Documentation sociale

Vous êtes étudiant, professionnel, enseignant, documentaliste, chercheur en travail social ?
Accédez ici à tous les outils de PRISME vous permettant de chercher de la documentation et de suivre une veille documentaire spécialisées dans le secteur des sciences sociales et de l'action sociale.

Réponses 1 à 3 sur un total de 3

Votre recherche : *

Ce que nous dit la peau...

Article de Myriam Chastaing, Laurent Misery, Sylvie Consoli, et al.

Paru dans la revue Santé mentale, n° 242, novembre 2019, pp. 19-79.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Peau, Psychisme, État dépressif, Image de soi, Psychiatrie, Massage, Corps, Délire, THERAPIE COMPORTEMENTALE, Psychothérapie, Scarification, Adolescent, Inceste, Psychomotricité, Encoprésie, Hygiène, Thérapie corporelle, Anxiété

Depuis la naissance, la peau et le psychisme entretiennent des liens privilégiés, grâce en particulier aux échanges tactiles précoces avec la mère. Certains troubles psychiatriques sont à l'origine de perceptions anormales de l'état cutané (dysmorphophobie, délire d'infestation cutané...) ou de lésions cutanées (trichotillomanie, excoriations...). Dermatologie et psychiatrie sont donc faites pour s'entendre et dialoguer. De la toilette au massage, les soins qui associent corps et écoute occupent une place de choix dans l'arsenal thérapeutique.

De l'anxiété aux troubles anxieux

Article de Dominique Servant, Jérôme Palazzolo, Laure Rougegrez, et al.

Paru dans la revue Santé mentale, n° 233, décembre 2018, pp. 23-79.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Anxiété, Trouble du comportement, Médicament, THERAPIE COMPORTEMENTALE, Internet, Souffrance psychique, Hypnose, Enfant, Adolescent, État dépressif, Attachement

On distingue les troubles anxieux de l'anxiété normale par la présence de plusieurs symptômes physiques et psychologiques intenses et durables, qui entraînent des perturbations comportementales. Le soignant doit reconnaître les différentes expressions de ces troubles, y répondre par une écoute active et orienter le patient vers une prise en charge adaptée. Parmi les diverses approches thérapeutiques, les TCC et les médicaments sont suggérés en première intention. Reste à s'interroger sur l'expansion actuelle de ces troubles, en lien avec la tendance croissante à la médicalisation de nos émotions.

L’utilisation addictive des jeux vidéo est-elle une solution adaptative à la perception de soi et à la symptomatologie dépressive des jeunes adolescents (11–14 ans) ?

Article de S. Gaetan, P. Therme, A. Bonnet

Paru dans la revue Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, vol. 63, n° 4, juin 2015, pp. 251-257.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Toxicomanie-Addictions, Addiction, Adolescent, État dépressif, Image de soi, Jeu vidéo

Cette étude permet d’affiner notre compréhension du processus addictif. L’avatar permettrait une « re-construction de soi », rehaussant la perception que le sujet a de lui-même dans le monde virtuel, et réduisant ainsi sa souffrance. En contre partie, un écart se crée avec l’environnement quotidien, renforçant la symptomatologie dépressive et la conduite addictive. Néanmoins, des questions émergent concernant le lien entre le joueur et son avatar, mais également concernant l’impact des différents formats de jeux vidéo sur ce processus.