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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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La cité des femmes

Film de Laurent Ménochet, 2021.

Mots clés : Territoire-Logement, Lien social-Précarité, DSL, Milieu urbain, Association, Bénévolat, Implication personnelle, Communauté, Partenariat, Solidarité, Travail social de communauté, Lien social, Quartier, Démocratie participative, Réseau, Travailleur social, Politique de la ville, Femme, Théâtre, Immigré, Atelier, Langue vivante, Féminisme, Accueil enfant-parents, Soutien scolaire, Assistant de service social, Militantisme, Personne âgée, Jardinage, Italie

Parme, ville de la région Emilie-Romagne en Italie, n'est pas seulement riche de son patrimoine culturelle. Acteurs sociaux, communautaires et citoyens s'engagent pour faire communauté et pour favoriser l'implication de chacun dans des projets communautaires. Des laboratoires familiaux et des points de communauté fleurissent dans les quartiers de la ville. Diverses actions et activités sont proposés aux habitants de tous âges ainsi qu'aux nouveaux arrivants. De jour comme de nuit, Parme est une ville de liens.

La cité des femmes

Les enfants du marais

Film de Quentin Cezard, Raphaëlle Taquard, Thomas Gathy, 2021.

Mots clés : Lien social-Précarité, Squat, Précarité, Immigré, Autogestion, Expulsion, Caen, Normandie

Destins croisés au cœur du plus grand squat de France. Nafissat, Rudina, Salman et Myriam. Quatre migrants, parents ou adolescents, vivant au Marais, un squat du centre-ville de Caen. Ils nous racontent comment ils réussissent dans la clandestinité à se forger une identité française. Comment ils vivent dans cet immense squat autogéré accueillant 250 habitants dont 80 enfants. Ils nous entraînent dans leur quotidien et révèlent leurs difficultés et leur rêve de "ne plus être considéré comme des invisibles et des indésirables". Nous avons suivi ces habitant.e.s pendant sept mois, jusqu’à l’expulsion du squat. (Présentation éditeur)

Que m'est-il permis d'espérer

Film de Raphaël Girardot, Vincent Gaullier, 2019.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Action sociale : cadre institutionnel et juridique, Réfugié, Immigré, Droit d'asile, Action humanitaire, Accueil d'urgence, Administration, Procédure, Santé, Consultation médicale, Entretien, Récit de vie, Souffrance psychique, SDF, Paris

Dans un camp ouvert à Paris (2016-2018), Porte de la Chapelle, des réfugiés sont en transit. Quelques jours à peine d’humanité dans ce centre de "premier accueil". Là, ils se reposent de la rue où ils ont échoué à leur arrivée en France après un voyage de plusieurs mois. Souvent de plusieurs années. Mais déjà, ils doivent affronter la Préfecture et entendre la froide sentence administrative. [Présentation de l’éditeur, © ADAV]
En complément : bande-annonce

Famille(s) en mutation

Film de Anne Jochum, 2019.

Mots clés : Enfance-Famille, Famille, Parentalité, Changement social, Modèle, Parents, Enfant, Besoin, Fratrie, Famille recomposée, Séparation, Sociologue, Psychologue, Psychanalyste, Immigré, Norme sociale, Stigmatisation, Thérapie familiale, Soutien à la parentalité, Éducation familiale, Autorité parentale, Famille monoparentale, Procréation médicalement assistée, Homosexualité, Homoparentalité

"La famille bouge... elle a toujours bougé et elle continuera de bouger... Il faut juste que nous soyons prêts à accueillir et à accepter ces changements..." C'est ainsi que Charles Di, psychologue, nous invite à réfléchir sur les mutations de la famille, souvent décrite "en crise" dans nos sociétés. Familles recomposées, familles monoparentales, familles homoparentales, familles "traditionnelles", aujourd'hui chacun a le choix de s'inventer un nouveau modèle de parentalité dans une société qui a traversé nombres d'autres mutations (économiques, culturelles…). Il y a autant de parentalités qu’il y a de familles, et ce film interroge des professionnels, des parents, des enfants sur les reliefs de ces différents modèles. Il nous invite à nous ouvrir à d'autres façons d'être au monde et ainsi à mieux comprendre les enjeux et les besoins de l'enfant et de ses parents dans la construction d'une "nouvelle" famille.
En complément : Séparations et besoins de l'enfant. Normes et performances. Familles d'ailleurs et regards professionnels. Quand l'enfant est stigmatisé. Organisation et thérapie familiale. L’aide à la parentalité, avec Daniel Coum (Psychologue clinicien), Charles Di (Psychologue clinicien), Jean Epstein (Psychosociologue), Gaëlle Guignard (Psychologue clinicienne) et Erwan Hemeury (chuchoteur de la Cie Choubikenn).
[présentation de l’éditeur, © ADAV]

