Rechercher un article, un ouvrage, une thèse

PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 41 à 50 sur un total de 70

Votre recherche : *

La religion dans les petites choses

Article de Florence Braud

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 16, juillet-août 2018, pp. 29-30.

Mots clés : Travail social : Établissements, Religion, Croyance, Pratique religieuse, Besoin, Établissement social et médicosocial, Laïcité, Accompagnement, Pratique professionnelle, Droits des usagers, Formation, Équipe soignante, Henderson (Virginia)

"Pratiquer sa religion et agir selon ses croyances et ses valeurs" est l'un des quatorze besoins fondamentaux répertoriés par Virginia Henderson. Pour un individu lambda, ce besoin peut être altéré pour des raisons : physiologique (ne peut pas ou plus), psychologique (ne veut pas ou plus), sociologique (l'environnement ne le permet pas ou plus), cognitif (ne sait pas ou plus). La personne résidant en établissement médico-social peut se trouver confrontée à ces différents obstacles. Comment faire pour l'aider sans contrevenir aux principes de laïcité ?

Laïcité dans les établissements catholiques

Article de Marc Lesage

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 16, juillet-août 2018, pp. 25-26.

Mots clés : Travail social : Établissements, Laïcité, Religion, Établissement social et médicosocial, Catholicisme, Accompagnement, Pratique professionnelle, Liberté, Droits des usagers

Quelle est la place des religions dans nos accompagnements ? Cette question se pose pour tout professionnel intervenant en établissements médico-sociaux. Agir selon ses valeurs, et donc sa spiritualité, fait partie des besoins fondamentaux selon le modèle développé par l'Américaine Virginia Henderson. Dans la pratique et sur le terrain, la laïcité et le religieux peuvent se vivre et cohabiter dans des institutions catholiques.

Comment intégrer les croyances des résidents ?

Article de Stella Choque

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 16, juillet-août 2018, pp. 23-24.

Mots clés : Travail social : Établissements, Religion, Croyance, Établissement social et médicosocial, Usager, Culture, Trouble du comportement, Ethnopsychiatrie, Pratique professionnelle, Accompagnement, Interculturel

Les structures médico-sociales accueillent de plus en plus de résidents issus d'autres cultures que notre culture occidentale d'inspiration judéo-chrétienne. En cas de dysfonctionnement psychique et psychologique avéré ou de troubles du comportement, nous avons aussitôt recours aux soins psychiatriques. Cette approche "rationnelle" est toutefois loin de soulager toutes les souffrances. La situation de handicap, les troubles de la compréhension alliés à l'incompréhension linguistique et aux différences culturelles rendent le dialogue difficile.

Religion et laïcité en ESMS : le casse-tête ?

Article de Alexandra Marquet, Philippe Giafferi, Laurence Hardy, Charline Vinetet al.

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 16, juillet-août 2018, pp. 7-17.

Mots clés : Travail social : Établissements, Religion, Laïcité, Croyance, Établissement social et médicosocial, Liberté, Pratique religieuse, Accompagnement, Usager, Lieu de culte, Travailleur social, Citoyenneté, Équipe soignante, Formation, Droits des usagers, EHPAD, Projet individualisé

