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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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L'impact de la musique et de la rythmique sur l'induction motrice

Article de Nathalie Valette, Marie Sueur

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 31, octobre-décembre 2018, pp. 25-26.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Musique, Activité physique, Personne âgée, Vieillissement, Musicothérapie

Lors des séances, il est apparu que l'accompagnement du mouvement par une musique appropriée influençait la réalisation de l'exercice. Le soutien musical est primordial car il s'adapte aux mouvements et aux capacités de chacun, contrairement à un travail classique sur bande-son. Pour cet atelier, les compétences d'une enseignante en activités physiques adaptées (APA), associées à celle d'une musicothérapeute, sont mises au service de la personne.

Une intervention multidimensionnelle

Article de Charline Vinet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 30, juillet-septembre 2018, p. 9.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Vieillissement, Personne âgée, Repos, Aidant familial, Maintien à domicile, Accueil de jour, Plan

Dispositif ARS, les plateformes d'accompagnement et de répit ont été créées dans le cadre du plan Alzheimer 2008-2012, avec l'objectif de concourir au bien-être des aidants permettant d'éviter leur épuisement et favorisant ainsi le maintien à domicile. L'étude de la Fondation Médéric Alzheimer met en évidence la notion d'intervention multidimensionnelle (solution de répit : accueil de jour et accompagnement) ayant des effets positifs sur la santé des aidants.

Innover pour mieux accompagner

Article de Alexandra Marquet, Frédérique Lucet, Guylaine Martin, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 30, juillet-septembre 2018, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Maladie d'Alzheimer, Innovation, Accompagnement, Vie quotidienne, Technologie, Aide technique, Pratique professionnelle, Maintien à domicile, Expérimentation, Lien social, Thérapie, Équipe soignante, Aidant familial

A l'heure de l'essor des nouvelles technologies, le bien-vieillir passe inévitablement par les innovations, mais derrière ce terme ne se cachent pas forcément la robotique et la domotique. Il y a aussi l'innovation du quotidien qui n'a rien de révolutionnaire et qui est initiée par des professionnels de terrain, que ce soit à domicile ou en établissement. Se poser des questions, prendre du recul, échanger entre collègues, améliorer les pratiques ou encore donner du sens à son action. L'enjeu est d'accompagner autrement. A une autre échelle, des expérimentations sont lancées sur le terrain avec la volonté de changer la donne, de révolutionner les pratiques. C'est le cas du Village Alzheimer de Dax qui ouvrira ses portes à l'horizon 2020, c'est le cas du programme de soutien thérapeutique prodigué par l'association France Alzheimer, c'est aussi le cas de l'article 29 sur le relayage qui va entrer en application et qui permettra d'expérimenter le baluchonnage québécois à la mode française... L'objectif est ainsi de permettre aux personnes accompagnées de vivre le plus longtemps possible à domicile... (...)

La validation : une méthode basée sur l'empathie

Article de Cécile Aguesse

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 29, avril-juin 2018, pp. 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Aidant familial, Communication, Déficience cognitive, Empathie, Équipe soignante, Lien social, Maladie d'Alzheimer, Méthode, Personne âgée, Vieillissement, Feil (Naomi)

La méthode de la validation inventée par Naomi Feil vise à accorder de la valeur aux personnes souvent exclues de la communication parce qu'elles sont étiquetées "malades d'Alzheimer". Pour prendre soin des personnes souffrant de troubles cognitifs et pérenniser le lien social, la fondatrice propose aux aidants familiaux ou professionnels de s'approprier des outils verbaux et non verbaux. L'enjeu est de renouer les liens.

Baluchonnage ou relayage : quel modèle pour demain ?

Article de Alexandra Marquet, Philippe Giafferi, Claudie Kulak, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 28, janvier-mars 2018, pp. 11-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Repos, Aidant familial, Maintien à domicile, Dépendance, Personne âgée, Maladie d'Alzheimer, Accompagnement, EHPAD, Accueil de jour, Droit du travail, Élaboration de la loi, Vulnérabilité, Formation, Aide à domicile, Loi 2015-1176 du 28 décembre 2015, Baluchon Alzheimer Québec, Québec

Né en 1999 au Québec, le baluchonnage va-t-il enfin être transposé au droit français ? Après plusieurs années de combat, le rapport de mars 2017 rédigé par Joëlle Huillier, alors députée de l'Isère sur le relayage, a redonné espoir aux acteurs de ce dossier. Intégré au projet de loi pour un Etat au service d'une société de confiance, le fameux article 29 est actuellement en discussion au Parlement. Si certaines organisations syndicales, dont Force Ouvrière, se sont d'ores et déjà montrées hostiles à ce projet, le blocage juridique du Code du travail pourrait être levé. Sur le territoire, des expérimentations sont menées depuis plusieurs années. Reste à savoir si la loi permettra de disposer de ce nouveau service de répit au domicile, basé sur un intervenant unique, sur le modèle de Baluchon Québec ou si un simple relayage sera instauré.

