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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Education positive : faut-il bannir le "time out" ?

Article de Jacques Trémintin, Marie Chetrit

Paru dans la revue Le Journal de l'animation, n° 242, novembre-décembre 2023, pp. 22-33.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Éducation, Relation éducative, Conflit, Autorité, Crise, Règle, Écoute, Émotion, Frustration, Psychologie du développement, Relation adulte-enfant

Les partisans d'une éducation positive et ceux revendiquant la nécessité de poser des limites s'entredéchirent depuis plus d'un an, à coup de tribunes libres et de déclarations incendiaires autour de la pratique du "time out". Celle-ci consiste à mettre à l'écart un enfant quand survient une situation de conflit, de crise ou de transgression de règles, le temps qu'il retrouve calme et apaisement. Les premiers sont accusés d'une permissivité faisant le lit de l'enfant-roi. Les seconds sont soupçonnés de vouloir revenir à un dressage répressif, coercitif et violent. Un an après, que peut-on retenir de ce débat ? Ce dossier n'a pas pour vocation de prendre parti, mais de tenter d'éclairer le lecteur sur cette polémique.

Comprendre et prévenir la radicalisation des jeunes

Article de Jacques Trémintin

Paru dans la revue Le Journal de l'animation, n° 179, mai 2017, pp. 20-31.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Justice-Délinquance, Terrorisme, Jeune, Pratique religieuse, Valeur, Psychologie, Influence sociale, Intégrisme, Animation, Éducation, Prévention, Pédagogie, Relation éducative

Chacun(e) d'entre nous peut posséder des convictions chevillées au corps, comme supporter sportif, adhérent(e) à un parti politique, fidèle d'une religion, militant(e) d'une cause, etc. sans pour autant dénier à autrui le droit de ne pas les partager. Tout au contraire, le radicalisme pousse à l'intransigeance et à l'intolérance face au moindre avis divergent, ne supportant aucune exception et pouvant même provoquer des passages à l'acte violents et extrémistes visant à imposer par la force sa vision du monde. On est là aux antipodes du vivre ensemble et de la démocratie. Quels sont les tenants et les aboutissants de cette posture ? Comment s'articulent le registre psychologique individuel et la dimension contextuelle socio-historique qui engendrent cette posture ? Comment la prévenir et la combattre ?