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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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La responsabilité civile et pénale des employeurs : première partie : la responsabilité civile

Article de Alison Dahan, Annabelle Turc

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3074, 7 septembre 2018, pp. 36-42.

Mots clés : Action sociale : cadre institutionnel et juridique, Responsabilité civile, Employeur, Droit, Sécurité

L’EMPLOYEUR, qu’il s’agisse d’une entreprise ou d’une association, peut engager sa responsabilité envers ses salariés, entraînant de ce fait de lourdes conséquences, tant pour la structure en tant que personne morale que pour les personnes physiques dirigeantes. Cette responsabilité connaît deux volets. Dans un premier temps, l’employeur peut être civilement responsable envers le salarié. Dans un second temps, ce dernier peut encourir un risque de condamnation pénale.

Quelques réflexions sur la responsabilité pour faute

Article de Jean Boyer

Paru dans la revue Empan, n° 110, juin 2018, pp. 100-104.

Mots clés : Action sociale : cadre institutionnel et juridique, Approche historique, Droit, Responsabilité civile, Réparation, Droit de la famille

La responsabilité pour faute apparaît comme une donnée de bon sens ; elle résulte pourtant d’un long cheminement juridique et s’est avérée inadaptée à bien des phénomènes de société. Limitée dans son objet mais consacrée par le Conseil constitutionnel, parfois moralisante, elle correspond mal aux situations familiales, peut trop grever certains individus et prépare peu l’avenir. Cette référence reste pourtant indispensable.

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L’enjeu de l’anonymisation à l’heure du big data

Article de Hélène Tanghe, Paul Olivier Gibert

Paru dans la revue Revue française des affaires sociales, n° 4, octobre-décembre 2017, pp. 79-93.

Mots clés : Action sociale : cadre institutionnel et juridique, CNIL, Anonymat, Information, Droit, Santé

Le système national des données de santé (SNDS) soulève la question de l’« open data santé », et a relancé les réflexions autour de l’anonymisation des données personnelles. La qualification de donnée anonyme représente un véritable enjeu, dans la mesure où elle constitue soit une obligation légale (open data), soit un outil de conformité à la protection des données personnelles.
Cependant, à l’ère du big data et des progrès d’analyse des données, il subsiste toujours un risque de ré-identification. Face à une interprétation stricte de l’anonymisation de la part du G29, qui adopte une approche « zéro risque », l’anonymisation nécessite d’être repensée. Alors que la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) s’est vue récemment chargée de publier des référentiels pour la certification des processus d’anonymisation, l’article présente les limites de cette approche trop stricte et principalement établie sur des critères techniques. Il plaide pour une interprétation plus souple de l’anonymisation via la mise en place de seuils de risques prédéfinis selon le contexte, permettant d’évaluer l’anonymat, et le renforcement de mesures juridiques.

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Déléguée du défenseur des droits : l'art du dialogue

Article de Alain Roux

Paru dans la revue La Gazette santé social, n° 146, décembre 2017, pp. 38-39.

Mots clés : Action sociale : cadre institutionnel et juridique, Défenseur des droits, Droit, Accès aux droits, Administration, Droit administratif

Laurence Six, déléguée du Défenseur des droits à Paris, accueille les personnes rencontrant une difficulté avec une administration. Pour d'abord expliquer le droit et, si une action est nécessaire, les accompagner dans leurs démarches.

La mort lente du secret professionnel

Article de Michel Boudjemaï

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3031, 27 octobre 2017, pp. 32-33.

Mots clés : Action sociale : cadre institutionnel et juridique, Établissement social et médicosocial, Secret professionnel, Droit, Code, Travailleur social

Comme tout un chacun, toute personne accompagnée dans un établissement social, médico-social ou sanitaire bénéficie du droit au respect de sa vie privée. En même temps, l’accompagnement dont elle bénéficie peut justifier, dans des conditions encadrées, que des professionnels partagent des informations entre eux ou avec des tiers. Pour Michel Boudjemaï, spécialiste de la formation juridique en action sociale et médico-sociale et formateur à l’IRTS Champagne-Ardenne(1), le législateur, à force d’introduire de telles dérogations au secret professionnel, aboutit à une dégradation inacceptable du respect de la vie privée.

Des droits fondamentaux comme interface nécessaire entre l'entreprise médico-sociale et la clinique du sujet

Article de Michaël Balandier

Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 496-497, septembre-octobre 2017, pp. 171-188.

Mots clés : Action sociale : cadre institutionnel et juridique, Travail social, Travail éducatif, Approche clinique, Droits des usagers, Sujet, Action sociale et médicosociale, Droit constitutionnel, Droit, Responsabilité

La relation du sujet à l'entreprise médico-sociale : est-elle celle qui juge pour lui ou celle qui met en oeuvre la prestation ? Est-elle celle qui peut imposer ses fins à l'usager, au malade, à l'usager-malade, jusque dans ses dérives hygiénistes, moralistes ou économistes, ou est-elle au service de ses droits fondamentaux ?

La métropolisation de l'action sociale

Article de Robert Lafore

Paru dans la revue Revue de droit sanitaire et social, n° 3, 2015, pp. 525-534.

Mots clés : Action sociale : cadre institutionnel et juridique, Décentralisation, Droit, Protection sociale, Transfert de compétences, Action sociale, Compétence, Commune, Département, État, Politique sociale, Établissement public