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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 1 à 10 sur un total de 81

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L’Open dialogue : une écoute polyphonique

Article de Géry Marchand, Marie Witz

Paru dans la revue Santé mentale, n° 281, octobre 2023, pp. 18-23.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Adolescent, Approche systémique, Communication verbale, Diagnostic, Équipe soignante, Jeune, Prise en charge, Psychose, Soin

"Diapason, une équipe mobile d’intervention précoce auprès des 16-30 ans, a choisi de s’appuyer sur l’Open dialogue, qui propose un accompagnement souple vers les soins, organisé autour de « réunions de réseaux ». En quoi consiste cette approche ? Illustration clinique."

Santé mentale des jeunes : état d'urgence

Article de Naïri Nahapétian

Paru dans la revue Alternatives économiques, n° 435, juin 2023, pp. 38-41.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Jeune, Jeune en difficulté, Souffrance psychique, État dépressif, Psychiatrie infantile, CMPP, Prise en charge, CMP, Enfant en difficulté, COVID-19

La crise sanitaire a affecté la santé mentale des enfants, adolescents et jeunes adultes de manière durable. Pourtant, leur prise en charge souffre toujours d'un manque criant de moyens

Santé mentale des jeunes : état d'urgence

Article de Naïri Nahapétian

Paru dans la revue Alternatives économiques, n° 435, juin 2023, pp. 38-41.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Souffrance psychique, Jeune en difficulté, État dépressif, Psychiatrie infantile, CMPP, CMP, Prise en charge, Jeune, Confinement

La crise sanitaire a affecté la santé mentale des enfants, adolescents et jeunes adultes de manière durable. Pourtant, leur prise en charge souffre toujours d'un manque criant de moyens.

Une transformation à 360° au plus près des jeunes

Article de Alexandra Luthereau

Paru dans la revue Direction(s), n° 216, février 2023, pp. 14-17.

Mots clés : Enfance en danger-Protection de l’enfance, Jeune, Association, ITEP, SESSAD, Individualisation, Partenariat, Relation équipe éducative-famille, Prise en charge, Scolarisation, Inclusion, Essonne

L'association L'Essor a réorganisé son dispositif intégré thérapeutique éducatif et pédagogique (Ditep) et ses services d'éducation spéciale et de soins à domicile (Sessad) en service global d'accompagnement territorialisé. Chaque antenne propose toute la palette des mesures nécessaires à des parcours individualisés des jeunes, près de leurs familles, et en lien étroit avec tous les partenaires.

Accompagner au-delà des 21 ans : une logique de parcours

Article de Vincente Rodriguez

Paru dans la revue Le Sociographe, n° 80, décembre 2022, pp. 133-140.

Mots clés : Enfance en danger-Protection de l’enfance, Protection de l'enfance, Majorité, Contrat, Jeune, Pratique professionnelle, Accompagnement, Prise en charge

Le parcours social, entre protection et contractualisation, est historiquement lié à la société dans laquelle il intervient. Sa vocation à réduire les inégalités ou inadaptations lui confie une place importante pour donner sens dans un contexte de crise et de mutation de la société.
Cette évolution sociétale, associée à une institutionnalisation du secteur de la protection de l’enfance et à de nouvelles pratiques professionnelles (logique de parcours, développement du numérique, participation des personnes accompagnées, etc.), bouleverse le quotidien des acteurs du monde social et du public. Un public qui tente de se reconstruire par suite d’un parcours de vie ébranlé par une pluralité d’événements, avec l’espoir de croire à la réussite et de devenir un homme qui participe à bâtir le monde.

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Mineurs délinquants « Je n’ai peur de rien »

Article de Benoît Hervieu Léger, Clémence Dubosq, Angelina Chapin

Paru dans la revue Projet, n° 390, octobre 2022, pp. 21-25.

Mots clés : Violence, Quartier, Jeune, PJJ, Délinquance juvénile, Prise en charge, Sanction, Histoire familiale

La Protection judiciaire de la jeunesse a pour charge d’accompagner les mineurs délinquants. Comment parvient-elle à les arracher à la violence ? Entretien avec une directrice de service.

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Spécialiser les dispositifs d’accueil et d’accompagnement pour les mineurs non accompagnés : du sur mesure à l’action collective

Article de Emeline Zougbede

Paru dans la revue SAS Sciences et actions sociales, n° 17, 2022/2, pp. 9-30.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Jeune, Mineur non accompagné, Mineur isolé étranger, ASE, Protection de l'enfance, Partenariat, Réseau, Pluridisciplinarité, Vulnérabilité, Droit des étrangers, Prise en charge

À partir de l’étude locale d’un service de l’aide sociale à l’enfance dédié à la prise en charge de mineurs non accompagnés, cet article documente les manières dont la mise en œuvre de partenariats et de collaborations intersectorielles concourt au travail en protection de l’enfance. On montre que c’est à partir de la prise en compte des vulnérabilités de ces jeunes, autant du fait de leur condition de mineur que d’étranger, et des problématiques – parfois complexes – qui sont les leurs, que se mettent en place des dispositifs spécifiques et expérimentaux qui visent à un meilleur accueil et accompagnement, fondé sur le partenariat et la collaboration intersectorielle.

