PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Article de Olivier Galland, Augustin Vicard, Thibaut de Saint Pol, Philippe Lemistreet al.
Paru dans la revue Cahiers français, n° 434, juillet-août 2023, pp. 13-85.
Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Jeune, Intergénérationnel, Politique, Niveau scolaire, Insertion sociale, Insertion professionnelle, Diplôme, Formation initiale, Enseignement supérieur, Orientation scolaire, Jeune travailleur, Implication personnelle, Citoyenneté, Mission locale pour l'emploi, Service civique volontaire, Culture, Technologie numérique, Réseau social, Technologie de l'information et de la communication, Internet, Militantisme, Écologie
Qu'est-ce qu'être jeune aujourd'hui ? / Olivier Galland
Au-delà de la génération Z, les différents visages de la jeunesse / Augustin Vicard
Quelles politiques en faveur de la jeunesse ? / Thibaut de Saint Pol
La formation initiale des jeunes : un enjeu clé / Philippe Lemistre
Quelle insertion dans l'emploi ? / François Sarfati
Les cultures jeunes à l'ère numérique / Sylvie Octobre
Les registres pluriels de l'engagement des jeunes / Anne Muxel
Paru dans la revue Agora, n° 91, 2022 [2], pp. 7-20.
Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Jeune, Insertion sociale, Insertion professionnelle, Enquête, Récit de vie, Diplôme, Québec
La jeunesse pose problème quand il s’agit de l’envisager sous l’angle sociologique afin de savoir comment les jeunes s’insèrent dans la société ou, plus exactement, dans la vie sociale. En effet, la jeunesse correspond à une courte période de l’existence, sujette aux aléas de l’entrée dans la vie adulte. Comment peut-on, dans ces conditions, saisir la vie d’une personne pour qui l’intégration à la société est en voie de se faire ?
Les problèmes, on le devine, sont d’ordre à la fois théorique et méthodologique. Le présent article cherche à les cerner à la lumière de deux enquêtes conduites à dix ans d’intervalle auprès d’une même cohorte de jeunes, en vue d’appréhender concrètement leur insertion sociale et professionnelle au terme de leurs études universitaires. Un retour sur cette expérience qui remonte à plusieurs années met ici au jour la pertinence que peut revêtir une étude longitudinale auprès des jeunes, dont le récit de vie paraît constituer la méthode idéale malgré les difficultés qu’elle ne manque pas de soulever d’entrée de jeu.
Article de Brigitte Bègue, Nicolas Duvoux, Nadège Vezinat
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3189, 18 décembre 2020, pp. 32-33.
Mots clés : Travail-Emploi, Insertion professionnelle, Formation professionnelle continue, Accompagnement social, Adulte en difficulté, Enseignement technique, Diplôme, Exclusion sociale
Les politiques d’insertion n’ont pas fait la preuve de leur efficacité. Pire, depuis quarante ans, la situation des jeunes non qualifiés se détériore. Une expérimentation, l’école des « Plombiers du numérique », semble porter ses fruits en allant à contre-courant des dispositifs classiques.
Article de Hicham Jamid, Lama Kabbanji, Antonina Levatino, et al.
Paru dans la revue Migrations société, vol. 32, n° 180, avril-juin 2020, pp. 19-134.
Mots clés : Immigration-Interculturalité, Étudiant, Étranger, Migration, Mobilité géographique, Mobilité sociale, Classe sociale, Politique, Immigration, Sélection, Retour au pays, Diplôme, Réussite sociale, Insertion professionnelle, ERASMUS, France, Mali, Togo, Comores, Union Européenne
Les migrations étudiantes se déploient aujourd’hui selon des modalités liées aux dynamiques récentes de la mondialisation néolibérale, au développement d’un marché du travail toujours plus tertiarisé et à la place qu’y tiennent désormais les étrangers. Les étudiants internationaux, dans ce qui est devenu un marché très stratifié et relativement complexe de l’enseignement supérieur mondial, forment néanmoins une population socialement hétérogène. En remettant la classe sociale au centre de l’analyse, ce dossier vise à rendre compte de la diversité de leurs trajectoires et de repenser l’articulation entre les études supérieures, la mobilité géographique et la mobilité sociale. En s’inscrivant dans le cadre des réflexions menées depuis 2016 par le collectif de chercheurs MobElites, il a pour objectif de montrer comment et jusqu’à quel point les migrations pour études peuvent générer, ou non, une mobilité sociale et, à un autre niveau, reproduire ou engendrer de nouvelles inégalités pendant, mais aussi après les études. Ce faisant, ce dossier interroge les inégalités liées à la globalisation, en multipliant les approches disciplinaires et théoriques, et à travers des terrains et des méthodologies variés.
