PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3242, 14 janvier 2022, pp. 26-27.
Mots clés : Travail social : Établissements, Éthique, Travail social, Management, Décision, Justice, Implication personnelle, Travailleur social, Échange, Pratique professionnelle, Bien-être, Travail, ANESM, Haute autorité de santé
« Prendre des décisions les plus justes », « donner du sens », « renforcer les relations de confiance », la réflexion éthique est recommandée par les autorités. Mais, dans un secteur sous tension, sa mise en œuvre reste perçue comme secondaire et demande aux dirigeants de se remettre en question pour s’assurer de la mobilisation des professionnels.
Paru dans la revue Lien social, n° 1300, 7 au 20 septembre 2021, pp. 14-15.
Mots clés : Travail social : Métiers, Pratique professionnelle, Référentiel, Maltraitance, Formation, Établissement social et médicosocial, Haute autorité de santé, ANESM
Comment utiliser les recommandations de pratique professionnelle sans négliger la singularité de chaque accompagnement ? Quadrature du cercle, puisqu’aucune réponse utilisée au préalable n’est jamais duplicable.
Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 536-537, janvier-février 2021, pp. 71-88.
Mots clés : Action sociale : histoire et perspectives, Éthique, Maltraitance, Bientraitance, Management, Conseil de la vie sociale, Déontologie, Coût, Tarification, Sens, Établissement social et médicosocial, CPOM, Épidémie, Accompagnement social, Consentement, Empowerment, ANESM, Loi 2002-2 du 02 janvier 2002
La crise du Covid-19 a levé le voile sur les questionnements voire les conflits éthiques auxquels font face les acteurs de l'accompagnement à la personne depuis plusieurs années. Aujourd'hui, le débat public se saisit des problématiques de liberté d'aller et de venir, de consentement, ou encore de droit au risque. Bien avant l'irruption de la pandémie, le chantier de la transformation de l'offre, bâtie sur le principe de société inclusive et la reconnaissance de la personne accompagnée comme citoyenne et actrice de son parcours, interrogeait les valeurs de l'éthique du soin et du prendre soin. Comment le principe d'un accompagnement éthique influence-t-il la refonte du secteur médico-social? Comment les professionnels se saisissent-ils de ces questions? En quoi le crise sanitaire a-t-elle contribué à une prise de conscience collective de l'éthique comme repère et aide à la décision? Ces questionnements, révélateurs d'une dynamique de fond, constituent des pistes pour relever le défi de l'avancée en âge de notre société.
Article de Véronique Ghadi, Pierre Savignat, Laurent Barbe, et al.
Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 530-531 ; 532-533, juillet-octobre 2020, pp. 5-327.
Mots clés : Action sociale : cadre institutionnel et juridique, Démarche qualité, Évaluation, Établissement social et médicosocial, Référentiel, Coopération, Droits des usagers, Légitimité, Responsabilité, Culpabilité, Bientraitance, Action humanitaire, Contrôle, Conflit, Projet d'établissement, Management, Recherche sociale, Procédure, CPOM, ARS, Haute autorité de santé, ANESM, CNSA, Loi 2002-2 du 2 janvier 2002, Loi 2019-774 du 24 juillet 2019
En 2021, les évaluations interne et externe des ESSMS devront être effectuées selon une procédure unique élaborée par la HAS, sur la base d’un référentiel unique servant de guide national. Outre la « fusion » des évaluations externe et interne en une évaluation unique, qui peut poser question, le fait que la HAS se charge de cette évaluation ne risque-t-il pas de faire disparaître les spécificités du secteur social et médico-social ? Qui seront les évaluateurs externes ? De quels « outils » les ESSMS disposeront-ils ? Sans compter les problèmes de calendrier…
Autant de questions et bien d’autres qui peuvent amener à se demander si la manie de l’évaluation, chronophage et mobilisatrice de toujours davantage de ressources, ne va pas s’en trouver encore exacerbée…
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 330, octobre 2019, pp. 12-17.
Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Bientraitance, Management, Éducateur de jeunes enfants, Direction, Équipe, Qualité, ANESM, Etablissement d'accueil du jeune enfant, Jeune enfant, Ricoeur (Paul)
Que veut-on dire exactement lorsque, pour développer la qualité de l'accueil en EAJE, on parle de concilier management et bien-traitance ?
Paru dans la revue Direction(s), n° 173, mars 2019, pp. 18-20.
Mots clés : Travail social : Établissements, Établissement social et médicosocial, Management, Directeur d'établissement, Qualité, Relation travailleur social-usager, Accompagnement social, ANESM, Indicateur, Évaluation, Habilitation, Administrateur ad hoc
Directrice de la qualité de l'accompagnement social et médico-social à la Haute Autorité de Santé (HAS), Véronique Ghadi fait le point sur l'intégration des missions de l'ex-agence nationale Anesm. Parmi ses chantiers? L'élaboration d'un référentiel d'évaluation assorti d'indicateurs et la révision des conditions d'habilitation des organismes externes. Sa priorité : simplifier le dispositif et outiller les structures.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3054, 30 mars 2018, pp. 22-24.
Mots clés : Action sociale : histoire et perspectives, Fusion, ANESM, Haute autorité de santé, Établissement social et médicosocial, Évaluation, Qualité
Votée en 2017,l'absorption de l'Agence nationale de l'évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux (ANESM) par la Haute Autorité de santé (HAS) devient effective le 1er avril. Certains redoutent que la HAS, bien plus puissante que l'ANESM, ne se comporte en prédateur et ne tienne pas compte des spécificités du secteur social et médico-social en lui appliquant les grilles d'évaluation et les critères de qualité des établissements de santé.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3054, 30 mars 2018, p. 25.
Mots clés : Action sociale : histoire et perspectives, Haute autorité de santé, Fusion, ANESM, Culture professionnelle, Évaluation
Cheffe de projet à la Haute Autorité de santé (HAS), Véronique Ghadi est chargée de l'intégration de l'ANESM au sein de la HAS. Elle entend rassurer les acteurs du social et du médico-social sur le fait que la haute autorité ne souhaite pas imposer une vision "sanitaire" des recommandations et de l'évaluation, ni calquer le modèle de la certification hospitalière.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3041-3042, 12 janvier 2018, pp. 35-39.
Mots clés : Travail social : Établissements, Établissement social et médicosocial, SAAD, Évaluation, Méthodologie, Qualité, ANESM
Comme les autres établissements sociaux, les SAAD ont une obligation d’évaluation de leurs activités. Pourquoi cette procédure est-elle obligatoire ? Comment faut-il procéder ? Évaluation interne ? Évaluation externe ? Quelle méthodologie ? Quelle structure d’évaluation ? Ce dossier répond à toutes les questions que vous vous posez et aussi à celles que vous ne vous posez pas. À la fin, vous saurez tout, vraiment tout, sur l’évaluation.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3035, 24 novembre 2017, pp. 34-36.
Mots clés : Travail social : Établissements, Déontologie, Droits des usagers, Établissement social et médicosocial, Législation, Évaluation, ANESM
Quinze ans après la reconnaissance des droits des usagers par la loi du 2 janvier 2002, les professionnels des structures du social et du médico-social ont pris l’habitude de jongler avec de nouveaux outils de travail : contrats de séjour, projets d’établissement, conseils de la vie sociale. Néanmoins, des critiques pointent. Pour les uns, la loi serait trop contraignante et bureaucratique, pour les autres, elle ne serait pas assez efficace pour rendre effectifs les droits des usagers. Yves Le Duc, juriste et ancien formateur à l’institut régional du travail social (IRTS) Paris – Ile-de-France, rouvre le débat sous l’angle de la déontologie. Laquelle, selon lui, ne peut être que multiservice et évolutive.