Documentation sociale

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Travailler avec les proches

Article de Marie Hélène Morin, Isabelle Van Pevenage, Caroline Ducenne, et al.

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 89, octobre-décembre 2016, pp. 5-61.

Mots clés : Intervention sociale, Famille, Solidarité, Aidant familial, Sociologie, Maintien à domicile, Santé mentale, Personne handicapée, Accueil familial, Évolution, Détention

"Travailler" avec les proches, l’entourage, la famille des personnes en difficultés ou présentant des besoins d’aide spécifique (personnes âgées, handicapées, atteintes de troubles psychiques, délinquantes,…) est aujourd’hui considéré comme une nécessité dans divers secteurs de l’intervention psycho-médico-sociale.

Dans la lignée de thèmes auxquels des numéros de l’Observatoire ont été récemment consacrés (Intervenir dans le "chez soi", L’autonomie en tension, Vieillir actif, ...), cette tendance est marquée par les ambivalences que connaît le travail social. D’un côté, elle est favorisée par un désengagement progressif de l’ Etat, qui reporte sur les épaules des familles, la responsabilité d’aides et de soins qu’il assurait jusqu’il y a peu.
D’un autre côté, elle s’inscrit dans une nouvelle façon de concevoir l’intervention des professionnels : plus systémique, plus ouverte, moins attachée à la position haute qu’elle a longtemps occupée, elle cherche, sonde, s’appuie désormais sur les réseaux, formels et informels.

Dans la pratique, ce travail avec les proches peut, comme nous le verrons, emprunter des voies diverses. Il peut les convoquer, les interpeller, les impliquer, leur rappeler les liens. Il peut les soulager, les soutenir, répondre à leurs questions et leurs difficultés, et les aider à aider. Mais il peut aussi faire tiers, canaliser des relations conflictuelles ou embrouillées, mettre des limites, aider chacun à retrouver sa place. Il peut encore jouer un rôle de vigilance, de sentinelle.

Cette intervention des professionnels est d’autant plus nécessaire, mais aussi complexe, que les solidarités primaires ont la particularité de s’ancrer dans des relations faites d’affects, d’émotions, d’histoires singulières et familiales dont on ne connait parfois que la partie émergée. Elle est aussi, d’un point de vue plus contextuel, commandée ou conditionnée par des changements sociétaux qui ont bouleversé la famille et amené une déstabilisation des liens.

L'autonomie en tension

Article de Christian Bergeron, France Defrenne, Christophe Bartholome, et al.

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 88, juillet-septembre 2016, pp. 5-71.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Autonomie, Soin, Handicap, Majeur protégé, Personne âgée, Accompagnement social, Logement, Insertion sociale, Travailleur social, VULNERABILITE, EMPOWERMENT

En ces temps de crise, les politiques sociales tendent à faire rimer autonomie avec activation, contractualisation et responsabilisation, la transformant en une injonction qui n’est pas sans paradoxes... L’autonomie demeure néanmoins un idéal émancipatoire qui occupe une place centrale dans les pratiques psycho-médico-sociales, animant des professionnels soucieux de faire avec l’usager plutôt qu’à sa place, de le rendre acteur et de l’aider à s’émanciper.
L’autonomie semble aujourd’hui érigée comme un idéal performant à atteindre, une forme de liberté suprême, garante sinon de bonheur, de la joie de ne dépendre de personne. Comme si dépendre des autres, de l’autre, était devenu insupportable. C’est là sans doute une conséquence d’une société qui pousse chacun plus avant dans l’individualisme.
Pourtant, l’autonomie n’a pas toujours eu ce relent de chacun pour soi, elle a d’abord été émancipation : du patriarcat, du conservatisme, de la raideur, de l’autoritarisme patronal, universitaire, parental...
Dans les politiques sociales, l’autonomie a pareillement été comme une révolution pour changer les règles, cesser de voir de haut celui qui d’en bas demandait de l’aide. Elle s’est donné comme objectifs sous-jacents de faire "avec" plutôt que "pour", d’apprendre, d’expliquer, d’accompagner, de solliciter l’avis, de solliciter la participation, de susciter la motivation, l’adhésion...
Cette vision de l’autonomie où la personne est acteur, sujet, et l’intervenant, relais, facilitateur, accompagnateur, est toujours présente et prégnante dans tous les secteurs du social. Et on la retrouve d’ailleurs dans de nombreux textes, décrets, règlements, principes de dispositifs et référentiels pédagogiques. Mais, aujourd’hui, la crise installant une pénurie des moyens réclamant sans cesse des économies, des restrictions, amène des politiques sociales d’un autre ton, surtout quand y est liée une allocation. L’autonomie rime désormais aussi, et non sans paradoxes, avec activation, responsabilisation, contractualisation.
Ce que nous voulions relever de la place d’observateurs que nous occupons est que, tout d’abord, qu’on le veuille ou non, l’autonomie occupe une place importante dans les pratiques. Ensuite qu’il existe à son égard une extrême diversité de significations, interprétations, connotations. Il s’ensuit ainsi une cacophonie où tout le monde a l’impression de parler de la même chose et qu’au fond, il n’en est rien. Inévitablement, cela génère des tensions dans l’équipe, entre les équipes, dans la conscience professionnelle de chacun, dans le rapport à la hiérarchie et aux politiques publiques. De toute évidence, ce flou mérite qu’on s’y arrête...

