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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Mathieu Ichou, chercheur à l’Ined : “Ne pas assimiler immigration et échec scolaire”

Article de Brigitte Bègue, Mathieu Ichou

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3130, 18 octobre 2019, pp. 26-27.

Mots clés : Ecole-Enseignement, Immigration-Interculturalité, Relation, Scolarité, Immigration, Échec scolaire, Histoire familiale, Inégalité, Famille nombreuse

Un quart des élèves ont au moins un parent immigré. Mais que sait-on vraiment de leur scolarité, si ce n’est quelques idées reçues ? Dans son livre « Les enfants d’immigrés à l’école », le chercheur Mathieu Ichou souligne la grande diversité des parcours et l’importance de l’histoire familiale prémigratoire.

Quelle(s) langue(s) parles-tu ?

Article de Jean Pierre Martin

Paru dans la revue Vie sociale et traitements VST, n° 141, 1er trimestre 2019, pp. 11-70.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Langue étrangère, Langue maternelle, Bilinguisme, Identité culturelle, École maternelle, Tradition, Échec scolaire, Interculturel, CMP, Langue régionale, Parole, Quartier, Jeune, Territoire, Apprentissage, Droit d'asile, Intégration, Racisme, Interprétariat, Analyse de la pratique

Qui dit migration et exil dit très souvent questions de langue. Quelle langue parler : celle(s) du pays d’origine ou celle de la France ? Langue maternelle mais aussi langue de dominé, quelle fierté possible de sa langue ? Que penser du bilinguisme familial dans la petite enfance ? Comment et qui traduit ? Une langue véhicule une culture. Quand on la parle mal, quand on la comprend mal, comment se comprendre vraiment ? Une langue maternelle, c’est aussi une identité. Alors que faire avec les parlers créole et kanak dans les ex-territoires colonisés de la République ? Continuer à les nier ou à les considérer comme des sous-langues après les avoir interdits, comme ont été niés les parlers régionaux métropolitains ?
Le travail social, le soin sont une relation d’échange avec une personne. Alors, comment prendre sa langue en compte puisqu’elle contribue à la constituer comme sujet ?

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