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Paru dans la revue Recherche sociale, n° 233, janvier-mars 2020, pp. 6-59.
Mots clés : Territoire-Logement, Démographie, Pauvreté, Logement, Habitat, Logement social, Hébergement, Besoin, Politique, État, Collectivité territoriale, Politique de la ville, Errance, SDF, Mineur isolé, Mineur isolé étranger, Logement insalubre, Mode de vie, Mayotte
A la suite d’un premier numéro rendant compte des principaux enjeux relatifs au mal-logement dans les Outre-mer en général, nous proposons dans cette nouvelle livraison de notre revue un éclairage ciblé sur trois territoires ultra-marins : Mayotte, la Polynésie française et la Nouvelle-Calédonie. Au-delà leur diversité, les territoires ultramarins ont en commun l’ampleur et la spécificité des situations de mal-logement qui s’y expriment et de se heurter aux limites des politiques publiques qui y sont déployées. Essentiellement portée par la construction de logements, l’intervention publique mérite aujourd’hui d’être profondément renouvelée et réinvestie dans sa dimension sociale et environnementale. Un changement de regard s’impose pour enfin développer une politique soucieuse des modes de vie, des aspirations et des savoir-faire des populations ultramarines.
Paru dans la revue Recherche sociale, n° 233, janvier-mars 2020, pp. 83-98.
Mots clés : Territoire-Logement, Statut juridique, Précarité, Logement, Logement social, Besoin, Politique, Habitat, SDF, Squat, Mode de vie, Nouvelle Calédonie
A la suite d’un premier numéro rendant compte des principaux enjeux relatifs au mal-logement dans les Outre-mer en général, nous proposons dans cette nouvelle livraison de notre revue un éclairage ciblé sur trois territoires ultra-marins : Mayotte, la Polynésie française et la Nouvelle-Calédonie. Au-delà leur diversité, les territoires ultramarins ont en commun l’ampleur et la spécificité des situations de mal-logement qui s’y expriment et de se heurter aux limites des politiques publiques qui y sont déployées. Essentiellement portée par la construction de logements, l’intervention publique mérite aujourd’hui d’être profondément renouvelée et réinvestie dans sa dimension sociale et environnementale. Un changement de regard s’impose pour enfin développer une politique soucieuse des modes de vie, des aspirations et des savoir-faire des populations ultramarines.
Paru dans la revue Recherche sociale, n° 233, janvier-mars 2020, pp. 60-82.
Mots clés : Territoire-Logement, Statut juridique, Précarité, Politique, Habitat, Logement, Logement insalubre, SDF, Hébergement temporaire, Logement social, Besoin, Mode de vie, Polynésie française
A la suite d’un premier numéro rendant compte des principaux enjeux relatifs au mal-logement dans les Outre-mer en général, nous proposons dans cette nouvelle livraison de notre revue un éclairage ciblé sur trois territoires ultra-marins : Mayotte, la Polynésie française et la Nouvelle-Calédonie. Au-delà leur diversité, les territoires ultramarins ont en commun l’ampleur et la spécificité des situations de mal-logement qui s’y expriment et de se heurter aux limites des politiques publiques qui y sont déployées. Essentiellement portée par la construction de logements, l’intervention publique mérite aujourd’hui d’être profondément renouvelée et réinvestie dans sa dimension sociale et environnementale. Un changement de regard s’impose pour enfin développer une politique soucieuse des modes de vie, des aspirations et des savoir-faire des populations ultramarines.
Ce numéro de Recherche Sociale rend compte des principaux enjeux relatifs au mal-logement dans les Outre-mer en général. Il sera suivi de deux autres numéros : l’un consacré aux Antilles, l’autre à Mayotte, la Polynésie française et la Nouvelle Calédonie. Au-delà leur diversité, les territoires ultra-marins ont en commun l’ampleur et la spécificité des situations de mal-logement qui s’y expriment et de se heurter aux limites des politiques publiques qui y sont déployées. Essentiellement portée par la construction de logements, l’intervention publique mérite aujourd’hui d’être profondément renouvelée et réinvestie dans sa dimension sociale et environnementale. Un changement de regard s’impose pour enfin développer une politique soucieuse des modes de vie, des aspirations et des savoir-faire des populations ultra-marines.
