Documentation sociale

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A quoi ressemblera la prise en charge du futur ?

Article de Antonin Amado

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3186, 27 novembre 2020, pp. 6-7.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, EHPAD, Prise en charge, Problématique, Personne âgée, Lieu de vie, Autonomie, Dépendance, Thérapie, Pratique professionnelle

Définir et comprendre le burn out des soignants exerçant en gérontologie

Article de Véronique Suissa, Philippe Denormandie, Stéphane Guérin, Stéphane Sanchez

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 145, septembre-octobre 2020, pp. 34-39.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Changement social, EHPAD, Gérontologie, Organisation du travail, Personne âgée, Pratique professionnelle, Psychopathologie, Réforme, Relation soignant-soigné, Société, Souffrance, Usure professionnelle, Vieillissement

Il est possible de rendre compte du malaise dans le secteur de la gérontologie et de proposer de nouvelles pistes explicatives du burn out des soignants . Autour d’une revue de la littérature, on peut réaliser un état des lieux de la question et ouvrir une réflexion théorico-clinique. Après avoir contextualisé l’ampleur du phénomène, nous présenterons les conceptions plurielles du burn out et de son origine. Un regard nouveau sera porté sur ce syndrome en soulevant un ensemble de facteurs potentiellement impliqué dans l’épuisement des soignants.

De l'importance de valoriser le travail des soignants en gériatrie

Article de Cherazed Abdelhadi, Patricia Mespoulet, Alexandrine Pauget, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 145, septembre-octobre 2020, pp. 31-33.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Bientraitance, Care, Conditions de travail, Créativité, Infirmier, Gériatrie, Management, Organisation du travail, Personne âgée, Pratique professionnelle, Qualité, Reconnaissance, Relation soignant-soigné, Travail d'équipe, Vieillissement

Les soignants en gériatrie sont soumis à des situations physiques et psychiques éprouvantes . Un service de court séjour gériatrique a mis en place des mesures dans une approche singulière, créative et dynamique . Il est question notamment de management participatif, de bienveillance et de valorisation de la qualité du travail.

La nuit en établissement

Article de Alexandra Marquet, Laurence Hardy, Damien Lecocq, et al.

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 29, septembre-octobre 2020, pp. 7-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Établissement pour personnes âgées, Établissement pour personne handicapée, Travail de nuit, Surveillant de nuit, Accompagnement, Usager, Trouble du sommeil, Trouble du comportement, Pratique professionnelle, Activité, Rythme, Santé, Maladie, Conditions de travail, EHPAD, Assistant de soins en gérontologie, Nuit

Niveau de responsabilité élevé, autonomie, rigueur : les qualités du travail de nuit requièrent inévitablement de l'expérience pour les professionnels qui accompagnent, en effectif réduit, des personnes âgées ou en situation de handicap. Intervenant sans la présence de leur hiérarchie et sans le soutien des équipes pluridisciplinaires, les travailleurs de nuit dits "veilleurs" ont longtemps été mal considérés... et cantonnés aux rondes et autres surveillances d'usagers alités ou endormis. Mais force est de constater que, la nuit, dans les les institutions, le silence et le sommeil ne règnent pas sans partage. Il y a les insomnies, les déambulations, les angoisses, les troubles du comportement, les fins de vie et autres urgences médicales à gérer : autant d'imprévus qui demandent réactivité et maîtrise de soi. Au fil des années, l'accompagnement de nuit a évolué. Les pratiques professionnelles ont changé, comme c'est aussi le cas pour les interventions en journée. Dans de nombreux établissements, les résidents ne sont plus couchés avant le départ des équipes de jour. Des activités en groupe ou individuelles sont proposées au cœur des soirées et même au milieu de la nuit, avec toutefois toujours le même objectif : accompagner les usagers vers l'endormissement. La collectivité veille de plus en plus sur le rythme des usagers et la qualité de leur sommeil, mais également sur la santé des professionnels. Et pour cause, les différents rapports ont mis en évidence les effets néfastes sur la santé du travail de nuit. Problèmes de sommeil, troubles métaboliques, prises de poids, diabète, cancers, maladies coronariennes... Cette liste non exhaustive interroge. Les rapports nationaux et d'expertise ne peuvent donc plus être ignorés. C'est pour cette raison que, sur le terrain, de nouvelles organisations voient le jour. Si la continuité de service est toujours recherchée, l'amélioration des conditions de travail pour les équipes de nuit, tout comme le respect du rythme des résidents, fait désormais partie des priorités de l'accompagnement nocturne en établissement.