La laïcité "n'est pas la lutte contre la religion, ceci est un contresens, c'est une loi de liberté. C'est la liberté de croire et ne pas croire, à condition que chacun, quelle que soit sa religion ou sa conviction philosophique, soit pleinement dans la République". Voilà pour les mots prononcés par le président Macron à Rome, suite à sa rencontre avec le Pape François en juin dernier. En France, il y a les habituels débats sur le port du voile, la neutralité des agents publics, les signes ostentatoires dans l'espace public, les repas adaptés, la viande Halal... Dans les établissements médico-sociaux, les professionnels sont davantage concernés par la question de l'accompagnement spirituel des personnes fragilisées par l'âge, la maladie ou le handicap et qui ne sont plus en mesure de se déplacer seules ou d'accomplir certains gestes. L'enjeu est alors de faire cohabiter les droits et les devoirs des salariés mais aussi des usagers dans une structure collective où des individualités vivent ensemble, où certaines croient ou d'autres sont athées. Comment y parvenir ? Tout est question d'équilibre. Dans ce contexte, la règle n'est pas la même dans les établissements publics et privés, mais tous ont l'obligation d'assurer une garantie absolue de liberté à leurs résidents, avec une mise à disposition d'une salle pour que les croyants puissent exercer leur culte, une obligation morale et légale d'écouter et d'entendre les besoins et les attentes des publics accompagnés et d'assurer un traitement d'égalité des services. C'est donc avant même l'entrée en structure que les données relatives à la religion sont collectées puis sont reprises dans le projet personnalisé que les agents font ensuite vivre. Dans la pratique, pour les directions, souvent isolées, l'objectif est de veiller à ce que la loi soit respectée, de faire preuve de pédagogie voire de miser sur des formations spécifiques. Ensuite ce sera aux bénévoles, aux proches, ou encore aux agents volontaires de permettre justement un accompagnement spirituel des personnes fragilisées avec la seule volonté de contribuer à la qualité de vie en collectivité...

"Nous anticipons grâce à des préparations opérationnelles à l’emploi"

Article de Maxime Ricard, Dominique Villa

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3071, 20 juillet 2018, p. 8.

Mots clés : Travail social : Établissements, Ressources humaines, Management, Qualité, Accompagnement, Auxiliaire de vie sociale

Le directeur général de la structure Aid’Aisne (association d’aide à domicile et garde à domicile pour personnes âgées ou handicapées), située à Soissons et Saint-Quentin, et qui compte 220 auxiliaires de vie pour près de 1 000 usagers, explique comment il gère la situation particulière de la période estivale.

Psychiatrie - Accompagner vers la Belgique

Article de Myriam Léon

Paru dans la revue Lien social, n° 1228, 1er au 14 mai 2018, p. 22.

Mots clés : Travail social : Établissements, Santé mentale-Souffrance psychique, Psychiatrie, Établissement de santé, Pratique professionnelle, Accompagnement, Étude de cas, Transfert d'établissement, Belgique, Seine Saint Denis

Un groupe de travail de l'établissement public de santé de Ville-Evrard publie une étude sur les pratiques d'accompagnement au départ des patients.

Personnes agées : de la protection à l'accompagnement

Article de Georges Arbuz, Alain Grimfield

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3057, 20 avril 2018, pp. 36-37.

Mots clés : Travail social : Établissements, EHPAD, Pratique professionnelle, Accompagnement, Relation travailleur social-usager

Georges Arbuz, anthropologue, président de l’association La vie devant nous, et Alain Grimfeld, médecin, professeur honoraire à l’université Pierre-et-Marie-Curie, démontrent comment les établissements pour personnes âgées sont passés du statut de lieux d’accueil à celui de lieux d’accompagnement. Malgré le contexte actuel difficile, les EHPAD représentent une évolution historique majeure.

Bien accompagner la nuit : un défi à relever

Article de Alexandra Marquet, Laurence Hardy, Stella Choque, et al.

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 14, mars-avril 2018, pp. 7-17.

Mots clés : Travail social : Établissements, Grand âge-Vieillissement, Nuit, Travail de nuit, Établissement social et médicosocial, Accompagnement, Personne âgée, Personne handicapée, Coucher, Sommeil, Trouble du sommeil, Déficience cognitive, Écoute, Équipe soignante, Besoin, Assistant de soins en gérontologie, Rythme, Management, Bientraitance, Activité, Médicament, EHPAD, Maladie d'Alzheimer, Surveillant de nuit

