soient plus efficaces.

Accès à la version en ligne

L’approche esthétique au service de la formulation de la stratégie organisationnelle : l’exemple d’une Université française

Article de Vera Ivanaj, Sandrine Berger Douce

Paru dans la revue Revue internationale de psychosociologie et de gestion des comportements organisationnels, vol. XXVII, n° 71, 2021, pp. 147-184.

Mots clés : Culture-Loisirs, Ecole-Enseignement, Management, Université, Art, Stratégie, Créativité, Esthétique, Artiste, Affectivité, Changement, Lorraine

Cet article explore la manière dont l’approche esthétique contribue à enrichir la formulation de la stratégie en sortant des sentiers battus, répondant aux récents appels à l’introduction de davantage de « sensibilité » dans le champ du management stratégique pour contrer la domination de la rationalité et du positivisme. Face à l’omniprésence de l’incertitude dans les organisations, celles-ci sont en quête de démarches innovantes pour penser le changement. A ce titre, les méthodes inspirées de l’art semblent particulièrement pertinentes. C’est pourquoi, une recherche-intervention par intervention artistique menée par l’un des auteurs auprès d’une université française pluridisciplinaire sert de terrain d’investigation pour questionner les apports potentiels d’une approche esthétique au service de la formulation de la stratégie d’une catégorie spécifique d’organisations, en l’occurrence les universités. Depuis plusieurs décennies, les recherches soulignent le caractère atypique des universités s’agissant de leur rapport à la stratégie, alors que ces institutions sont désormais confrontées à des injonctions paradoxales leur imposant de se réinventer pour relever les défis de la compétition mondiale. Notre étude met en évidence l’apport de l’approche esthétique tant au niveau des caractéristiques du processus de décision stratégique qu’au niveau des résultats de ce processus. La formulation de la stratégie semble être facilitée par l’intégration de processus cognitifs, émotionnels et corporels qui stimulent la créativité et conduisent à une compréhension intuitive et imaginative du sens de la stratégie et de sa complexité. Cette compréhension apporte satisfaction et motivation, mais aussi des changements de comportements et de valeurs aux niveaux individuel et organisationnel grâce au pouvoir évocateur de la métaphore et à l’énergie stimulante du dessin et de la peinture.

Accès à la version en ligne

Le non-recours des personnes âgées aux droits et aux services

Article de Arnaud Campéon, Mélina Ramos Gorand, Philippe Warin

Paru dans la revue Retraite et société, vol. 3, n° 87, 2021, pp. 25-248.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Retraite, Non-recours, Accès aux droits, Accès aux soins, Maladie d'Alzheimer, État dépressif, Enquête, Inégalité, Aide à domicile, Technologie numérique, RSA, Service social, ASPA, Centre social, Exclusion numérique

Le non-recours renvoie à toute personne qui ne reçoit pas – quelle qu’en soit la raison – une prestation ou un service auquel elle pourrait prétendre. Les chercheurs tentent de comprendre et de mesurer ce phénomène, d’en identifier les causes, et d’en analyser les incidences, d’un point de vue politique, économique et social. Si de nombreuses études se concentrent sur le non-recours des populations précaires, la catégorie des personnes âgées demeure peu explorée. Faut-il en déduire qu'elle est moins exposée ou plutôt que le non-recours la concernant prend des formes particulières ? La complexité de l’offre et les différents obstacles (théoriques ou méthodologiques) sont autant d’éléments qui participent à une moindre lisibilité des prestations proposées (retraite, Aspa, recours aux soins, etc.). On peut aussi se demander dans quelle mesure le non-recours est susceptible d’affecter les modes de vie à la retraite et peut être une illustration de la difficulté à vieillir et à exercer de plein droit sa citoyenneté.
Pour fournir un diagnostic complet, ce dossier de Retraite et société s’appuie sur les données administratives et d’enquêtes (qualitatives et quantitatives) d’un grand nombre de prestations et de services. Il révèle combien la lutte contre le non-recours est un enjeu majeur, et d’actualité, dans un contexte d’accroissement des inégalités.

