PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Empan, n° 132, décembre 2023, pp. 87-92.
Mots clés : Handicap-Situations de handicap, AESH, Intégration scolaire, Adaptation, Pédagogie, Accompagnement, Projet individualisé, Équipe pluridisciplinaire, Maroc
Il s’agit d’une approche globale, élève/parents/AESH/enseignants, pour la prise en charge des élèves à besoins éducatifs particuliers dans un établissement français appartenant au réseau de la Mission laïque française, implanté au Maroc. Accompagnement de l’ensemble des personnels, formation spécifique pour les AESH, accompagnement des élèves bénéficiaires pour une mise en œuvre concrète des aides : l’équipe est inscrite dans l’accompagnement personnalisé de chaque élève selon les enjeux pédagogiques partagés de l’École inclusive.
Paru dans la revue Empan, n° 124, décembre 2021, pp. 86-91.
Mots clés : Ecole-Enseignement, Épidémie, Innovation, Apprentissage, Pédagogie, Technologie numérique, Adaptation, Enseignement à distance, Covid-19
A travers un dialogue entre les deux auteurs, les conséquences pédagogiques de deux années de crise sanitaire sont mises en évidence. Changement des pratiques, apprentissage des méthodes à distance tant pour les élèves que pour les enseignants, rôles et perceptions des parents. Si la crise a pu être vécue avec difficultés, certaines habitudes peuvent être durablement modifiées de même que le rapport à l'école et à l'apprentissage.
Paru dans la revue Empan, n° 108, décembre 2017, pp. 84-87.
Mots clés : Ecole-Enseignement, Analyse de la pratique, LEP, Adolescent, Éducation, Groupe de parole, Partenariat, Insertion sociale, Insertion professionnelle
Le projet « Prise en charge d’adolescents en situation de fragilité psychique. Développement de leurs compétences psychosociales. Formation des adultes en charge de ce public adolescent à besoins particuliers » offre un exemple de partenariat pour une inclusion sociale, pour une réussite éducative et une insertion professionnelle d’élèves de CAP prioritaire.
Les enfants qui souffrent de TSA dépensent une énergie considérable à masquer les difficultés qu’ils rencontrent. Une première démarche est d’investir efficacement dans la rééducation, ouvrant au plaisir des apprentissages à réaliser. Beaucoup de difficultés se manifestent dès l’école. Ces enfants se voient parfois plus en difficulté qu’ils ne le seraient si une attitude bienveillante présidait aux décisions pédagogiques et aux rééducations à mettre en œuvre. Ce récit a valeur de témoignage sur une forme adaptée de réponse à la difficulté d’une élève de primaire.
Paru dans la revue Empan, n° 99, septembre 2015, pp. 51-55.
Mots clés : Ecole-Enseignement, Échec scolaire, Expérimentation, Lycée, Jeune en difficulté
Tous les jeunes ne trouvent pas leur compte dans le groupe classe classique. Le micro-lycée est une structure expérimentale animée par une équipe motivée et motivante qui aide les jeunes à se reconstruire, à se remettre en mouvement, puis au travail pour atteindre l’objectif du diplôme. C’est une structure collective, participative, où chacun est coresponsable. Cet article décrit la structure et pointe quelques aspects qui semblent essentiels du point de vue du groupe et de ses interactions avec l’environnement.
Paru dans la revue Empan, n° 99, septembre 2015, pp. 56-60.
Mots clés : Jeunesse-Adolescence, LEP, Fille, Harcèlement sexuel, Harcèlement moral, Groupe d'appartenance, Action éducative, Discrimination, Relation femme-homme
La création du groupe identitaire a permis une incidence positive sur un contexte dans lequel les pratiques de la relation filles-garçons pouvaient être innommables dans un lycée qui ne comptait alors que 6 % de filles, du fait de filières de formation « typées masculines ». Un grand nombre d’entre elles faisaient l’objet de remarques sexistes ou déplacées. L’équipe éducative remarque l’existence de brimades de genre à leur égard, pouvant aller jusqu’à un certain harcèlement physique ou moral. Les discriminations de la part des élèves et de certains adultes de l’établissement envers les jeunes filles sont révélées. Cinq ans plus tard, le lycée compte 11 % de filles, la situation est apaisée et la vigilance est l’affaire de tous.