PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Santé mentale, n° 281, octobre 2023, pp. 18-23.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Adolescent, Approche systémique, Communication verbale, Diagnostic, Équipe soignante, Jeune, Prise en charge, Psychose, Soin
"Diapason, une équipe mobile d’intervention précoce auprès des 16-30 ans, a choisi de s’appuyer sur l’Open dialogue, qui propose un accompagnement souple vers les soins, organisé autour de « réunions de réseaux ». En quoi consiste cette approche ? Illustration clinique."
Paru dans la revue Pratiques en santé mentale, n° 3, septembre 2023, pp. 73-76.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Témoignage, Prévention, Jeune, Service civique volontaire
Ayant toujours eu un rapport à l’école plutôt tumultueux c’est tout naturellement que l’idée de faire une pause dans mes études est apparue chez moi après l’obtention de mon baccalauréat. Voulant être éducatrice spécialisée depuis ma première année de collège je savais dans quel domaine m’orienter et je savais aussi que pour se faire, il fallait de l’expérience.
C’est de là qu’est née mon envie de faire un service civique, le service civique est un engagement volontaire pour une durée de 6 à 12 mois au service de l'intérêt général, ouvert aux jeunes de 16 à 25 ans (jusqu'à 30 ans pour les jeunes en situation de handicap) Il permet de réaliser une mission d'intérêt général dans différents domaines tels que la solidarité, l'environnement, la culture, le sport, l'éducation, la santé, etc. En tant que volontaires nous recevons une indemnité mensuelle (600 euros pour 28h hebdomadaire) et bénéficions d'une formation civique et citoyenne. Le service civique vise à favoriser l'engagement des jeunes dans la société et à renforcer la cohésion sociale.
Le 8 juillet 2022 j’entre pour la première fois dans les locaux de l’association Unis-Cité pour une séance d’information suivie d’un entretien afin de définir si j’étais apte à faire partie de cette association et c’était le début d’une année pleine d’émotions. La séance d’information m’a permis d’apprendre à connaître Unis-Cité, le service civique, mais avant tout les missions proposées ; sans vous cacher mes appréhensions étant donné que je ne connaissais pas réellement le milieu associatif, ce qui fut pourtant ma meilleure expérience…
Paru dans la revue Alternatives économiques, n° 435, juin 2023, pp. 38-41.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Jeune, Jeune en difficulté, Souffrance psychique, État dépressif, Psychiatrie infantile, CMPP, Prise en charge, CMP, Enfant en difficulté, COVID-19
La crise sanitaire a affecté la santé mentale des enfants, adolescents et jeunes adultes de manière durable. Pourtant, leur prise en charge souffre toujours d'un manque criant de moyens
Paru dans la revue Alternatives économiques, n° 435, juin 2023, pp. 38-41.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Souffrance psychique, Jeune en difficulté, État dépressif, Psychiatrie infantile, CMPP, CMP, Prise en charge, Jeune, Confinement
La crise sanitaire a affecté la santé mentale des enfants, adolescents et jeunes adultes de manière durable. Pourtant, leur prise en charge souffre toujours d'un manque criant de moyens.
Paru dans la revue L'Observatoire, n° 111, juillet 2022, pp. 39-43.
Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Santé mentale-Souffrance psychique, Travail social, Réseau, Santé mentale, Accompagnement, Jeune, Handicap, Rupture, Belgique
Créé en 2004 l'Entre-Temps est un service à la croisée des secteurs dont la prise en charge se veut résolument transversale. Il propose une structure d'appui aux jeunes se situant à l'intersection de diverses compétences : l'aide à la jeunesse, le secteur du handicap et la santé mentale. Pour éviter que le passage d'un secteur à l'autre ne se vive comme une rupture brutale, le service sert de lien pour assurer la continuité du suivi de l'usager avec son réseau. En tant que tiers médiateur, son rôle consiste à soutenir le jeune, sa famille et les institutions concernées en mettant en place une collaboration forte avec ceux-ci.
Article de Giuseppe Lo Piccolo, Saskia von Overbeck Ottino, Pierre Bastin, et al.
Paru dans la revue Dialogue, n° 236, juin 2022, pp. 65-84.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Traumatisme, Migration, Ethnopsychanalyse, Groupe, Médiation, Jeune, Réfugié, Mineur non accompagné, Image, Photolangage
Dans ce texte les auteurs explorent les potentialités du recours au dispositif groupal et à l’introduction de la médiation par les images dans la prise en charge de jeunes requérants d’asile. La clinique liée aux migrations contemporaines nous confronte à un véritable défi concernant la prise en soin de sujets qui appartiennent à des cultures différentes, parlent des langues diverses et sont porteurs de traumatismes qui se révèlent à la fois singuliers et pluriels. À travers l’exemple d’un groupe à médiation Photolangage® avec des ex-mineurs non accompagnés, l’article décrit comment le modèle psychanalytique de groupe peut être un dispositif original pour la compréhension et le traitement d’une telle clinique.
Réflexions sur le dispositif de la trace, proposition offerte à tous les adolescents de l’UCHA en fin d’hospitalisation. Ce rituel est au service des patients mais également de l’équipe, pour marquer une fin mais aussi un nouveau début.
Paru dans la revue Agora, n° 92, 2022 [3], pp. 25-40.
Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Santé mentale-Souffrance psychique, Adolescent, Jeune, Souffrance, Santé mentale, Politique sanitaire, Prise en charge, Maison des adolescents
Cet article s’appuie sur l’analyse du discours public relatif à la souffrance des jeunes et à l’organisation de sa prise en charge dans les maisons des adolescents, pour montrer que ces dispositifs pluridisciplinaires et partenariaux, dédiés aux jeunes en souffrance âgés de 11 à 21 ans, à leur famille et aux professionnels qui interviennent auprès d’eux, ont réussi à négocier la définition de leur label et à s’imposer dans l’espace concurrentiel de l’offre de santé mentale en direction de la jeunesse.
Les conduites suicidaires sont « inexplicables » au sens réducteur de causalité simple et univoque. Chaque histoire demeure singulière. Les réactions au suicide sont aussi multiples.