Préserver les capacités restantes

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Philippe Giafferi, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 38, juillet-septembre 2020, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Vieillissement, Dépendance, Accompagnement, Adaptation, Pratique professionnelle, Auxiliaire de vie sociale, Projet individualisé, Observation, EHPAD, Stimulation, Autonomie

Les déficits, les pertes et les incapacités sont toujours répertoriés et connus des équipes à l'ère de la prise en charge de la dépendance. Or, depuis quelques années, certains professionnels ont décidé de changer de regard sur les personnes fragilisées par la maladie d'Alzheimer. Et pourquoi ne pas, au contraire, mettre en avant les capacités préservées ? Car malgré les atteintes cognitives, les personnes sont encore capables de réaliser des actes de la vie quotidienne. Encore faut-il que les professionnels procèdent à une évaluation efficace des capacités restantes et soient en possession des bonnes clefs. Et c'est là que le bât blesse. Les grilles habituellement utilisées comme AGGIR, pour ne citer qu'elle, révèlent justement les incapacités. Dépendance versus autonomie ? Pour sortir de ce cercle vicieux, les soignants doivent se tourner vers d'autres outils pour ensuite adopter la bonne attitude. C'est en observant qu'ils peuvent mieux connaître la personne et savoir exactement ce dont elle est encore capable de faire. C'est en détectant les capacités préservées que l'accompagnement peut s'adapter. Il ne s'agira alors plus de prendre en charge mais de guider. C'est un réel changement de pratique et de culture professionnelle que de plus en plus de professionnels adoptent. Certains depuis longtemps, que ce soit les disciples de l'Humanitude, de la méthode Montessori adaptée aux personnes âgées ou encore Carpe Diem et Ama Diem. Cette révolution des pratiques ne se décrète toutefois pas. Les professionnels de terrain doivent être accompagnés, sensibilisés et dotés d'outils pragmatiques. En établissement mais aussi à domicile. C'est d'ailleurs un autre défi pour les auxiliaires de vie sociale qui doivent promouvoir l'autonomie des personnes aidées. Ce n'est pas qu'une question de temps ou de moyens financiers mais bien de regard et d'accompagnement différenciés.

Patient âgé insuffisant cardiaque, qualité ou quantité de vie ?

Article de François Xavier Goudot, Sarah Thomas, Nicolas Foureur

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 144, juillet-août 2020, pp. 38-42.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Bioéthique, Dépendance, Éthique, Étude de cas, Gériatrie, Maladie cardiovasculaire, Maladie évolutive, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prise en charge, Qualité de la vie, Recherche, Vieillissement

L’insuffisance cardiaque est une maladie grave et fréquente chez la personne âgée. Elle cause des hospitalisations répétées qui s’accompagnent d’un déclin global et progressif. Il est souvent difficile à un stade évolué de la maladie de “choisir” entre qualité et quantité de vie, tant pour les patients et leurs proches que pour les soignants. Une réflexion menée au Centre d’éthique clinique de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris peut aider à avancer sur ces choix difficiles.

Respect de l'intimité du patient

Article de Stéphane Grazzini, Adèle de Malherbe

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 144, juillet-août 2020, pp. 29-31.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Aide technique, Consentement, Corps, Dignité, Hygiène, Innovation, Intimité, Personne âgée, Pratique professionnelle, Pudeur, Relation soignant-soigné, Responsabilité, Sexualité, Soin, Technologie numérique, Vieillissement, Vulnérabilité

Les soignants sont responsables du respect de l’intimité des patients âgés, plus vulnérables. Cela nécessite une réflexion professionnelle individuelle et collective sur le sens des pratiques. Il s’agit également de respecter le libre choix de mode de vie en prenant en compte les besoins des proches aidants.

Représentation de l'intimité au cours du vieillissement

Article de Philippe Thomas, Cyril Hazif Thomas

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 144, juillet-août 2020, pp. 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Définition, Dignité, EHPAD, Intimité, Personne âgée, Posture professionnelle, Pratique professionnelle, Pudeur, Regard, Représentation sociale, Respect, Sexualité, Vieillissement

La personne âgée a le droit au respect de sa dignité et de son intimité. La société doit changer son regard sur de nombreux aspects concernant les aînés et notamment la sexualité. Une réflexion et des formations spécifiques à destination des soignants devraient être systématiques.

Pudeur, intimité, sexualité et soins

Article de Tristan Cudennec, Philippe Thomas, Camille Cransac, Fany Cérèseet al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 144, juillet-août 2020, pp. 11-32.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Bien-être, Dignité, EHPAD, Éthique, Hospitalisation, Intimité, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prise en charge, Pudeur, Relation soignant-soigné, Sexualité, Sida, Soin, Stigmatisation, Vieillissement, Vie quotidienne

Supplémentation ferrique par voie intraveineuse chez le patient âgé

Article de Flora Ketz, Anne Buisson, Eric Pautas, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 143, mai-juin 2020, pp. 44-46.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Équipe pluridisciplinaire, Équipe soignante, Gériatrie, Maladie, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prise en charge, Santé, Soin, Symptôme, Traitement médical, Vieillissement

La carence martiale, absolue ou fonctionnelle, est une problématique très fréquente chez le sujet âgé, avec une indication à la supplémenter. Que ce soit pour des problèmes d’absorption ou de tolérance, la voie intraveineuse est à privilégier, notamment chez le sujet âgé. Selon la molécule choisie, les modes d’administration, la dilution, la dose ou le rythme varient. Le risque majeur de la voie parentérale est l’anaphylaxie, d’où l’obligation d’une administration hospitalière, bien qu’il apparaisse comme très peu fréquent.