Sommaire :

- L’apport des données de la Cnav pour identifier les profils d’assurés en non-recours à la retraite. Romane Beaufort, Mallory Mattmuller, Mélina Ramos-Gorand. Pages 25 à 51
- Non-recours au diagnostic et aux soins dans le cas de la maladie d’Alzheimer. Philippe Warin, Catherine Gucher, Stéphane Alvarez. Pages 53 à 72
- Recours inégal aux professionnels pour les femmes et les hommes en couple après 60 ans. Sylvie Renaut. Pages 73 à 93
- Les centres sociaux favorables aux recours des retraités : le cas de l’Île-de-France. Mickaël Blanchet. Pages 95 à 118
- Obstacles sur le chemin de la psychothérapie pour les personnes âgées dépressives : un modèle d’accès en plusieurs phases. Katrin Falk, Kerstin Kammerer. Pages 119 à 140
- Entretien avec Bertrand Fragonard. Réalisé par Arnaud Campéon, Mélina Ramos-Gorand, Philippe Warin. Pages 141 à 152
- La mesure du non-recours aux prestations sociales : un défi pour la statistique publique. Lucie Gonzalez. Pages 153 à 168
- Actions de lutte contre le non-recours à l’Aspa : ciblage par datamining. Macline Niyomwungere, Frédéric Broutin. Pages 169 à 190
- Le soutien d’un tiers pour limiter le non-recours face à l’e-administration : enjeux et limites. Sabrina Aouici, Malorie Peyrache. Pages 191 à 202
- La baisse par génération du non-recours à l’Ircantec. Gladys Bousquet, Aurélie Brossier. Pages 203 à 220
- Médiation numérique par les pairs contre le non-recours aux droits des aînés. Elisa Chanial. Pages 221 à 230
- Le non-recours au RSA chez les seniors. Un positionnement politique ? François Testard. Pages 231 à 248

Accès à la version en ligne

Les modèles graphiques gaussiens : quels apports pour l’analyse exploratoire des données en comportement organisationnel ?

Article de Alain Lacroux

Paru dans la revue Revue internationale de psychosociologie et de gestion des comportements organisationnels, vol. XXVII, n° 70, 2021, pp. 51-82.

Mots clés : Travail-Emploi, Management, Outil, Comportement, Organisation, Psychologie du travail, Méthodologie

Les enjeux méthodologiques engendrés par l’accès à des sources de données importantes atteignent aujourd’hui des domaines de recherche jusqu’ici peu concernés, comme le comportement organisationnel. La réflexion sur les méthodes applicables pour tirer parti des possibilités offertes par des données secondaires disponibles en grande quantité est relativement récente. Les chercheurs en management, habitués à travailler sur des échantillons de taille modeste dans un cadre hypothético déductif font face à un vrai défi méthodologique lorsqu’ils souhaitent tirer parti de données secondaires en adoptant une approche guidée par les données (data driven). Parmi les pistes permettant de relever ce défi figure l’usage de modèles graphiques gaussiens (MGG), qui permettent la visualisation et l’analyse des relations entre un ensemble de variables gaussiennes. L’application de cette « façon de voir » à la psychologie a favorisé le développement d’un courant de recherche très actif, la psychométrie de réseau (Network Psychometrics), qui renouvelle l’étude des échelles de mesure et des attitudes en s’appuyant notamment sur des graphes parcimonieux. L’objectif de cet article est de montrer la valeur ajoutée de cette approche dans le champ du comportement organisationnel, lorsqu’elle est utilisée comme outil exploratoire. Nous verrons que les MGG peuvent offrir un point de vue complémentaire lorsqu’il s’agit d’analyser des systèmes d’interactions entre variables et comment ils peuvent s’articuler avec les approches confirmatoires par méthodes d’équations structurelles, plus couramment employées pour ce type d’analyse. Les enjeux de cette articulation seront illustrés par l’exploration de la version française d’une mesure récente de l’implication au travail.