L'enfant dans les séparations parentales

Article de Jacques Marquet, Myriam Sommer, Anne Deome, et al.

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 87, avril-juin 2016, pp. 4-97.

Mots clés : Enfance-Famille, Séparation, Sociologie, Famille, Parentalité, Tribunal, Obligation alimentaire, Médiateur familial, Famille monoparentale, Conflit

Les séparations parentales sont aujourd’hui monnaie courante et, lorsqu’elles se déroulent mal, les enfants en paient les pots cassés.
Qu’est-ce qui pose problème, questionne? Quelles réponses proposent les professionnels, au sein des secteurs psychosocial et judiciaire? Quels changements avec l’instauration du Tribunal de la famille?

Au cours des dernières décennies, sous l’effet de mutations culturelles mais aussi socio économiques, les séparations conjugales se sont démultipliées. Lorsque celles-ci se déroulent mal, les enfants sont rarement épargnés, se retrouvant prisonniers du conflit de leurs parents, tiraillés, instrumentalisés, ballotés, négligés, voire aliénés et victimes de maltraitance (psychologique et éventuellement physique)...
La détresse de ces enfants de la "mal séparation" peut se manifester par des symptômes divers : troubles de l’apprentissage, troubles du comportement, décrochage scolaire, actes délinquants, addictions, dépression infantile, rupture du lien avec un des parents ou les deux...
Un mal-être parfois non décodé par des parents trop enlisés dans leur conflit et leur propre souffrance.

Face à ce phénomène touchant toutes les franges de la société, quelles réponses sont proposées par les professionnels des champs psycho-social et judiciaire, mais aussi par le législateur?
Le défi qu’ils doivent relever est d’autant plus grand que les situations rencontrées sont, comparativement à jadis, non seulement plus variées (entre les familles), mais aussi plus fluctuantes (déménagements, recompositions familiales, entrées dans l’adolescence, ruptures entrecoupées de périodes de remise en couple...).
Après une analyse des changements observés au sein de la famille contemporaine, sur les axes conjugal et parental, ce dossier explorera le rôle et les pratiques de divers acteurs, pour certains amenés à collaborer et/ou à se succéder dans leurs interventions auprès d’une même famille minée par une séparation difficile : le Tribunal de la famille nouvellement créé, des médiateurs aux approches différentes, un "Espace parents dans la séparation", des Services de l’Aide à la jeunesse et de Protection judiciaire, une équipe SOS Enfants, un "Espace-Rencontres", et d’autres encore.

Nous avons réalisé ce dossier en prenant appui sur une journée initiée, en novembre 2015, par le Service Provincial Social et Santé - Egalité des Chances de la Province de Luxembourg, sur le thème des pratiques socio-judiciaires en matière de séparations conjugales. Plusieurs des orateurs de cette journée ont ainsi contribué à ce dossier, mais nous avons sollicité beaucoup d’autres professionnels opérant sur Bruxelles et la Wallonie. Ce dossier, nous semble-t-il, peut être éclairant et utile pour l’ensemble des travailleurs psycho-medico-sociaux, tant cette problématique est fréquente et les réponses difficiles.

Radicalisme violent. Comprendre, prévenir au delà de l'urgence

Article de Colette Leclercq, Romain Lecomte

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 86, janvier-mars 2016, pp. 4-81.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Justice-Délinquance, Terrorisme, Intégrisme, Jeune, Travailleur social, Religion, Rupture, Islam, Identité, Adolescent, Média, Prévention, Prison, MEDIATION EDUCATIVE

Pourquoi des jeunes de chez nous partent-ils faire la guerre en Syrie ou se font-ils exploser, ici, dans des attentats suicides? Face au phénomène du radicalisme violent coexistent la tentation de ne rien faire, voire du déni, ou celle de croire que le sécuritaire suffira. Pour notre part, nous avons choisi de tenter de mieux comprendre pour désamorcer, prévenir et, au-delà de l’urgence, construire une société plus inclusive.
Ce numéro a été conçu pour aider les travailleurs sociaux, et tous ceux qui se sentent concernés, à déjouer les pièges des amalgames et à réinvestir dans des actions préventives.

