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Le trouble développemental du langage

Article de Elodie Juvené, Nathalie Thomas, Alec Aeby, et al.et al.

Paru dans la revue Enfance, vol. 74, n° 1, janvier-mars 2022, pp. 3-107.

Mots clés : Enfance-Famille, Psychologie du développement, Enfant, Jeune enfant, Bilinguisme, Trouble du langage, Dyslexie, Dyspraxie, Trouble du comportement, Mémoire, Déficience cognitive

Parler, exprimer, décrire, comprendre ce que disent les autres, dialoguer, bref acquérir le langage oral, les bébés y tendent dès la naissance et leurs premiers essais vocaux. Pourtant la route n’est pas sans embûches, comme en témoigne le trouble développemental du langage. Ce trouble est multifacette et donc ses conséquences sont multiples, irradiant au fur et à mesure du développement l’adaptation sociale, la régulation émotionnelle, les apprentissages et la cognition sociale. Il est en outre associé à de nombreux troubles développementaux, quelquefois de façon difficilement dissociable, comme dans le cas du trouble du spectre de l’autisme.
Plus généralement, la notion de trouble associé, ou comorbidité est mise en question dans le DSM-5 par la définition des troubles neurodéveloppementaux et son corollaire ESSENCE qui suggèrent de regrouper des syndromes précoces sur la base de leurs symptômes communs dans une perspective de dynamique développementale.
Dans ce même mouvement de dynamique développementale et fonctionnelle, ce qui éclaire l’étude actuelle et future du trouble développemental du langage à l’expression hétérogène et aux conséquences complexes, c’est précisément d’en faire un trouble unique en misant sur les éléments communs à toutes ses expressions, ce qui permet d’en comparer les manifestations et d’en mieux comprendre les mécanismes.
Ce numéro thématique, coordonné par Christelle Maillart, chercheuse au département de Logopédie de l’université de Liège, est tout entier tourné vers la nouvelle option portée par le concept de trouble développemental du langage (TDL) et les espoirs scientifiques et cliniques qu’il porte pour ceux qui ont du mal à parler.

Sommaire :

- Avant-propos. Jacqueline Nadel. Page 3
- Introduction. Le trouble développemental du langage : enjeux actuels. Christelle Maillart. Page 5 à 23
- Developmental Language Disorder and the role of language typology. Laurence B. Leonard. Page 25 à 39
- L’hypothèse du déficit procédural : apport pour la compréhension du trouble développemental du langage, sa spécificité et ses comorbidités. Élodie Juvené, Nathalie Thomas, Alec Aeby, Charline Urbain. Page 41 à 58
- Nonword repetition to identify DLD in older school-age children. A French nonword repetition test with word-like and nonword-like items from 2 to 8 syllables. Elin Thordardottir, Heather Reid. Page 59 à 79
- Apprentissage de règles de catégorisation dans le trouble développemental du langage. Estelle Dauvister, Christelle Maillart. Page 81 à 99
- Après-propos. Le trouble développemental du langage : un long chemin parcouru, un long chemin à parcourir encore… Pascal Zesiger. Page 101 à 107

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Bien-être scolaire et satisfaction de vie des collégiens en France et au Vietnam au temps de la Covid-19

Article de Agnès Florin, Cendrine Mercier, Hué Thanh Ngo, et al.

Paru dans la revue Enfance, vol. 73, n° 4, octobre-décembre 2021, pp. 337-361.

Mots clés : Ecole-Enseignement, École, Bien-être, Épidémie, Qualité de la vie, Collège, Élève, Questionnaire, Enseignement à distance, Inégalité, Crise, Confinement, Vietnam, France

En contexte de pandémie de Covid-19 et de premier confinement au printemps 2020, un questionnaire en ligne auto-administré, portant sur le bien-être subjectif et la satisfaction de vie (SWLS), a été renseigné par des collégiens revenus dans leur établissement ou restés à la maison pour suivre les enseignements à distance. L’enquête a été réalisée en France et au Vietnam, deux pays de culture différente et touchés différemment par la pandémie. Les données recueillies auprès des collégiens (416 en France et 274 au Vietnam) confirment des résultats de travaux menés sur le bien-être des élèves avant la pandémie et mettent en évidence des différences significatives, liées aux variables âge, sexe, établissement, niveau scolaire, contexte familial et activité professionnelle des parents.

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Le QCEE : un nouvel outil pour étudier le développement de la compréhension des émotions par l’enfant

Article de Evelyne Thommen, Laetitia Baggioni, Aline Veyre, et al.

Paru dans la revue Enfance, vol. 73, n° 4, octobre-décembre 2021, pp. 413-434.

Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Enfance-Famille, Psychologie du développement, Émotion, Questionnaire, Outil, Visage, Jeune enfant, Enfant, Peur, Colère

La reconnaissance et la compréhension des émotions par l’enfant sont des aspects fondamentaux de son développement. L’étude présente les résultats obtenus à partir de l’évaluation de 284 enfants âgés de 41 à 135 mois. Le QCEE (Questionnaire de Compréhension des Émotions pour Enfants) a été utilisé comme outil de récolte des données. La reconnaissance émotionnelle est évaluée à l’aide d’expressions faciales alors qu’une tâche d’inférence d’émotions à partir d’une histoire permet d’évaluer plus spécifiquement la compréhension des émotions. Les résultats montrent que la joie est l’émotion la mieux reconnue, quels que soient l’âge et la modalité de présentation. La peur est mieux reconnue dans une histoire avec un contexte, plutôt que sur un visage, contrairement à la colère. Ces résultats permettent de montrer le partage très progressif des conventions de représentations des émotions sur le visage et dans les récits au cours du développement. Cet outil en langue française pourra être utilisé par les professionnels qui interviennent sur le développement du raisonnement émotionnel des enfants.

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Relations entre bilinguisme, performances scolaires et fonctions exécutives chez des enfants libanais de 8-10 ans

Article de Darine Al Naboulsi, Bruno Vilette

Paru dans la revue Enfance, vol. 73, n° 4, octobre-décembre 2021, pp. 391-411.

Mots clés : Enfance-Famille, Bilinguisme, Réussite scolaire, École primaire, Enfant, Lecture, Mathématiques, Développement cognitif, Acquisition des connaissances, Liban

De nombreux travaux mettent en avant les effets positifs du bilinguisme dans les domaines langagier, culturel, identitaire, psychologique, ainsi qu’au niveau des FE (Bijeljac-Babic, 2017). Toutefois, certains auteurs remettent en cause l’existence de ces effets (Paap et al., 2015). Cet article vise à clarifier les effets de l’apprentissage d’une langue seconde sur les fonctions exécutives et les performances académiques auprès d’enfants libanais. Une batterie d’épreuves évaluant le fonctionnement exécutif et les habiletés mathématiques et de lecture a été administrée à des élèves monolingues et bilingues âgés entre 8 et 10 ans et scolarisés au Liban. Les résultats confirment les relations positives attendues entre le bilinguisme, la flexibilité et l’inhibition, ainsi qu’avec les performances en lecture et en mathématique. Par contre, aucune relation n’est retrouvée entre le bilinguisme et l’impulsivité cognitive. Enfin, l’accès lexical chez les bilingues s’avère moins rapide et moins précis que chez les monolingues. En regard des résultats observés, deux nouvelles pistes de recherche sont proposées en lien avec les compétences académiques et les interventions.

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Effets d’un entraînement associant habiletés phonémiques et musicales sur la conscience phonémique des enfants de 5 ans

Article de Johanne Belmon, Magali Noyer Martin, Sandra Jhean Larose

Paru dans la revue Enfance, vol. 73, n° 4, octobre-décembre 2021, pp. 363-390.

Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Apprentissage précoce, Lecture, Acquisition du langage, Musique, Jeune enfant, Acquisition des connaissances, Son

En maternelle, la conscience phonémique est reconnue comme un prédicteur de réussite ultérieure en lecture. L’objectif de cet article est d’analyser les effets d’un entraînement associant musique et conscience phonémique sur les habiletés phonémiques des enfants de cinq ans. Il s’agit donc de transposer des pratiques déjà répandues dans le milieu de la rééducation de la dyslexie à la population typique, à savoir l’utilisation d’entraînements musicaux comme outil d’apprentissage en conscience phonémique. 54 enfants de cinq ans bénéficient soit d’un entraînement phonémico-musical, soit d’un entraînement exclusivement phonémique à raison de deux sessions de 25 minutes par semaine durant 7 semaines. Les principaux résultats mettent en évidence l’effet bénéfique de l’entraînement phonémico-musical comparé à l’entraînement exclusivement phonémique. Les enfants du groupe phonémico-musical sont capables de réaliser des tâches phonémiques plus complexes que ceux du groupe exclusivement entraînés par la conscience phonémique à la fois concernant le traitement cognitif alloué à la tâche (épi vs métaphonémique), la position du phonème dans le mot (initiale vs finale) ainsi que sur le niveau de difficulté des items.

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Cohortes d'enfants et développement à risque

Article de Pauline Burger, Romain Coutelle, Axelle Strehle, et al.et al.

