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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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La maladie, de la méthode

Article de Philippe Giafferi

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 25, avril-juin 2017, pp. 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Travail social : Formation, Personne âgée, Dépendance, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Maladie, Méthode, Accompagnement, Soin, Accueil, Formation, Aidant familial, Équipe soignante, EHPAD, Maintien à domicile

Dans le cadre de l'accompagnement des maladies dégénérescentes, en particulier celle de la maladie d'Alzheimer, une lecture spécifique est quasi indispensable, car il faut avoir une vision plus large, qui englobe, au-delà des soins classiques, d'une part, la perte d'autonomie, les symptômes, comportements, troubles et attitudes qu'elle engendre et, d'autre part, la place de l'aidant. Parce que le soignant doit comprendre et reconnaître celui qui est en face de lui, en amont de toute prestation, qu'elle ait lieu au domicile ou en Ehpad.

La mixité sociale et professionnelle

Article de Karine Lagardère

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 6, novembre-décembre 2016, pp. 33-34.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Formation, Animateur, Gérontologie, Mixité sociale, Animation sociale, Profession, EHPAD

La MFR de la Mothe-Achard en Vendée dispense la formation d'animateur en gérontologie. Réunis en comité de pilotage, de nombreux professionnels oeuvrant dans le domaine de l'animation poursuivent leur réflexion sur l'évolution du métier face à la forte progression de la moyenne d'âge dans les Ehpad entraînant une dépendance grandissante, mais aussi la présence de résidents, non originaires du territoire, venus passer leur retraite sur la côte vendéenne. Tout ceci nécessite des réponses à des besoins nouveaux. Un approfondissement constant des besoins et des pratiques semble propice.

Adapter ses pratiques aux besoins spécifiques à domicile comme en institution

Article de Alexandra Marquet, Philippe Giafferi, Anne Chervet, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 23, octobre-décembre 2016, pp. 9-18.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Dépendance, Besoin, Pratique professionnelle, Adaptation, Observation, Maintien à domicile, Établissement pour personnes âgées, Formation, Équipe soignante, EHPAD, Écoute

Chaque personne est singulière, a ses habitudes et rythmes de vie... mais aussi ses besoins. Comment apporter des réponses individualisées et se positionner compte tenu des contraintes institutionnelles, que ce soit les plans de soins ou encore les plannings si prenants ?... Si pendant longtemps, la réponse était systématiquement stéréotypée pour être la même pour tous... depuis quelques années, d'autres approches se développent pour justement proposer un accompagnement personnalisé. C'est d'ailleurs un des enjeux du plan de maladies neurodégénératives....
Les pratiques évoluent. Plus question de suivre un plan préétabli mais de l'adapter face aux besoins des personnes : celles qui se couchent tard et se lèvent plus tard, celles qui refuseront la douche ou privilégieront une toilette au lavabo, celles qui choisiront de rester seules ou celles qui préfèreront les activités collectives. Pour y parvenir, à domicile comme en institution, les outils sont toujours les mêmes : l'observation et la connaissance de la personne accompagnée. L'objectif est d'écouter la personne, d'évaluer ses besoins, ses capacités et ses difficultés pour s'adapter à elle. Les professionnels doivent encore et toujours faire preuve d'imagination mais aussi s'appuyer sur une alliance de compétences pour instaurer des stratégies d'accompagnement adaptées à chacun. Le travail d'équipe, la cothérapie ou encore la prise en charge pluridisciplinaire sont autant de pistes qui conduisent à un regard pluriel qui va permettre de décrypter au mieux une personne et de s'adapter à chaque situation, sachant que ses besoins vont évoluer au fil du temps, au fil de sa perte d'autonomie et qu'il faudra alors réévaluer son accompagnement.

Faire tomber le tabou de la fin de vie en institution

Article de Alexandra Marquet, Françoise Mohaër, Colette Peyrard, et al.

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 5, septembre-octobre 2016, pp. 8-18.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Fin de vie, Accompagnement de fin de vie, Soins palliatifs, EHPAD, Personne âgée, Mort, Formation, Équipe soignante, Tabou, Personne handicapée, Souffrance, Loi 2016-87 du 2 février 2016

D'un côté, en EHPAD, les personnes entrent de plus en plus tard, très affaiblies avec des poly-pathologies ; de l'autre, en foyer, le vieillissement des personnes souffrant d'un handicap mental ou psychique fait de plus en plus partie du quotidien des équipes. Face à ces situations, les professionnels ont été formés à accompagner les personnes dans les actes de la vie quotidienne, à stimuler les capacités restantes, mais pas à gérer cette fin de vie. Or, un professionnel non formé est avant tout un professionnel non préparé. "Je ne saurais pas faire, j'ai peur". C'est en substance le discours entendu en structure.... Pour beaucoup d'experts et de fins connaisseurs de cet accompagnement, l'enjeu est la formation, la sensibilisation et surtout l'anticipation pour faire tomber le tabou du soin palliatif. Les EHPAD et les foyers spécialisés doivent avoir l'ambition de concevoir un projet partagé pour répondre à la problématique du dernier souffle. C'est d'ailleurs en respectant le choix des personnes âgées et handicapées qui ne veulent pas mourir à l'hôpital que ces établissements joueront pleinement leur rôle, en accompagnant la personne dans sa vie et ainsi dans sa mort. C'est en offrant un accompagnement adapté et individualisé de la fin de vie que les EHPAD pourront s'éloigner de cette image de mouroir qui leur colle encore malheureusement à la peau. Autant se préparer et miser sur la pluridisciplinarité qui a tout son sens : HAD, SSIAD, équipes mobiles de soins palliatifs sont autant de ressources extérieures qui viennent seconder les équipes en établissement...