Longtemps, nous avons hésité à consacrer un numéro de l’Observatoire à la question du radicalisme violent. N’allions-nous pas encore alimenter la surmédiatisation d’un phénomène qui ne concerne, directement, qu’une petite minorité de jeunes? N’allions-nous pas risquer d’encore attirer les regards inquiets sur une population musulmane déjà fortement stigmatisée?

Nous avons néanmoins fini par franchir le pas. Parce que, à diverses occasions, nous avons pu constater que les travailleurs sociaux se posent de nombreuses questions sur ce sujet complexe et sensible, tout en évitant de trop "s’en mêler" car craignant la maladresse, l’erreur d’interprétation, l’amalgame... Parce que, aussi, la prévention du radicalisme, à condition qu’elle soit clairement dissociée de la répression et du contrôle - ce qui n’est malheureusement pas toujours le cas -, implique d’en revenir à certains fondamentaux du travail social.

Nous avons construit ce dossier en nous appuyant sur les rencontres co-organisées par le Centre Régional d’Intégration de Charleroi (CRIC) et le Centre Régional de Verviers pour l’Intégration (CRVI), en collaboration avec la Direction Générale Opérationnelle de l’Action sociale de la la Région wallonne (DGO5), "Prévention du radicalisme violent. Osons en parler", programmées en octobre et novembre 2015.

Celles-ci nous ont servi de point de départ - vous retrouverez plusieurs orateurs conviés à ces journées dans nos contributeurs - mais nous avons aussi étoffé ce dossier, que nous avons conçu en deux parties, en nous appuyant notamment sur les avis pertinents de Thierry Tournoy, Directeur du CRIC et de Daniel Martin, Directeur du CRVI.

La première partie pose cette terrible question : pourquoi des jeunes de chez nous se laissent-ils séduire par les discours de Daesh et partent-ils faire la guerre en Syrie ou se font-ils exploser dans des attentats suicides ici, en Europe? Pour y répondre, nous avons sollicité une palette de contributeurs qui, par leur expertise, décortiquent ce qui se joue derrière cet embrigadement criminel des jeunes dans le radicalisme violent.

La seconde propose des pistes et des réflexions sur ce qu’il y a lieu de mener, d’inventer, de soutenir comme actions pour prévenir cette radicalisation. Si les travailleurs sociaux ne peuvent certes agir sur la variable géopolitique ni révolutionner notre contexte sociétal actuel, ils peuvent jouer un rôle important dans divers domaines : aider le jeune à se construire comme sujet et comme acteur de son devenir; reconstruire le lien décousu entre celui-ci et la société, sa famille, l’école...; consolider son esprit critique et sa résistance morale face aux tentatives d’endoctrinement; promouvoir l’interculturalité et le vivre-ensemble; lutter contre les inégalités et les discriminations;... Et, au-delà de l’urgence, participer par leurs convictions et leurs idéaux à une société davantage inclusive et porteuse de signes positifs, d’émancipation, d’espoir.

Nos Pilifs, une ferme ouverte sur la différence

Article de Romain Lecomte, Julie Legrand, Philip Waters

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 85, octobre-décembre 2015, pp. 33-35.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Entreprise adaptée, Personne handicapée, Ferme pédagogique, Profession, Agriculture

Créée en 1984, la Ferme Nos Pilifs est une entreprise de travail adapté employant 140 personnes en situation de handicap, encadrées par des professionnels des métiers qui y sont pratiqués. Elle se situe dans la commune bruxelloise de Neder-Over-Heembeek, dans un cadre verdoyant et paisible contrastant avec le centre de la capitale. Ses métiers variés se répartissent au sein de plusieurs activités : l’Entreprise de jardins, la Pépinière, la manutention, la cressonnière, les paniers bio, la multiplication des plantes l’Estaminet, l’Epicerie et, celle à laquelle nous allons nous intéresser, la Ferme d’animation.
Cette dernière a pour activités principales l’entretien d’un parc animalier et de potagers, l’accueil de groupes scolaires pour une journée et l’organisation de stages extra-scolaires. Les animations qu’elle propose, centrées principalement sur les différents travaux qui rythment la journée du fermier, ont pour but de faire découvrir aux enfants le monde de la ferme et les animaux qui y vivent.
Son équipe est composée de sept travailleurs en situation de handicap et de trois encadrants. Parmi ces derniers, nous avons rencontré Julie Legrand, responsable de la section, et Philip Waters, moniteur, qui nous parlent des activités réalisées au sein de la Ferme d’animation et de la relation à l’autre et à l’environnement qu’elle favorise.