Baluchonnage et droit du travail en France : un nouvel espoir ?

Article de Frédérique Lucet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 28, janvier-mars 2018, pp. 19-20.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Repos, Aidant familial, Accompagnement, Personne âgée, Maintien à domicile, Dépendance, Droit du travail, Durée du travail, Aide à domicile, Expérimentation, Élaboration de la loi, Maladie d'Alzheimer, REQ (Réseau Euro Québec de Coopération autour de Baluchon Alzheimer)

Le baluchonnage est un dispositif de répit-accompagnement aidant-aidé à domicile, qui se caractérise par la présence au domicile 24 heures / 24, plusieurs jours d'affilée, d'un aidant professionnel. Ce dispositif déroge aux règles en vigueur en matière de temps de travail. Jusqu'à présent, il n'a pas été possible de définir un cadre légal permettant d'inscrire le baluchonnage dans le droit du travail en France. Les expérimentations inspirées du baluchonnage ont donc cherché à concilier le modèle et le droit : rotations de professionnels sur 8, 12, 24, 48 heures selon les statuts.

L'expérience québécoise

Article de Guylaine Martin, Rachel Petitprez, Frédérique Lucet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 28, janvier-mars 2018, pp. 21-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Dépendance, Vieillissement, Personne âgée, Maintien à domicile, Aide à domicile, Profession, Formation, Accompagnement, Responsabilité, Reconnaissance, Travail d'équipe, Durée du travail, Québec

Le baluchonnage repose sur le fait qu'un professionnel unique assure une présence continue auprès de la personne fragile à domicile. Ce principe directeur, présent depuis la création de Baluchon Alzheimer au Québec en 1999, reste l'axe majeur qui fait sa force et son originalité. Par sa spécificité et son intensité, le métier de baluchonneur nécessite la présence incontournable d'une équipe de coordination clinique et administrative.

Schéma corporel : la clef de l'accompagnement

Article de Aude Dagonneau

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 28, janvier-mars 2018, pp. 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Dépendance, Psychomotricité, Image du corps, Mémoire, Corps, Malade, Accompagnement

Dans la maladie d'Alzheimer, les mémoires et fonctions qui sont préservées le plus longtemps sont : la mémoire épisodique/émotionnelle, la mémoire procédurale/des mouvements automatisés et la sensorialité. Ces trois éléments sont reliés par le corps de la personne. Ainsi, l'observation de la psychomotricité de la personne malade, façon d'être au monde, d'interagir et d'exister de la personne malade, devient outil d'évaluation, de compréhension et d'accompagnement de cette dernière.

Des jeux pour le bien-être et le bien-vivre

Article de Stéphanie Berteau

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 27, octobre-décembre 2017, pp. 9-10.

Mots clés : Culture-Loisirs, Grand âge-Vieillissement, Jeu, Loisir, Jeu collectif, Jeu de société, Personne âgée, Bien-être, Équipe soignante, Maladie d'Alzheimer, Motricité, Thérapie

Les limites de la prise en charge médicamenteuse ont ouvert la voie à différentes formes de soutien thérapeutique et d'activités procurant bien-être et bien-vivre aux personnes âgées. Nous avons à portée de main une ressource universelle, millénaire et incroyablement bénéfique : le jeu. Cette activité répond à merveille aux attentes des aidés et des aidants ainsi qu'aux spécificités de ce public. Elle s'insère aisément dans leur quotidien, elle s'inscrit dans leur temps libre, pour que celui-ci ne soit pas un temps vide, douloureux et isolé.

Le jeu : adapter et ne pas infantiliser

Article de Alexandra Marquet, Caroline Cattanéo, Cécile Bacchini, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 27, octobre-décembre 2017, pp. 11-22.

Mots clés : Culture-Loisirs, Grand âge-Vieillissement, Jeu, Loisir, Jeu collectif, Jeu de société, Activité, Personne âgée, Dépendance, Déficience cognitive, Bien-être, Jouet, Animation, Atelier, Maladie d'Alzheimer

Jouer de 7 à 77 ans ? Contrairement aux préjugés, les jeux ne sont pas uniquement réservés aux enfants. En tant qu'adulte, on joue d'ailleurs entre amis... Alors pourquoi faudrait-il cesser de jouer quand la dépendance s'installe ? Les jeux sont connus des professionnels pour être un bon médiateur à condition toutefois de respecter certaines règles : trouver un environnement calme et isolé, adapter le jeu tout en adoptant une attitude bienveillante et non infantilisante. Loin du soin, le jeu a pris une place centrale avec en ligne de mire le bien-être des personnes souffrant de troubles cognitifs.