Accès à la version en ligne

Les mobilités résidentielles au cours de la retraite

Article de Rémi Gallou, Sabrina Aouici, Laurent Nowik

Paru dans la revue Retraite et société, vol. 2, n° 86, 2021, pp. 21-182.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Mobilité géographique, Retraite, Personne âgée, Migration, Contrainte, Décision, Relation familiale, Qualité de la vie, Bien-être, Maintien à domicile, Habitat, Logement, Lien social, Résidence autonomie, Belgique, Maroc, France, Pays de Galles

L’étude des comportements résidentiels est un bon outil d’analyse des transformations sociales, démographiques et politiques qu’expérimentent les générations de retraités. Pendant leur retraite, les individus s’adaptent aux différents changements, que ce soit dans leur vie familiale ou leur environnement social et économique. C’est souvent le moment de réévaluer l’adéquation du logement et de son cadre immédiat aux modes de vie. Beaucoup de retraités recherchent davantage de bien-être, la proximité d’un proche, des services appropriés... Souhaitée ou subie, la mobilité résidentielle n’est pas anodine et, au-delà de sa dimension territoriale, elle modifie les configurations sociales et les solidarités qui sont déterminantes pour soutenir le vieillissement. Alors que certains retraités déménagent parfois plusieurs fois au cours de la retraite, d’autres en revanche confortent leur ancrage résidentiel en procédant à des améliorations de leur logement. Traiter de la mobilité résidentielle pendant la retraite est donc indissociable des réflexions sur le logement adapté au vieillissement et sur le maintien à domicile.
Ainsi, ce dossier de Retraite et société, à travers ses contributions issues de l’enquête française Amare ou de recherches menées dans d’autres pays, nous rappelle l’importance du lieu de vie avec l’avancée en âge.

Sommaire :

- Mobilité résidentielle et vieillissement : pour le meilleur et contre le pire. Sabrina Aouici, Laurent Nowik. Page 21 à 45
- Reconfigurations des logiques résidentielles et désinstitutionnalisation des parcours de vie. Céline Clément, Catherine Bonvalet. Page 47 à 69
- Mobilité de retraite et mobilité post-retraite en Belgique : qui a migré, migrera ? Jean-Paul Sanderson. Page 71 à 89
- Déménager au cours de la retraite, la recherche d’un équilibre entre idéal et compromis. Rémi Gallou. Page 91 à 116
- Mobilités résidentielles des retraités français au Maroc : entre choix hédonistes et enjeux familiaux. Jordan Pinel. Page 117 à 140
- Intégrer la mobilité résidentielle dans une politique de maintien à domicile. Une recherche exploratoire d’un service d’accompagnement au pays de Galles. Sarah Hillcoat-Nallétamby, Jim Ogg, Alexandra Sardani. Page 141 à 161
- Mobilité résidentielle en résidence autonomie : quelles reconfigurations des relations sociales et familiales ? Anne-Bérénice Simzac. Page 163 à 182

Accès à la version en ligne

Facteurs de risque et de protection au cours du placement associés à la santé mentale : une revue systématique de la littérature

Article de Camille Danner Touati, Raphaële Miljkovitch, Karine Dubois Comtois, et al.

Paru dans la revue Devenir, vol. 33, n° 2, 2021, pp. 135-172.

Mots clés : Enfance en danger-Protection de l’enfance, Enfant placé, Santé mentale, Trouble du comportement, Protection de l'enfance, Recherche en sciences sociales

Les données de la littérature indiquent une augmentation du nombre d’enfants pris en charge par l’aide sociale tous placements confondus. Les enfants placés sont exposés à un risque élevé de problèmes de santé mentale à court, moyen et long terme. Ainsi, des recherches sont nécessaires pour identifier les facteurs qui pourraient être ciblés au cours du placement pour améliorer la santé mentale de cette population vulnérable. Cette revue systématique vise à apporter une meilleure compréhension des facteurs de risque et de protection à la santé mentale associés aux différentes modalités de placement.

Accès à la version en ligne