Rechercher un article, un ouvrage, une thèse

PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 1 à 10 sur un total de 36

Votre recherche : *

Une femme comme moi

Film de Johanna Bedeau, 2020.

Mots clés : Enfance-Famille, Violence, Abus sexuel, Agression, Harcèlement sexuel, Femme, Travail, Victime, Police

Ce court-métrage, qui se déroule sur les monologues de 4 femmes, fait partie d'un kit de formation portant sur le harcèlement et les violences sexuels dans la sphère professionnelle, la stratégie de l’agresseur et son impact sur la victime. Il présente le repérage des victimes par le questionnement systématique sur la femme victime, repérage qui améliore la prise en charge et l’orientation par le.la manager de la victime.

Téléchargeable sur https://stop-violences-femmes.gouv.fr/ (Présentation éditeur)

Une femme comme moi, kit Violences sexistes et sexuelles au travail

La société inclusive en question

Film de Michel Szempruch, 2020.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Handicap, Personne handicapée, Handicap visuel, Handicap moteur, Inclusion, Droit, Scolarité, Auxiliaire de vie scolaire, Scolarisation, Témoignage, Société, Travail, Entreprise adaptée, Emploi, Aide financière, AAH, Tourisme, Accessibilité, Milieu ordinaire, Institution, Désinstitutionnalisation, Citoyenneté, Discrimination, Amour

Quinze ans après l’adoption de la loi Handicap de 2005, législation majeure pour le handicap, qu’en est-il de la société française dans son rapport au handicap ? Les objectifs de compensation, de pleine citoyenneté de la loi ont-ils été atteints ?
Qu’en est-il également de la notion d’inclusion qui semble faire consensus? Au delà des discours qu’en est-il dans la réalité ? Trois jeunes femmes « génération 2005 » Alexandra, Amaranta et Carla nous font partager leurs visions sur la société aujourd’hui, leurs expériences. Divers acteurs politiques, institutionnels, associatifs, professionnels, chercheurs, débattent autour de la notion d’inclusion, partagent leurs analyses, points de vue critiques et aspirations. Si l’horizon d’une société véritablement inclusive reste encore à atteindre, quel chemin reste t’il encore à parcourir ? (Présentation de l'éditeur)

Accès à la version en ligne

Salagosse

Film de Laurent Aït Benalla, 2019.

Mots clés : Enfance en danger-Protection de l’enfance, Jeunesse-Adolescence, MECS, Mineur non accompagné, ASE, Apprentissage professionnel, Éducateur spécialisé, Travail de nuit, Travail, Milieu rural

Au bout d’une route qui mène à un hameau cévenol isolé, nommé Salagosse, se trouve une maison d’enfance à caractère social. Des jeunes, principalement des mineurs non accompagnés venus de tous horizons y sont placés par l’Aide Sociale à l’Enfance pour une durée de deux ans, le temps de se former sur place à des métiers techniques. Tourné sur trois saisons, le film interroge leur façon d’habiter ces espaces, le langage et leur corps en mouvement. [Présentation de l’éditeur, © ADAV]

Première année dehors, journal de bord

Film de Valérie Manns, 2019.

Mots clés : Justice-Délinquance, Prison, Sortant de prison, Liberté, Témoignage, CHRS, Libération conditionnelle, CONSEILLER D'INSERTION ET DE PROBATION (CIP), Éducateur spécialisé, Foyer d'hébergement, Travail, Insertion sociale, Insertion professionnelle, Isolement, Toxicomanie, Justice, Confiance, Autonomie, Inadaptation sociale, Image de soi

Trois hommes sortent de prison, après avoir purgé des peines de deux à trente ans. La réalisatrice capte leur trajectoire leur première année dehors, sous la forme d’un journal de bord. Norbert, Raphaël, Yemine se confient sur les étapes de cette nouvelle vie. Tout en délicatesse, nous observons comment leurs projets se heurtent à une réalité sociale, affective et sanitaire et se transforment au fil de leur expérience du dehors. Un film qui explore l’empreinte physique et psychique de l’incarcération et les enjeux qui se posent à la sortie de prison. Peut-on réapprendre à être libre ? [Présentation de l’éditeur, © ADAV]

Bande-annonce

Les enfants d'ERASMUS : l'Europe pour tous ?

