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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Jeunesse(s) : les voies de l'autonomie

Article de Christian Papinot, Léa Rochford, Isabelle Danis, et al.

Paru dans la revue Informations sociales, n° 195, 2017, pp. 9-161.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Jeune, Autonomie, Crise économique, Emploi, Dispositif d'insertion, Politique, Étudiant, Logement, Emploi jeune, Mission locale pour l'emploi

Depuis près de deux décennies, l'accès des jeunes à l'autonomie souffre de l'impact de difficultés économiques durables. celles-ci perturbent notablement la transition vers l'âge adulte. Trouver son premier emploi, concilier travail et études supérieures, accéder à un logement autonome sont autant d'épreuves pour les moins de 30 ans, au point qu'elles caractérisent cette phase de la vie. [présentation de l'éditeur]

Référents de parcours : quatre départements en ordre de marche

Article de Lauriane Clément

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3019, 14 juillet 2017, pp. 22-25.

Mots clés : Travail social : Métiers, Coordonnateur, Travailleur social, Intervention sociale, Innovation sociale

Renforcer la cohérence de l’accompagnement, éviter les ruptures et replacer les personnes au cœur de leur projet, tels sont les objectifs de la fonction de « référent de parcours ». Une expérimentation démarre dans quatre départements volontaires, où le dispositif, non sans soulever des interrogations parmi les professionnels, commence à montrer sa plus-value.

Ces morts qui existent

Article de Nicolas Chambon

Paru dans la revue Rhizome, n° 64, juin 2017, 19 p..

Mots clés : Lien social-Précarité, Précarité, SDF, Mort, Lien social, Mortalité, Deuil, Accompagnement social, Fin de vie, Suicide, Handicap psychique

Un constat résonne malheureusement comme une évidence : les inégalités de la vie se prolongent devant la mort. Les morts de la rue, « invisibles », (en témoigne la difficulté d’avoir des statistiques de décès représentatives) sont appréhendés comme le symptôme de la relégation sociale et des effets néfastes de l’individualisation. Les conséquences de la précarité, de la perte de liens, ne s’arrêtent pas après le décès : qui se soucie de la mort des plus précaires ? Au-delà d’une vision nostalgique où la communauté familiale et les proches étaient présents pour organiser les funé- railles, des collectifs se mobilisent aujourd’hui pour coordonner les obsèques de ces défunts, et surtout leur donner une visibilité. Il y a enjeu à socialiser la mort, les morts, notamment pour les plus exclus. Ces morts sont aussi des évènements, souvent tragiques, parfois brutaux, ou qui s’inscrivent dans un long chemin plus ou moins prévisible... La « fin de vie » est devenue objet d’intérêt pour de nombreux acteurs, notamment soignants. Mais jusqu’où aller dans la médicalisation ? Pour Régis Aubry, finir sa vie à l’hôpital pour les plus précaires est problématique, car l’hôpital ne permet pas forcément un accompagnement digne pour ces personnes. Il appelle de ses vœux à la création de lieux adaptés. Pour les structures de réinsertion, le décès d’un usager peut être vu comme un échec de l’accompagnement. Comment, par exemple, concilier une visée de « réinsertion » ou de « réhabilitation » et d’accompagnement à la fin de vie ?

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