Faire face à un manque d'hygiène de l'usager

Article de René Raguénès

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 43, août-septembre-octobre 2016, pp. 29-30.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Santé-Santé publique, Hygiène, Vie quotidienne, Personne âgée, Dépendance, Aide à domicile, Maintien à domicile, Auxiliaire de vie sociale, Formation, Communication, Écoute, Aidant familial

Chaque personne a sa propre notion de ce que peut et doit être son hygiène personnelle et celle de son cadre de vie. Le domicile est un lieu de liberté. Lorsque survient la perte d'autonomie, les actions qui étaient personnelles et intimes deviennent l'objet des actions des professionnels et des proches aidants. Ce qui peut être considéré comme un manque d'hygiène inquiète et gêne l'entourage.

Hygiène de l'environnement : quels intervenants possibles ?

Article de David Valmont

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 43, août-septembre-octobre 2016, pp. 23-24.

Mots clés : Santé-Santé publique, Grand âge-Vieillissement, Hygiène, Vie quotidienne, Aide à domicile, Logement, Formation, Auxiliaire de vie sociale, Aide médico-psychologique, EHPAD, Maintien à domicile, ADVF

Le domicile, lieu "privé" du bénéficiaire et "professionnel" de l'intervenant, est un élément à ne pas négliger. En effet, mettre en place des protocoles ou simplement apporter des conseils peut être mal vécu par la personne aidée car cela touche à son intimité et sa façon de vivre. Le but est de garantir de bonnes conditions d'intervention tout en respectant les souhaits du bénéficiaire. Chaque prise en charge est unique et, malgré la formation ou les années d'expérience, on peut parfois se retrouver dans une position délicate, tant au niveau des encadrants que des intervenants.

La lutte contre les infections associées aux soins à domicile

Article de Stéfane Hédont Hartmann

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 43, août-septembre-octobre 2016, pp. 14-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Santé-Santé publique, Hygiène, Soin, Soins à domicile, Équipe soignante, Maladie infectieuse, Hospitalisation à domicile, Établissement social et médicosocial, Maintien à domicile, Aide à domicile, Formation, Prévention

Depuis 2009 et la mise en place du nouveau plan national de lutte contre les infections associées aux soins, l'hygiène a changé de périmètre pour intégrer dans son champ les services extra-hospitaliers (HAD, SSIAD...), les établissements médico-sociaux et le domicile dans son sens large. D'où ce besoin d'information et de formation des professionnels du domicile.

Le toucher relationnel dans le soin

Article de Stella Choque

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 3, mai-juin 2016, pp. 21-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Corps, Image du corps, Toucher, Soin, Soins corporels, Hygiène, Vieillissement, Personne âgée, Massage, Peau, Formation, Équipe soignante, Confiance

Depuis des milliers d'années, les hommes utilisent les massages pour leurs effets antalgiques, décontractants, relationnels. Au fil du temps, selon les cultures, ce qui était naturel et spontané devient tabou ou censé n'appartenir qu'aux experts. Et pourtant, les personnes en situation de "prendre soin de l'autre" vivent quotidiennement une relation de corps à corps avec les résidents ou les patients. Comment passer de ce "corps à corps" bien codifié par la technique enseignée dans les écoles à un corps "accord" empathique destiné à prodiguer du bien-être ?

Zoothérapie : ce qu'il faut savoir

Article de Amandine Lamouret

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 21, avril-juin 2016, pp. 19-20.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Thérapie, Animal, Établissement pour personnes âgées, EHPAD, Émotion, Mémoire, Maladie d'Alzheimer, Médiation, Lien social, Formation, Zoothérapie

L'animal est le support de nos émotions, il écoute sans jamais juger, réclame notre attention et nous offre de la tendresse sans rien attendre en retour. Des échanges sont possibles. Un attachement, souvent fort, entre l'Homme et son animal se crée. Il est donc logique de penser que l'animal est signifiant pour un grand nombre de personnes et peut être utilisé comme un nouvel outil dans le domaine de la santé. C'est ainsi qu'on voit se développer la zoothérapie en France depuis quelques années.

L'EHPAD des personnes en situation de grande précarité

Article de Alexandra Marquet

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 2, mars-avril 2016, pp. 35-36.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Lien social-Précarité, EHPAD, Établissement pour personnes âgées, Vieillissement, Personne âgée, Dépendance, Précarité, SDF, Adulte en difficulté, Accompagnement, Pratique professionnelle, Addiction, Alcoolisme, Projet d'établissement, Agressivité, Animation, Lien social, Socialisation, Règlement intérieur, Adaptation, Formation, Équipe soignante, Vulnérabilité, Association L'Escale, La Rochelle

L'association L'Escale a créé il y a cinq ans un EHPAD à La Rochelle qui a la particularité d'accueillir des personnes désocialisées ayant connu la rue. L'objectif est de proposer un lieu de vie pour sécuriser ce public particulièrement vulnérable et souvent atteint de multipathologies. Dans cet établissement, les professionnels ont dû adapter leurs pratiques pour accompagner ces anciens SDF souffrant d'addiction pour la plupart et dont la moyenne d'âge ne dépasse pas les 65 ans.