Film de Andreas Apostolidis, Angeliki Aristomenopoulou, 2019.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Ecole-Enseignement, Enseignement supérieur, Jeune, Université, Voyage, Stage, Travail, Emploi, Mobilité professionnelle, Méthode pédagogique, Coopération, Mixité sociale, Interculturel, Service civique volontaire, Réfugié, Expérience, Identité culturelle, Europe, France, Irlande, Finlande, Pologne, Espagne, Grèce, Lituanie

"Les enfants d’Erasmus" suit sur une période de deux à douze mois le périple de cinq jeunes qui quittent leur ville d’origine pour la première fois pour participer au programme de mobilité Erasmus+. Ils vont ainsi mettre à l’épreuve leurs idées, leur identité et leurs valeurs au contact d’une réalité différente dans un autre pays européen. Le documentaire part également à la rencontre de la première génération de diplômés Erasmus (1987-1997) qui expliquent en quoi cette expérience a changé durablement leur vie. Le contraste entre les deux générations permet de comprendre le processus et les difficultés que représente le fait de "devenir plus européen". Différents spécialistes européens analysent les enjeux.
[présentation de l’éditeur, © ADAV]

Chercheurs en folie

Film de Guillaume Dreyfus, 2018.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychopathologie, Handicap psychique, Personne handicapée, Santé mentale, Recherche-action, Parole, Citoyenneté, Insertion sociale, Institution, Politique sanitaire, Usager, Droits des usagers, Empowerment, Participation, GEM, Soin, Hospitalisation, Médicament, Accès aux droits, Logement, Travail, Association, Réunion, Sociologue, Autonomie, Milieu ordinaire, Caen

Ce film raconte une recherche-action initiée par l'association Advocacy-France, menée pendant trois ans, sur le thème suivant : la prise en compte de la parole des personnes dites handicapées psychiques par les décideurs publics.
Pour davantage d'informations sur les différentes productions issues de cette recherche-action, voir sur le site de la FIRAH : http://www.firah.org/centre-ressources/prise-de-parole-en-sante-mentale.html (Description éditeur)

Accès à la version en ligne, FIRAH

L'usager dans la communauté

Film de Nicolas Janaud, 2018.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychopathologie, Handicap psychique, Insertion sociale, Psychiatrie, Approche historique, Représentation sociale, Soin, Consentement, Hospitalisation, Médicament, Travail, Citoyenneté, Droit, Stigmatisation

En 1973, dans Le psychotique dans la Ville, Eric DUVIVIER sonde l'avis de riverains de l'hôpital psychiatrique de Lyon à propos de la sortie des malades pour des soins externalisés, à l'occasion de la mise en place du secteur psychiatrique. En 2017, L'usager dans la Communauté ré-interroge les représentations sociales de l'univers de la maladie psychiatrique, dans une vision globale de la Santé Mentale, davantage intégrée dans la citoyenneté. En France, les politiques de Santé Mentale considèrent la lutte contre la stigmatisation des personnes souffrant de troubles psychiques comme enjeu prioritaire à leur réhabilitation psychosociale.

Ce film se propose d'être support a des projections de type Ciné Débat dans le cadre d'initiatives de lutte contre la stigmatisation. Son téléchargement et son exploitation sont gratuits et il suffit juste de d'en informer le réalisateur via sa page Vimeo. (Description éditeur)

Accès à la version en ligne

Oldyssey

Film de Clément Boxebeld, Julia Mourri, 2018.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Témoignage, EHPAD, Clown, Sport, Maison de retraite, Musique, Maladie neurologique, Danse, Retraite, Immigré, Expérience, Bénévolat, Étudiant, Hébergement, Intergénérationnel, Enfant, Mode, Vêtement, Création, Cohabitation, Communauté, Maladie d'Alzheimer, Médecine, Science, Homosexualité, Femme, Polygamie, Travail, Vie quotidienne, Brésil, Afrique du Sud, Italie, Belgique, Allemagne, Québec, Afrique, Etats Unis, Inde, Chine

