PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Article de Wolfgang Aschauer, Barbara Castillo Rico, Marion Leturcq, et al.et al.
Paru dans la revue Revue des politiques sociales et familiales, n° 131-132, 2ème-3ème trimestre 2019, pp. 13-82.
Mots clés : Enfance-Famille, Qualité de la vie, Bien-être, Enfant, Pauvreté, Conditions de vie, Famille en difficulté, Mode de garde, Inégalité, France, Royaume Uni, Espagne, Europe
Paru dans la revue Sciences humaines, n° 316, juillet 2019, pp. 18-23.
Mots clés : Dyslexie
Les troubles de l’acquisition du langage écrit proviennent de plusieurs types de dysfonctionnements. D’où la nécessité de mettre en place des aides adaptées à chacun.
La communication hypnotique peut être définie comme l'art d'utiliser différents procédés de langage issus de l'hypnose formelle (hors transe), au cours d'un dialogue soignant-soigné, pour atteindre un objectif. Au-delà de ses aspects techniques, cette communication produit un contexte et une présence thérapeutique particulière, centrée sur les ressources du patient. En psychiatrie, cette approche est souvent adaptée par sa flexibilité et son caractère pragmatique à la diversité des situations. Éclairage théorique et expériences cliniques.
Paru dans la revue Santé mentale, n° 239, juin 2019, pp. 20-21.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Action sociale : cadre institutionnel et juridique, Handicap psychique, Législation, Définition, Accès aux droits
La notion juridique de handicap psychique vise plutôt une notion symbolique que normative. La situation trouvant son origine dans une déficience du psychisme, il conviendrait davantage de parler de "handicap d'origine psychique".
Article de Clément Quintard, Héloïse Lhérété, Anne Muxel, et al.
Paru dans la revue Sciences humaines, n° 315, juin 2019, pp. 32-51.
Mots clés : Justice-Délinquance, Radicalisation, Politique, Idéologie, Militantisme, Violence
Des black blocs au néo-fascistes, des zadistes aux survivalistes, de l’ultra-gauche à l’ultra-droite, un nouvel arc de radicalités politiques se dessine dans l’espace public. Des groupes de militants connectés et actifs sortent de l’ombre avec la volonté d’en découdre avec le système. D’un groupe à l’autre, les différences idéologiques sont réelles et nombreuses : certains sont anticapitalistes, d’autres anti-islam, d’autres encore antisémites, europhobes ou anti-fascistes. Mais il existe aussi des points communs : tous revendiquent la protestation voire la violence comme mode d’expression ; tous récusent les apories du jeu démocratique.
Les radicalités progressent-elles en France ? Faut-il s’inquiéter de leur attractivité auprès de la jeunesse ? Sont-elles symptomatiques d’une crise politique ? Leur violence constitue-t-elle une menace pour le pouvoir ? Comment s’organisent – et se réorganisent – les différentes mouvances radicales ?
Des idées extrémistes aux actions terroristes, il existe toute une gradation des radicalités. Ce dossier tente une cartographie, éclairée par les dernières enquêtes sociologiques. Et projette un peu de lumière sur ces trajectoires militantes qui se trament le plus souvent dans l’ombre de notre monde social.