Site de l'éditeur sur le document

Le Bon Grain et l'Ivraie

Film de Manuela Frésil, 2018.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Enfance-Famille, Immigré, Immigration, Droit d'asile, Accueil d'urgence, Accueil de jour, Hôtel social, Enfant, Famille en difficulté, SDF, Bénévolat, Annecy

Dans une forme toute empreinte de délicatesse, tressant de longues séquences au plus près des enfants, quelques témoignages des parents en voix off et des rappels de l'évolution de la loi à l'égard des réfugiés, Le Bon Grain et l'Ivraie donne à voir les conséquences concrètes de la politique française à l'égard des exilés. A Annecy, au-delà de la précarité de ces familles, Manuela Frésil se concentre sur les enfants, qui développent au quotidien l'art et la manière de s'adapter. Debout face caméra, deux fillettes répondent à des questions sur le lieu où elles vivent. Bientôt, leur frère les rejoint et explique comment ils ont manqué être expulsés vers le Kosovo, leur pays d'origine. Le propos du Bon Grain et l'Ivraie se condense dans cette poignée de minutes inaugurales, où une séquence anodine révèle son versant tragique. C'est que le quotidien des familles filmées durant un an par Manuela Frésil n'a rien de "normal". Dans l'attente de l'obtention du statut de réfugiés, toutes sont expulsées du centre d'hébergement d'urgence (une ancienne colonie de vacances) suite à la décision du préfet de fermer le lieu. Au fil des mois, tandis que les familles vont d'hôtel social en jardin public, de logements prêtés par des particuliers à une ancienne école primaire, le film suit les enfants. Dans les jeux, les danses, les chants, les dialogues face caméra avec la réalisatrice, se dessinent peu à peu une attention et une tendresse réciproques. Alors que les adultes, au lointain, masquent comme ils peuvent leur désarroi, le regard lucide de ces jeunes personnes maintient un semblant d'espoir. (Caroline Châtelet) (Présentation éditeur)

Oldyssey

Film de Clément Boxebeld, Julia Mourri, 2018.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Témoignage, EHPAD, Clown, Sport, Maison de retraite, Musique, Maladie neurologique, Danse, Retraite, Immigré, Expérience, Bénévolat, Étudiant, Hébergement, Intergénérationnel, Enfant, Mode, Vêtement, Création, Cohabitation, Communauté, Maladie d'Alzheimer, Médecine, Science, Homosexualité, Femme, Polygamie, Travail, Vie quotidienne, Brésil, Afrique du Sud, Italie, Belgique, Allemagne, Québec, Afrique, Etats Unis, Inde, Chine

Oldyssey est un webdocumentaire composé de films courts. Il veut prendre le contrepied du discours ambiant et parler autrement de la vieillesse, en donnant la parole aux premiers concernés : les vieux.
Ils racontent leur histoire et celle des lieux où ils ont passé la plus grande partie de leur existence, partagent leur quotidien, nous donnent leurs tips pour réussir en amour, au travail, ou au contraire ce qui n’a pas marché.
Oldyssey montre des modèles, initiatives, lieux de vie qui rapprochent les âges, en France et ailleurs. Pour donner à voir d’autres manières de penser la vieillesse, d’habiter son quartier et le territoire, d’autres façons de communiquer. Et balayer l’idée absurde d’une limite au-delà de laquelle notre ticket ne serait plus valable.
En octobre 2017, Clément Boxebeld et Julia Mourri ont exploré une douzaine de pays pour montrer les vieux d’ailleurs et les modèles qui s’inventent. Ces rencontres ont donné lieu à de courtes vidéos postées sur ce site et sur les réseaux d’Oldyssey, ainsi qu'au livre sorti en poche sous le titre "Vieillir Ensemble" (Points), sorti fin 2019 aux éditions du Seuil sous le titre "Oldyssey".
Depuis l’automne 2019, Clément et Julia tournent en France pour filmer les anciens de nos régions et repérer ce qui émerge sur notre territoire, tandis que Camille Tochon et Flore Desal, deux nouvelles recrues, entament la deuxième saison des “Vieux du monde entier”. (Description éditeur)