Paru dans la revue Enfance, vol. 73, n° 3, juillet-septembre 2021, pp. 215-334.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Autisme, Psychologie du développement, Réduction des risques, Méthodologie, Neurosciences, Génétique, Déficience cognitive, Maladie rare, Nourrisson, Enfant, Adulte, Psychopathologie, Épidémiologie

Les cohortes sont des outils à vocation multidisciplinaire. Elles peuvent servir de nombreux objectifs et ce d’autant plus qu’elles ont le précieux avantage de porter sur un grand effectif. Données renseignant l’épidémiologie en termes de facteurs de risque et de leur prévention ? Big data pour l’intelligence artificielle ? Outils de diagnostic et indicateurs de signes de risque ? Moyens de méta-analyse ? Chacun de ces objectifs peut constituer un enjeu des cohortes d’enfants. Mais cet enjeu distingue-t-il les cohortes d’enfants des cohortes d’adultes ? René Pry, coordinateur du numéro, interroge le caractère développemental des études prospectives de cohortes d’enfants et leur coût. L’après-propos d’Hélène Vulser nous suggère de répondre en termes de trajectoires évolutives entre l’enfance et l’âge adulte, exploitant ainsi les perspectives offertes par le concept de neurodéveloppement pour unir la psychopathologie développementale et la psychiatrie adulte.
Ce numéro est le premier à réunir des auteurs renommés pour présenter leurs cohortes d’enfants, s’interroger sur des notions couramment utilisées dans les études prospectives comme celle de trait autistique, et comparer les implications méthodologiques des études longitudinales experience-based et développementales. Il contribue à donner de l’étude de l’enfance une vue riche, diversifiée et multidisciplinaire, mais aussi sujette par là même à des inadéquations théoriques et méthodologiques qui sont ici relevées.

Sommaire :

- Avant-propos. Jacqueline Nadel. Page 215
- Introduction. Les études de cohortes. René Pry. Page 217 à 228
- GenIDA : l’histoire naturelle et les comorbidités des troubles du neurodéveloppement d’origine génétique. Pauline Burger, Romain Coutelle, Axelle Strehle, Florent Colin, Nicole Collot, David Koolen, Tjitske Kleefstra, Jean-Louis Mandel.
- L’épidémiologie pour comprendre le développement dans le TSA : l’exemple de la cohorte ELENA. Amaria Baghdadli. Page 253 à 262
- Recommandations dans le suivi et l’accompagnement précoce des bébés à risque de développer un trouble du spectre de l’autisme (TSA) : dernières avancées scientifiques. Martina Franchini, Marie Schaer, Stephan Eliez. Page 263 à 276
- Prospective longitudinal research in infants at elevated likelihood for autism spectrum disorder. Herbert Roeyers. Page 277 à 292
- Les « traits autistiques » ne sont pas autistiques. Laurent Mottron. Page 293 à 311
- Études longitudinales dans le TSA et position développementale. René Pry. Page 313 à 325
- Après-propos. Vers les cohortes d’adultes. Hélène Vulser. Page 327 à 334

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Autisme et voix : quelles pratiques langagières pour les aidants familiaux ?

Article de Véronique Rey, Sonia DeMartino, Christina Romain

Paru dans la revue Enfance, vol. 73, n° 2, avril-juin 2021, pp. 127-142.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Autisme, Langage, Acquisition du langage, Voix, Apraxie, Communication, Interaction, Imitation, Méthode, Transmission, Aidant familial, Pratlang (Méthode)

Les auteurs proposent une méthode langagière de prise en charge (PRATLANG) pour les personnes atteintes de trouble du spectre autistique (TSA). PRATLANG s’est développé à partir d’une réflexion théorique en deux temps. Une première étape présente des éléments théoriques relatifs aux liens entre d’une part le développement de la voix parlée et de la voix chantée dans la communication langagière typique et d’autre part, les difficultés rencontrées chez les personnes atteintes de TSA. Une deuxième étape examine les interactions linguistiques du point de vue de la transmission. Les auteurs rendent compte de la transmission de pratiques culturelles ritualisées liées au langage en s’appuyant sur les principes d’imitation gestuelle. À partir de ces éléments théoriques, la méthode PRATLANG a pour objectif la mise en place d’une éducation de la parole chez les personnes atteintes de TSA à travers des interactions linguistiques ritualisées avec les aidants familiaux.

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Retard de croissance et retard de développement chez les enfants d’Afrique sub-saharienne

Article de Bernard Dembélé, Mouftaou Amadou Sanni

Paru dans la revue Enfance, vol. 73, n° 2, avril-juin 2021, pp. 177-196.

Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Jeune enfant, Malnutrition, Pauvreté, Santé, Développement cognitif, Apprentissage précoce, Psychologie du développement, Genre, Psychopathologie, Handicap mental, Stimulation, Cameroun, Congo, Tchad, Togo

Le retard de croissance a des effets négatifs sur le développement des enfants. En revanche, la stimulation protège du retard développemental. L’objectif de cette étude est d’évaluer dans quelle mesure le sexe des enfants module ces relations en Afrique sub-saharienne. L’analyse utilise les données groupées des dernières enquêtes démographiques et de santé du Cameroun, du Congo-Brazzaville, du Tchad et du Togo. La définition du statut développemental s’appuie sur l’index de développement précoce des enfants à 3-4 ans et l’évaluation de la stimulation sur des activités d’éveil physique et psychologique regroupées en 6 catégories. Les modèles explicatifs utilisés sont le probit simple et bivarié. Globalement, deux enfants sur cinq sont en retard de croissance, avec une prévalence équivalente entre sexe. Plus de la moitié des enfants connaissent à des degrés divers un problème développemental, accentué pour les garçons. Les effets du retard de croissance sur le retard développemental de l’enfant sont notables surtout pour le jeune garçon, mais ils sont atténués par le recours à la stimulation active dès l’enfance. La robustesse des résultats fondés sur quatre pays devrait inciter la promotion des activités de stimulation dans un contexte de prévalence élevée du retard de croissance et de retard développemental.

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Le théâtre à l’école en France : une potentialité au service des apprentissages ?

Article de Lisa Sanchez, Sara Creissen, Nathalie Blanc

Paru dans la revue Enfance, vol. 73, n° 2, avril-juin 2021, pp. 161-175.

Mots clés : Ecole-Enseignement, Pédagogie, École, Théâtre, Enseignement, Élève, Formation, Enseignant, Éducation artistique, Développement cognitif, Apprentissage, France, Québec

Quelle est la place du théâtre dans le système scolaire français, en tant qu’outil pour contribuer aux apprentissages et au bien-être des élèves ? Cet article vise à répondre à cette question en prenant appui sur une étude menée au Québec (Dubois & Tremblay, 2015) dans le but d’établir la place du théâtre dans les pratiques enseignantes. Reprenant leur méthodologie d’analyse appliquée au cas français, la première contribution de cet article réside dans le décalage observé entre les recommandations ministérielles et les formations proposées aux enseignants les préparant à l’utilisation du théâtre en milieu scolaire. Partant de ce constat, la deuxième partie de l’article est consacrée à la présentation des résultats de travaux en faveur de cette mobilisation du théâtre en contexte scolaire. Les pratiques d’utilisation du théâtre à l’école sont envisagées dans toute leur diversité, avec des travaux qui rapportent des bénéfices pour les élèves, tant sur le plan cognitif que motivationnel. Forte des résultats déjà disponibles, la pratique du théâtre en milieu scolaire est avancée comme une ligne de recherche prometteuse au service d’un meilleur développement des élèves.

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Apprendre et généraliser de nouveaux noms : les leçons de la comparaison. Une revue de la littérature

Article de Yannick Lagarrigue, Jean Pierre Thibaut

Paru dans la revue Enfance, vol. 73, n° 2, avril-juin 2021, pp. 143-159.

Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Psychologie du développement, Jeune enfant, Apprentissage précoce, Acquisition du langage, Langage, Vocabulaire, Concept, Développement cognitif

Lorsqu’ils apprennent un nouveau mot, les jeunes enfants doivent abstraire les dimensions pertinentes, parfois peu saillantes pour utiliser correctement ce mot, alors que les dimensions saillantes ne sont pas toujours pertinentes. Cette revue de question porte sur le rôle positif de la présentation simultanée de deux exemples (ou plus) d’une même catégorie. Pour la détection des dimensions pertinentes, une présentation simultanée s’avère souvent plus efficace que la présentation d’un exemplaire unique ou la présentation séquentielle de plusieurs exemplaires d’apprentissage. Les études que nous recensons et présentons ici montrent que les situations dans lesquelles les exemples sont regroupés sous un terme commun sont plus efficaces que celles où les exemples ne sont pas nommés (ou nommés avec des termes différents). La comparaison porte sur le cas de noms d’objets mais aussi de noms pour des relations (par exemple voisin, addition). Nous montrons également que l’augmentation du nombre d’exemplaires n’augmente pas systématiquement la performance des plus jeunes, car elle augmente aussi les coûts de ces comparaisons. La synthèse présente les mécanismes explicatifs de l’efficacité d’une comparaison, notamment celui de l’alignement.

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