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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Appréhender la violence du public

Article de Flora Peille

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3313, février 2024, pp. 65-67.

Mots clés : Travail social : Métiers, Justice-Délinquance, Travail social, Violence, Insécurité, Travail d'équipe, Émotion

Les professionnels sont de plus en plus souvent confrontés à la violence des personnes qu’ils accompagnent. Faute d’être prise en compte au sein des formations initiales, la sensibilisation à la problématique débute durant la carrière.

Un questionnement épistémologique du passage à l’acte criminel

Article de Stéphanie Germani

Paru dans la revue Empan, n° 119, septembre 2020, pp. 169-176.

Mots clés : Justice-Délinquance, Recherche, Criminologie, Épistémologie, Psychologie, Transfert, Émotion, Passage à l'acte, Transgression, Contre-transfert

Comment fonder une recherche à partir de sujets humains et appréhender la notion criminelle en gardant un positionnement scientifique ? La clinique de la transgression est un terrain qui ne laisse pas indifférent. La neutralité est l’une des difficultés majeures. Le « moi » du thérapeute ou du chercheur est souvent meurtri et en proie à divers affects « violents » qu’il ne peut facilement écarter. Peut-on comprendre les patients et les séances avec rigueur et objectivité ? Comment rendre scientifique la restitution du terrain de par les éprouvés transférentiels/contre-transférentiels ?
Cet article recense les multiples résistances opérant dans l’approche de cet objet d’étude et argumente divers paradigmes nécessaires pour valider l’objectivité du chercheur.

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Repérer les idéaux proposés par les groupes radicaux pour refaire du lien humain

Article de Dounia Bouzar

Paru dans la revue Le Sociographe, n° 58, juin 2017, pp. 67-77.

Mots clés : Justice-Délinquance, Adolescent, Islam, Manipulation mentale, Légitimité, Émotion, Motivation, Croyance

« Déradicaliser » ne signifie pas « déprogrammer ». Au contraire, il s’agit de trouver le moyen d’amener des nouvelles informations au radicalisé pour qu’il comprenne de lui-même le décalage entre son utopie et l’idéologie radicale, de manière à ce qu’il change d’engagement. Les travailleurs sociaux se retrouvent en première ligne, car dans l’idéologie mortifère de l’islam radical, nous verrons que nous sommes au cœur de l’humain.

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