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Souffrance des jeunes et maisons des adolescents : un programme public négocié, entre consensus et concurrence

Article de Sylvie Malinowski

Paru dans la revue Agora, n° 92, 2022 [3], pp. 25-40.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Santé mentale-Souffrance psychique, Adolescent, Jeune, Souffrance, Santé mentale, Politique sanitaire, Prise en charge, Maison des adolescents

Cet article s’appuie sur l’analyse du discours public relatif à la souffrance des jeunes et à l’organisation de sa prise en charge dans les maisons des adolescents, pour montrer que ces dispositifs pluridisciplinaires et partenariaux, dédiés aux jeunes en souffrance âgés de 11 à 21 ans, à leur famille et aux professionnels qui interviennent auprès d’eux, ont réussi à négocier la définition de leur label et à s’imposer dans l’espace concurrentiel de l’offre de santé mentale en direction de la jeunesse.

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Tu n’as pas de baguette magique. Graine de trauma

Article de Noémie Kaluzny

Paru dans la revue Les Cahiers dynamiques, n° 79, décembre 2021, pp. 81-88.

Mots clés : Traumatisme, Mineur, Accompagnement, Éducateur spécialisé, Adolescent, Jeune, Enfant, Prise en charge, Confiance, Relation interpersonnelle, Biographie, Récit de vie

Noémie est éducatrice. Et elle se questionne encore sur le rôle de l’éducateur dans l’accompagnement des mineur.e.s traumatisé.e.s. Dans un récit à la première et à la seconde personne elle se livre, d’une manière très authentique et grâce à trois situations. Verbalisation, accompagnement, relation de confiance… elle nous donne aussi à voir ce qui fait l’essence de son métier.

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Alzheimer Jeunes : mieux connaître pour mieux accompagner

Article de Alexandra Marquet, Adeline Rollin, Bruno Dubois, et al.

Paru dans la revue ASH Alzheimer, hors-série n° 8, août 2021, pp. 3-41.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Jeune, Symptôme, Diagnostic, Éthique, Témoignage, Soutien psychologique, Habitat collectif, EHPAD, Souffrance psychique, Aidant familial, Repos, Accompagnement, Adaptation, Prise en charge, Pluridisciplinarité, Lien social, Handicap, Génétique, Exclusion sociale, Trisomie, Stéréotype

ERRANCE ET DOUBLE PEINE. Lorsque la mémoire flanche, les aînés pensent immédiatement et avec angoisse à la maladie d'Alzheimer. Pour les plus jeunes, cette maladie neurodégénérative n'est pas un sujet d'inquiétude, dans l'immédiat en tout cas. Réalité mal connue, elle touche pourtant plus de 55 000 personnes de moins de 65 ans, soit près de 6 % de la totalité des malades. Chez eux, les difficultés à trouver des mots ou les troubles du langage sont les premiers symptômes. Le réflexe consiste à attribuer ces troubles à un burn-out ou à une dépression. Souvent, le médecin généraliste renvoie vers un accompagnement psychologique. C'est seulement après une longue errance qu'un neurologue finit par poser le diagnostic... et un pronostic qui laissent place à la souffrance. C'est la double peine pour des personnes encore en activité professionnelle, ayant parfois des enfants en bas âge. Pour les proches, c'est une réelle mise à l'épreuve avec un quotidien totalement bouleversé.
APRES LE DIAGNOSTIC, LE DESERT ? En France, des efforts ont été engagés autour du pronostic précoce... Face à des manifestations cliniques atypiques et aux sévérités des troubles, une prise en charge spécifique doit être déployée. Vers qui se tourner ? Sachant que ce public est freiné par des barrières d'âge en Ehpad, en particulier quand le maintien à domicile devient impossible. Face à une pathologie qui progresse très vite, il est nécessaire d'être bien entouré à domicile comme en institution. En France, ce n'est qu'en 2015 que le premier établissement dédié a ouvert ses portes, à Cesson, en Seine-et-Marne. Il s'agit d'une structure portée par une association spécialisée dans le handicap. Pour cette pathologie qui touche un public jeune, les professionnels à la frontière entre le handicap et la gérontologie ne sont pas de trop pour faire face à la sévérité des symptômes. Face à l'inéquation entre cette forme de pathologie et un encadrement inadapté, les expérimentations se sont développées. Elles démontrent toute l'importance de l'accompagnement médico-social et non médicamenteux. (...)
QUAND UN MOT BLESSE. A l'heure où la société affiche un âgisme assumé et où les préjugés autour de la maladie d'Alzheimer ne sont plus à démontrer, certaines voix s'élèvent pour que les experts et professionnels de terrain changent de discours et cessent d'employer le terme de "démence" qui renvoie à la vieillesse et à la déchéance. Pour les malades jeunes, ce mot stigmatisant blesse. Ce n'est pas qu'une question de vocabulaire, mais de dignité pour les personnes atteintes de troubles cognitifs et leurs proches, qui veulent continuer à vivre le plus normalement possible, sans être montrés du doigt.