Article de Gaia Barbieri, Arnaud de Rivière de la Mure
Paru dans la revue Nouvelle revue de psychosociologie, n° 28, automne 2019, pp. 165-178.
Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Abandon, Accès aux droits, Accueil, Cohabitation, Droit des étrangers, Exil, Habitat, Lien social, Logement, Migration, Squat
Cet article cherche à problématiser une expérience sociale dans laquelle les deux auteurs sont impliqués : l’occupation d’un immeuble par près de 250 personnes exilées. Le protagoniste d’une telle expérience est l’« Amphi Z », un collectif hétérogène réunissant des personnes migrantes et leurs soutiens. Le nouage de deux luttes politiques – pour le droit au logement et pour les droits des exilés – est donc le substrat d’une telle expérience, au sein de laquelle s’élabore une forme inédite de vivre ensemble. Pour étayer la conflictualité vivifiante et la pluralité nécessaires pour faire de l’aventure de l’Amphi Z une institution en devenir, les uns et les autres doivent réinterroger sans cesse le sens de leur coexistence. Une telle interrogation est au cœur de cette démarche d’écriture : qu’est-ce qu’on fait là, qu’est-ce qui nous relie ?
Article de Wilfrid Magnier, Jean Yves Cocquyt, Julie Magnier
Paru dans la revue Thérapie familiale, vol. 40, n° 2, juin 2019, pp. 217-232.
Mots clés : Enfance-Famille, Thérapie familiale, Intervention à domicile, Famille, Placement, ASE, Maintien à domicile, Espace, Habitat, Centre Benoît Labre, Pas de Calais, Arras
La situation de précarité économique de certaines familles bénéficiant d’une mesure de SAMAD nous a amenés à proposer la thérapie familiale à domicile. L’isolement social et géographique, le manque de revenus ne permettent pas aux familles demandeuses de se rendre dans les lieux de consultation. De fait, nous avons coconstruit une procédure d’intervention nommée « script thérapeutique improvisé ». Ce dernier propose, pour chaque séance, de sculpter les places de chacun afin que le système familial puisse explorer des situations nouvelles dans une ambiance sécure. Cette procédure thérapeutique permet à la fois de respecter l’intimité de la famille tout en créant un espace propice au changement.
Habiter son monde
Habiter : la part de l'être
La rue comme addiction
Coconstruire et habiter le foyer
Les « territorialités migrantes » : un mode d'habiter en migration
Urgence sociale et catégorisation des publics : les « Roms migrants » sont-ils des « sans-abri » comme les autres ?
Être accueilli chez l'habitant : de l'hébergement-épreuve à la cohabitation-tremplin pour les migrants
Résider en pension de famille : un logement individuel en collectivité pour les personnes fragilisées
La « clinique des nuances »
Les lits d'accueil médicalisés (LAM) : un dispositif innovant entre soins et habitat
Le logement, allié de la mise en oeuvre du programme « Un chez soi d'abord » ?
Le modèle « Un chez soi d'abord » au risque de sa diffusion
Le travail de médiatrice en santé paire au sein du programme « Un chez soi d'abord »
Paru dans la revue Vie sociale et traitements VST, n° 140, 4e trimestre 2018, pp. 96-102.
Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Habitat, Handicap mental, Vie quotidienne, Empowerment, Foyer d'hébergement
Ma pratique quotidienne d’éducateur spécialisé dans un foyer d’hébergement m’a amené à interroger la manière dont habitants et professionnels occupent cet espace. Un regard ethnographique témoigne d’attitudes professionnelles formant des obstacles au pouvoir des habitants de s’approprier leur espace. Assignées dans une position de liminalité, les personnes restent sur le seuil de leur habitation.
Paru dans la revue Empan, n° 112, décembre 2018, pp. 75-81.
Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Intégration, Habitat, Autonomie, Handicap
Cet article veut traduire la complexité de penser l’habitat inclusif sans le conditionner par de la discrimination. Il n’y a pas de formation, de soins, de travail, de famille, de vie sociale et affective durable, d’accompagnement pérenne, sans un lieu de vie, un habitat. Parler d’universalisme, c’est définir le logement comme la modalité d’habitation la plus adaptée à l’autonomie de l’individu. L’offre n’étant pas adaptée, l’association Les Jeunes Handicapés a donc créé une agence immobilière qui se veut, et c’est essentiel, vertueuse, coopératiste, mutualiste, universaliste et solidaire.