Oldyssey est un webdocumentaire composé de films courts. Il veut prendre le contrepied du discours ambiant et parler autrement de la vieillesse, en donnant la parole aux premiers concernés : les vieux.
Ils racontent leur histoire et celle des lieux où ils ont passé la plus grande partie de leur existence, partagent leur quotidien, nous donnent leurs tips pour réussir en amour, au travail, ou au contraire ce qui n’a pas marché.
Oldyssey montre des modèles, initiatives, lieux de vie qui rapprochent les âges, en France et ailleurs. Pour donner à voir d’autres manières de penser la vieillesse, d’habiter son quartier et le territoire, d’autres façons de communiquer. Et balayer l’idée absurde d’une limite au-delà de laquelle notre ticket ne serait plus valable.
En octobre 2017, Clément Boxebeld et Julia Mourri ont exploré une douzaine de pays pour montrer les vieux d’ailleurs et les modèles qui s’inventent. Ces rencontres ont donné lieu à de courtes vidéos postées sur ce site et sur les réseaux d’Oldyssey, ainsi qu'au livre sorti en poche sous le titre "Vieillir Ensemble" (Points), sorti fin 2019 aux éditions du Seuil sous le titre "Oldyssey".
Depuis l’automne 2019, Clément et Julia tournent en France pour filmer les anciens de nos régions et repérer ce qui émerge sur notre territoire, tandis que Camille Tochon et Flore Desal, deux nouvelles recrues, entament la deuxième saison des “Vieux du monde entier”. (Description éditeur)

Oldyssey

Murs de papiers

Film de Olivier Cousin, 2018.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Étranger, Clandestinité, Réfugié, Aide juridictionnelle, Assistance, Association, Solidarité, Intégration, Travail, Immigration, Témoignage, Droit d'asile, Titre de séjour, CIMADE, Paris

Suivant le quotidien d'une permanence de la Cimade (à l'origine acronyme pour Comité inter-mouvements auprès des évacués), Olivier Cousin filme sans artifice et capte au plus près les émotions des personnes étrangères sans papiers souhaitant une assistance juridique afin de régulariser leur situation. Face aux difficultés (précarité extrême, vie dans l'illégalité, déclassement, exploitation par des employeurs peu scrupuleux), le lieu se révèle un espace chaleureux de solidarité où les langues se délient. Là, toutes et tous aspirent, à travers l'obtention de titres de séjour, à accéder à un semblant de vie normale pour pouvoir, enfin, vivre dans la dignité.

Durant deux ans, Olivier Cousin a installé sa caméra dans les locaux de la permanence RCI/Cimade (Réseau Chrétiens-Immigrés) de Paris-Belleville, où lui-même a œuvré un temps comme bénévole. Dans cet espace clos, salariés et bénévoles écoutent, orientent, réconfortent, cherchant les meilleures stratégies pour que les demandes de celles et ceux qui sont parfois depuis de nombreuses années en France aboutissent. En révélant l'hypocrisie d'un système exploitant cette clandestinité, Murs de papiers rappelle que l'immigration, à travers la main d'œuvre bon marché qu'elle génère, n'est pas un coût mais un bénéfice, pour l’État comme pour les entreprises, "générant une contribution budgétaire nette positive de plusieurs milliards d'euros par an". Le durcissement des régularisations est d'autant plus absurde que, comme l'explique l'une des femmes œuvrant à la permanence, non seulement les migrations ne s'arrêteront pas, mais elles ne feront qu'augmenter. Cependant elle ajoute : "On n'est pas envahi et on ne le sera jamais !" (Caroline Châtelet). (Description éditeur)

Murs de papier

Amin

Film de Philippe Faucon, 2018.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Immigré, Travail, Famille, Séparation, Amour, Économie, Immigration, France, Sénégal

Amin est venu du Sénégal pour travailler en France, il y a neuf ans. Il a laissé au pays sa femme Aïcha et leurs trois enfants. En France, Amin n’a d’autre vie que son travail dans les BTP,  et pas d’autres amis que les hommes qui résident au foyer. Aïcha ne voit son mari qu’une à deux fois par an, pour une ou deux semaines, parfois un mois. Elle accepte cette situation comme une nécessité de fait, l’argent qu’Amin envoie au Sénégal fait vivre plusieurs personnes. Un jour, en France, Amin rencontre Gabrielle et une liaison se noue. Au début, Amin est très retenu. Il y a le problème de la langue, de la pudeur. Jusque-là, séparé de sa femme, il menait une vie consacrée au devoir et savait qu’il fallait rester vigilant.
[présentation de l’éditeur, © ADAV]

En complément : Essais comédiens, (9 min), Essais costumes (4 min.), scènes coupées (5 min.), entretien avec Philippe Faucon et Moustapha Mbengue (15 min).