Oldyssey

Amin

Film de Philippe Faucon, 2018.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Immigré, Travail, Famille, Séparation, Amour, Économie, Immigration, France, Sénégal

Amin est venu du Sénégal pour travailler en France, il y a neuf ans. Il a laissé au pays sa femme Aïcha et leurs trois enfants. En France, Amin n’a d’autre vie que son travail dans les BTP,  et pas d’autres amis que les hommes qui résident au foyer. Aïcha ne voit son mari qu’une à deux fois par an, pour une ou deux semaines, parfois un mois. Elle accepte cette situation comme une nécessité de fait, l’argent qu’Amin envoie au Sénégal fait vivre plusieurs personnes. Un jour, en France, Amin rencontre Gabrielle et une liaison se noue. Au début, Amin est très retenu. Il y a le problème de la langue, de la pudeur. Jusque-là, séparé de sa femme, il menait une vie consacrée au devoir et savait qu’il fallait rester vigilant.
[présentation de l’éditeur, © ADAV]

En complément : Essais comédiens, (9 min), Essais costumes (4 min.), scènes coupées (5 min.), entretien avec Philippe Faucon et Moustapha Mbengue (15 min).

Au loin le point du jour

Film de Delphine ZIEGLER, 2017.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Droit d'asile, Exil, Femme, Immigré, Migration, Précarité, Récit de vie, Résilience, Traumatisme, Violence, Violence conjugale, Solidarité

Les violences liées à la condition d'être femme n'épargnent à ce jour aucune société. Qu'advient-il de ces femmes qui résistent ?
"Au loin le point du jour" suit quelques-unes de ces migrantes, accompagnées parfois de leurs enfants, qui décident de partir et d'en finir avec les menaces. Aux blessures de l'intime s'ajoutent l'épreuve de l'exil et la difficulté de survivre dans la précarité de leur situation administrative et matérielle.
Le soutien des associations qui les accompagnent et les liens de solidarité qui se tissent leur permettent néanmoins de retrouver la force de se reconstruire peu à peu et de s'engager sur le chemin de la résilience. (Source : 4ème de couverture)

Un jour ça ira

Film de Stanislas Zambeaux, Edouard Zambeaux, 2017.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Lien social-Précarité, Accueil d'urgence, Immigré, Famille, Jeune, Vie quotidienne, Précarité, Atelier d'écriture, Chant, Création, Honte, Paris

Une plongée au cœur de l’Archipel, un centre d'hébergement d'urgence au cœur de Paris qui propose d’accueillir les familles à la rue ou des migrants seuls. Djibi et Ange sont deux adolescents qui vivent au centre avec leurs parents. Ils y affrontent des combats à mener. D'autant plus durs que le centre doit fermer et que les familles apprennent qu'elles seront séparées. Et c'est avec l'écriture et le chant qu’ils s'échappent un peu et parlent avec justesse de leurs histoires et de ce quotidien.
En complément (21 min.) : "En musique" , "Ils ont fait l'Archipel", "Souvenirs". Et un dossier pédagogique imprimable.

Un jour ça ira

Quartier impopulaire

Film de François Chilowicz, 2016.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Banlieue, Jeune, Représentation sociale, Témoignage, Délinquance juvénile, Scolarité, Solidarité, Religion, Islam, Travail, Précarité, Discrimination, Personne issue de l'immigration, Immigré, Radicalisation, Terrorisme, Peur, Femme, Tradition, Voile religieux, Racisme, Police, Toulouse

Délinquance, émeutes, religion et terrorisme… J’ai l’impression que de part et d’autre du ghetto, on ne se comprend pas. L’écart se creuse et certain vont jusqu’à dire que le lien est rompu. J’ai envie de savoir ce que les habitants pensent vraiment. J’ai envie qu’on prenne le temps de faire connaissance et de dialoguer. J’ai envie de bousculer les stéréotypes sur cette jeunesse des quartiers, parce que je pense que la réalité est toujours différente du fantasme. Je suis venu au Mirail pour ça : pour essayer de comprendre ce que vous avez sur le coeur. (Présentation éditeur)

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