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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Trop petit pour l'école à 2 ans ?

Article de Frédérique Hirn, Agnès Florin, Florian Ben Soussan, et al.

Paru dans la revue Le Journal des professionnels de l'enfance, n° 103, novembre-décembre 2016, pp. 20-51.

Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Ecole-Enseignement, Scolarisation précoce, Besoin, Enfant, Jeune enfant, Psychologie du développement, École maternelle, Demande, Parents, Accueil, Jardin d'enfants, Classe passerelle, Enseignant, Soutien à la parentalité, Inégalité

L'influence du lieu de garde sur le style d'attachement de l'enfant à l'enseignant en petite section d'école maternelle

Article de Aline Champenois, Susana Tereno

Paru dans la revue Devenir, vol. 28, n° 3, 2016, pp. 159-175.

Mots clés : Ecole-Enseignement, Attachement, Mode de garde, Enfant, Enseignant, École maternelle

La littérature met en évidence les facteurs influant sur le style d’attachement dans le mode de garde, dont l’organisation du mode d’accueil (désignation d’un adulte référent) et la relation de l’adulte à l’enfant et aux parents. L’étude est menée auprès d’un groupe d’enfants ayant fréquenté un jardin d’enfants ne désignant pas d’adulte référent et privilégiant la parole et l’écoute, comparé à un groupe d’enfants ayant fréquenté des crèches dans lesquelles l’adulte désigné comme étant en charge d’un enfant répond à ses demandes de contact corporel. La qualité de l’attachement des enfants est évaluée à l’aide du questionnaire PCV-P administré aux enseignantes de petite section de maternelle. Les résultats confirment l’hypothèse selon laquelle les enfants ayant fréquenté le jardin d’enfants tendent à présenter plus fréquemment un style d’attachement insécure que ceux du groupe témoin, probablement en raison de l’absence de référent stable et de contacts physiques.

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Les risques psycho-sociaux scolaires (RPSS)

Article de Hélène Romano

Paru dans la revue La Psychiatrie de l'enfant, vol. LIX, n° 1, juin 2016, pp. 209-223.

Mots clés : Ecole-Enseignement, Risque professionnel, Établissement scolaire, Enfant, Stress, Souffrance psychique, École, Scolarité

Le terme de risque psycho-social dans le monde professionnel est actuellement régulièrement mis en avant et atteste de l’évolution de notre société dans l’attention portée aux conditions du travail. Mais passé les murs du monde professionnel adulte, l’usage de ce terme disparaît. C’est particulièrement le cas au sein des établissements scolaires, pourtant lieux de travail et d’activités pour les élèves comme pour les professionnels. Nous souhaitons par cette communication proposer une définition des RPSS ; relever les formes prises par les RPS en milieu scolaire, en comprendre les manifestations et les effets, puis envisager les possibilités de prises en charge.

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Eloge de l'ennui

Paru dans la revue Enfances & psy, n° 70, 2016, pp. 6-108.

Mots clés : Enfance-Famille, Jeunesse-Adolescence, Ecole-Enseignement, Ennui, Nourrisson, Enfant, Adolescent, Désir, ELEVE SURDOUE, École

Une part de vérité habiterait-elle l’ennui, qu’il faille le tromper ? Par une organisation des loisirs et de l’école ou encore une occupation de l’adulte, au-delà de toute mesure. Car l’ennui génère de l’inquiétude : quelque chose ou quelqu’un, qui répondait, ne répond plus. C’est pourquoi, peut-être, l’ennui appelle prioritairement la figure de l’adolescent, aux prises avec un travail de deuil d’abord, puis de réappropriation lente de ses pensées. Imagine-t-on une vie sans l’ennui ? Sous l’étymologie réelle de l’ennui – in odio esse, être dans la haine –, perce une référence à la nuit, à l’insomnie, au désœuvrement, c’est-à-dire au désir d’autre chose. Mais ne peut-on s’ennuyer à mourir ?
D’un ennui dont l’indifférence à tout, le désintérêt, la dépression ou la mélancolie seraient les autres noms ? C’est alors qu’il conviendrait non seulement d’entendre l’ennui dans sa valeur de signe, mais d’en préciser – de l’ennui de l’enfant précoce à celui de l’enfant suicidaire – les caractéristiques annonciatrices au regard du trouble qui le sous-tend.

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L'enfant apprenti lecteur

Article de Gérard Chauveau

Paru dans la revue Le Journal des professionnels de l'enfance, n° 100, mai-juin 2016, pp. 44-45.

Mots clés : Ecole-Enseignement, Acquisition des connaissances, Enfant, Lecture, Écriture, Relation adulte-enfant, Compétence