PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Revue des politiques sociales et familiales, n° 133, 4ème trimestre 2019, pp. 37-49.
Mots clés : Enfance en danger-Protection de l’enfance, Violence, Maltraitance, Abus sexuel, Enfant, Enfance en danger, Famille, Etats Unis d'Amérique, Canada, Québec, France
Paru dans la revue Forum, n° 158, octobre 2019, pp. 51-57.
Mots clés : Ecole-Enseignement, École, Enfant, Famille, Réseau, Reconnaissance, Action sociale, Thérapie, Concertation, Confiance, Boszormenyi Nagy (Yvan)
L'approche du travail d’École et Famille, grâce au Travail Thérapeutique de Réseau, à la Thérapie Contextuelle, à la Médiation éducative et à la Psycho sociologie de groupes, vise précisément à permettre à chacun des membres de la famille de "donner et prendre" (Böszörmenyi-Nagy I., 1986) selon un principe de justice. "Donner et prendre" est le cœur de la démarche thérapeutique, son fondement et son objectif. [...]
Paru dans la revue Le Journal des psychologues, n° 371, octobre 2019, pp. 64-68.
Mots clés : Enfance-Famille, Dessin, Enfant, Culture, Origine, Famille
Comment un enfant se représente-t-il sa famille ? Et peut-on observer des différences notoires dans le dessin de l’enfant, en fonction de son origine ethnique, culturelle ? Dans le cadre d’un mémoire de fin d’études, l’auteure s’est intéressée à l’empreinte laissée par l’appartenance culturelle sur les représentations graphiques de l’enfant. En comparant les dessins de famille réalisés par des enfants d’ethnie soninkés, âgés de 6 à 12 ans, vivant en France et en Mauritanie, elle dresse une comparaison afin de voir comment la culture laisse sa trace, en contexte traditionnel ou migratoire.
Peut-on parler de la famille en France aujourd’hui ? En la matière, les débats sont souvent explosifs. Car toucher à la famille, c’est toucher à ce que nous avons de plus intime, qu’on batte le pavé pour réclamer « un papa, une maman, pour tous les enfants » ou qu’on revendique « la PMA pour tout(e)s ». Sortons donc quelques instants des polémiques et prenons le temps de découvrir les visages de la famille française du 21e siècle. Moins qu’un renversement total des pratiques, on découvrira des modèles variés et des dynamiques contradictoires. D’un côté l’augmentation des divorces, de l’autre une grande majorité des enfants qui continuent de vivre avec leurs deux parents. D’un côté de nouvelles formes de parentalité, de l’autre des mères qui continuent à consacrer deux fois plus de temps que les pères à leurs enfants. D’un côté des familles qui aiment et protègent, de l’autre des familles qui transmettent mal-être ou pathologies. Pour autant, peut-on se passer de la famille ? Il faut certainement en avoir une pour pouvoir, comme Jules Renard, regretter de n’avoir pas la chance d’être orphelin.
En famille, on parle plus aisément du diabète d’un parent que de sa schizophrénie ou de son trouble bipolaire. Privés d’explications, les enfants risquent alors de construire leur propre modèle, souvent à contresens…