Pendant longtemps, dans les établissements médico-sociaux, les personnes âgées ou en situation de handicap devaient se coucher tôt, même si elles rencontraient des problèmes pour trouver le sommeil ou si elles se réveillaient à 2 heures du matin... Force est de constater que c'est encore une réalité dans de nombreuses structures où les résidents sont couchés à 20 heures... Or, avec l'avancée en âge et l'émergence de nouvelles pathologies, le besoin de sommeil se réduit inexorablement. (...)
Malgré tout, des établissements ont décidé d'apporter des réponses nouvelles, après avoir été confrontés à des problèmes chroniques de déambulation, des troubles du comportement ou du sommeil. L'émergence des troubles cognitifs en maison de retraite n'y est pas étrangère, tout comme le vieillissement des personnes en situation de handicap en FAS ou en FAM. Pour quelles solutions ? Les neuroleptiques, les contentions... certains ne s'y résolvent pas et préfèrent tester des accompagnements spécifiques. Il leur faut alors trouver des partenaires, des financements, des autorisations... Mais au bout de ce chemin semé d'embûches, c'est la qualité de vie et celle du sommeil des résidents qui sont visées. En posant un cadre plus souple, plus à l'écoute des besoins des usagers, les professionnels se sentent mieux, plus valorisés, ayant enfin des outils et des moyens pour exercer dans de meilleures conditions. C'est ainsi l'occasion d'écouter les besoins qui émergent la nuit. A l'heure où les projets personnalisés ont gagné leur place la journée dans les établissements médico-sociaux, leur déclinaison nocturne n'est pas suffisamment prise en compte... C'est aux directions de se saisir de cette problématique en apportant des réponses concrètes...

Chacun sa nuit

Article de Jérôme Pellissier

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 14, mars-avril 2018, pp. 29-30.

Mots clés : Travail social : Établissements, Grand âge-Vieillissement, Nuit, Sommeil, Trouble du sommeil, Équipe soignante, Accompagnement, Anxiété, Incontinence, Hygiène, Pratique professionnelle

Et si la nuit n'existait pas ? S'il n'existait que des nuits singulières, que des nuits vécues différemment selon chaque personne. L'écrivain Jérôme Pellissier raconte trois courtes nouvelles, pour donner à voir la nuit à travers trois regards, qui sont aussi des regards sur cette lumière particulière que la nuit donne à l'accompagnement. Une lumière de lune qui, selon les situations, révèle crûment les angoisses et tragédies humaines, ou modèle ce qui ne se vit que dans l'intimité et dans les rêves.

Recruter et fidéliser : le défi à relever

Article de Alexandra Marquet, Philippe Giafferi, Sylvie Guillemot, et al.

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 49, février-avril 2018, pp. 7-17.

Mots clés : Travail social : Établissements, Grand âge-Vieillissement, Recrutement, Profession, Aide à domicile, Marché du travail, Auxiliaire de vie sociale, Reconnaissance, Salaire, Salarié, Besoin, Accompagnement, Intégration, Entreprise, Usager, Employeur, Motivation, Conditions de travail, Dépendance, Assistant de vie aux familles

"Les métiers de l'aide à domicile figurent parmi les métiers qui bénéficieront des plus gros volumes de créations d'emploi entre 2012 et 2022. Pour les seules aides à domicile, 160 000 départs en fin de carrière seraient à remplacer et près de 160 000 emplois seraient des créations nettes portant donc à 320 000 le nombre de postes à pourvoir pour ce métier" ; voilà pour les prospectives prometteuses d'emploi évoquées sur le site officiel de la Direction générale des entreprises. Avec aujourd'hui une population vieillissante qui demande à rester chez elle de plus en plus longtemps, malgré la perte d'autonomie, repoussant toujours l'idée d'une institutionnalisation, les services à la personne sont à la croisée des chemins.
Les défis sont nombreux avec des besoins en pleine croissance et un âge moyen de 45 ans pour 54 % des professionnels employés par le secteur. Et pourtant, malgré un taux de chômage qui reste particulièrement élevé en France et qui continue à flirter avec les 10 %, force est de constater que le métier d'auxiliaire de vie ne suscite pas des vocations en cascade. Alors même que l'aide à la personne continue de se distinguer et de recruter, les candidats ne se précipitent pas. Problèmes d'image ? De la reconnaissance ? De rémunération ? (...)