La médiation animale comme espace intermédiaire de partenariat avec des animaux

Article de Véronique Servais

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 85, octobre-décembre 2015, pp. 5-9.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Médiation, Animal, Communication, Soin, Anthropologie

Dans l'histoire des "zoothérapies", l'un des enjeux a été de distinguer ce qui relève du champ thérapeutique à proprement parler de ce qui relève plutôt d'activités récréatives ou de soutien. Nombreuses sont les associations qui ont vu se développer en leur sein des controverses, parfois houleuses et acerbes, à ce sujet. Nous proposons ici d'envisager l’introduction d'animaux dans un dispositif d'aide ou de soin comme une pratique de médiation au sens fort du terme, qui permet de créer ce que Winnicott appelait un espace intermédiaire, dans lequel des effets thérapeutiques peuvent survenir.

Préparer la réinsertion sociale des personnes incarcérées : quels apports de la médiation équine

Article de Christopher Valente

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 85, octobre-décembre 2015, pp. 53-57.

Mots clés : Justice-Délinquance, Médiation, Animal, Prison, Détenu

Cet article interroge l’impact de la médiation par le cheval sur la dynamique relationnelle des personnes détenues à l’égard de leurs pairs et membres du personnel pénitentiaire. Si nos résultats indiquent que la médiation équine permet d’aider l’individu à renouer un lien avec autrui et lui-même, une réflexion doit cependant être posée sur l’inscription de ce type de dispositif dans un suivi plus global afin d’en pérenniser les effets.

Focus sur la médiation équine

Article de Jessie Ansorge Jeunier

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 85, octobre-décembre 2015, pp. 48-52.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Médiation, Animal, Psychiatrie infantile, Personne handicapée, Rééducation

Largement diffusés par les médias depuis quelques années, les dispositifs de «médiation équine» regroupent un ensemble de pratiques anciennes néanmoins peu étudiées et évaluées par le milieu médical et scientifique.
Ce focus, en partie basé sur un travail de thèse de trois années passées sur le terrain, a pour objectif de mieux connaître ces dispositifs tels qu’ils sont élaborés en France et de mieux cerner leurs indications ainsi que l’apport spécifique du cheval par rapport à d’autres types de médiations animales.

Etre hippothérapeute et explorer le lien entre l'humain et le cheval

Article de Patrick Guilmot

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 85, octobre-décembre 2015, pp. 44-47.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Médiation, Animal, Pratique professionnelle

Être en lien fait partie des besoins fondamentaux de l’homme et la rencontre avec l’animal est un excellent moyen pour travailler sur ce besoin qui peut avoir été malmené, oublié. L’hippothérapie crée cette rencontre particulière avec le cheval et elle peut être appliquée à une large diversité de troubles psychologiques. Elle peut aussi être utile dans le cadre de rééducation fonctionnelle par la mise à cheval et le travail sur les postures. Depuis 2015 l’UCL propose un certificat d’université en hippothérapie. Celui-ci met en évidence les compétences transversales à toute forme d’hippothérapie, partant des multiples expériences existantes, afin d’établir les fondements sur lesquels la pratique professionnelle pourra se développer.

Des chevaux à la Ferme du Soleil : une approche sensorielle, éducative et thérapeutique différente

Article de Romain Lecomte, Constant Piqueray

Paru dans la revue L'Observatoire, n° 85, octobre-décembre 2015, pp. 39-44.

Mots clés : Enfance-Famille, Handicap-Situations de handicap, Autisme, Psychose, Médiation, Animal, Équithérapie

La Ferme du Soleil est une petite institution pour enfants atteints d’autisme, de psychose ou de troubles de l’attachement. Elle est née dans les années septante sous la forme d’un internat de semaine pour une dizaine d’enfants, auquel s’est plus tard adjoint un externat. Son équipe est pluridisciplinaire : éducateurs, logopèdes, psychomotriciens, psychologues,… dont Constant Piqueray.
Responsable de l’encadrement des éducateurs, de l’élaboration des projets individualisés et de la création du milieu thérapeutique, celui-ci est à l’initiative de la mise en place du « projet cheval » de la Ferme Soleil. L’Observatoire a rencontré ce passionné des chevaux, hippothérapeute et formateur à l’école d’hippothérapie Anthé-Anthésis, pour nous parler de ce projet plein de vie.