PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Sciences humaines, n° 281, mai 2016, pp. 60-65.
Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Biographie, Sociologie, HISTOIRE, Altérité, Certeau (Michel de)
Jésuite, historien, anthropologue, Michel de Certeau est un outsider des sciences humaines. De l'exégèse des textes à l'analyse des pratiques quotidiennes, il n'eut de cesse de célébrer l'inventivité humaine.
Paru dans la revue Le Journal des psychologues, n° 336, avril 2016, pp. 55-60.
Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Théorie, Approche clinique, Psychanalyse, Autisme, Enfant, BETTELHEIM (BRUNO), LA FORTERESSE VIDE
Malgré les controverses suscitées par ses résultats thérapeutiques, l'auteur de "La Forteresse vide" offre pourtant une approche clinique de l'enfant autiste relativement moderne. Orientée par la psychanalyse, elle démontre certaines ressemblances avec les méthodes comportementales et cognitives.
Paru dans la revue Sciences humaines, n° 280, avril 2016, pp. 48-53.
Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Biographie, Théorie, Expérimentation, Autorité, Pouvoir, Analyse critique, Milgram (Stanley)
L'expérience de Milgram sur la soumission à l'autorité a été contestée, discutée, prolongée. Cinquante ans après, elle pose un problème éthique très actuel : comment armer les gens contre une obéissance excessive ?
Article de Bernard Hours, Jan Spurk, Monique Selim, et al.et al.
Paru dans la revue L'Homme et la société, vol. 1, n° 199, janvier-mars 2016, pp. 7-158.
Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Mondialisation, Politique, Économie, Relation internationale, Éducation, Commerce, Écologie, Régulation sociale, Norme sociale, Criminalité
Dans le contexte de la globalisation contemporaine qui produit une interdépendance généralisée des sociétés, la gouvernance se présente désormais comme un outil essentiel de mise en ordre, de régulation, ou de maîtrise à la fois des risques et des aspirations. Elle serait d'abord un dispositif producteur de normes, mais aussi l'instrument d'un ordre planétaire ouvert et transparent conduisant à l'émergence d'une société civile mondiale en charge des « biens communs » de l'humanité. La gouvernance : un vecteur d'aliénation ou d'émancipation ?