Paru dans la revue Nouvelle revue de psychosociologie, n° 28, automne 2019, pp. 85-95.
Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Diplôme, Égalité des chances, Emploi, Imaginaire, Insertion professionnelle, Jeune, Parrainage, Précarité, Résilience, Foucault (Michel), Lacan (Jacques)
Cet article se penche sur les ambiguïtés d’un projet innovant qui soutient des actions de parrainage favorisant l’accès à l’emploi des jeunes diplômés de condition sociale modeste. D’un côté, ce projet a une portée émancipatrice, dans la mesure où il favorise des actions « réparatrices » qui s’inscrivent dans une perspective d’égalité des chances, dans le droit fil de la mythologie républicaine française. De l’autre, la visée adaptatrice et normalisatrice qui sous-tend ces actions vient réduire considérablement la portée émancipatrice du projet. Mais en quoi consistent ces actions de parrainage et les pratiques qui en découlent ? Les auteurs s’attachent à les décrire et à les analyser dans une perspective critique, à la lumière des travaux de Michel Foucault sur les « techniques de soi » et de ceux de Jacques Lacan sur l’Imaginaire.
Article de Véronique Bourrel, Marie Canali, Virginie Lozet, et al.
Paru dans la revue Empan, n° 115, septembre 2019, pp. 133-140.
Mots clés : Travail social : Formation, Professionnalisation, Identité professionnelle, Écrit professionnel, Insertion sociale, Insertion professionnelle, Handicap, Surveillant de nuit, Partenariat, Organisme de formation, Université, Diplôme, Travailleur social, Recherche
Cet article se propose de présenter les travaux de recherche en sciences de l’éducation de trois formateurs de l’Institut Saint-Simon : le premier s’interroge sur l’impact des écrits pédagogiques demandés aux stagiaires dans leur processus de professionnalisation. Le deuxième souhaite aborder la question de l’inclusion sociale et professionnelle de personnes en situation de handicap. Le troisième aborde la question de l’identité professionnelle des surveillants de nuit et leur rapport à la formation.
Paru dans la revue Lien social, n° 1234, 4 au 17 septembre 2018, pp. 16-17.
Mots clés : Travail social : Formation, Insertion professionnelle, Travailleur social, Enquête, Diplôme, APRADIS (Association pour la professionnalisation la recherche l'accompagnement et le développement en intervention sociale), Picardie
Une enquête régionale sur le devenir des étudiants un an après l'obtention d'un diplôme de travail social (niveaux V à I) montre une bonne insertion professionnelle, mais des évolutions notables et des disparités selon le diplôme.
Paru dans la revue Alternatives économiques, n° 371, septembre 2017, pp. 76-79.
Mots clés : Ecole-Enseignement, Diplôme, Niveau scolaire, Statut social, Marché du travail, Scolarité, Insertion professionnelle
Les jeunes Français n'ont jamais été autant diplômés. S'insèrent-ils mieux professionnellement pour autant ? Le débat est vif en raison de la complexité de l'articulation entre éducation et monde du travail
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 2985, 25 novembre 2016, pp. 28-31.
Mots clés : Travail social : Métiers, Travailleur social, Statistiques, Diplôme, Insertion professionnelle
Depuis 2004, le nombre de diplômés n’a cessé d’augmenter dans la plupart des filières du secteur social, à l’exception des moniteurs-éducateurs et des assistants de service social. Fait notable : la croissance rapide du nombre de formations de niveau V (aide médico-psychologique, aide à domicile…). Ce qui ne change pas, en revanche, c’est la féminisation toujours importante des métiers sociaux, y compris chez les cadres. Des données commentées par l’Unaforis.