Documentation sociale

Vous êtes étudiant, professionnel, enseignant, documentaliste, chercheur en travail social ?
Accédez ici à tous les outils de PRISME vous permettant de chercher de la documentation et de suivre une veille documentaire spécialisées dans le secteur des sciences sociales et de l'action sociale.

Réponses 1 à 6 sur un total de 6

Votre recherche : *

Le baluchonnage, version française...

Article de Etienne Bataille, Muriel Cormorant

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 54, mai-juillet 2019, pp. 19-20.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, EHPAD, Maintien à domicile, Aidant familial, Repos, Fatigue, Accompagnement, Baluchon Alzheimer Québec

Les Français plébiscitent le maintien à domicile pour les personnes âgées, et ce au détriment de l'hébergement collectif ou les Ehpad. Mais lorsque la personne âgée souffre d'une perte d'autonomie physique ou cognitive, particulièrement celle atteinte de la maladie d'Alzheimer, l'accompagnement au domicile se heurte à un problème tant humain que financier. En l'absence de proches ayant la capacité d'aider, le système n'est pas viable. L'aidant bénévole devient alors la solution au problème. Il restait cependant nécessaire de réfléchir aux solutions permettant d'aider l'aidant.

Aidants : apports et limites de la loi

Article de Frédérique Lucet, Franck Guichet

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 41, février-mars-avril 2016, pp. 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Personne âgée, Personne handicapée, Vieillissement, Dépendance, Handicap, Aidant familial, Maintien à domicile, Loi, Adaptation, Société, Autonomie, Repos, Statut, Solidarité, Éthique, Besoin, Congé, Formation, Accompagnement, Maladie d'Alzheimer, Reconnaissance, Vulnérabilité, Choix, Loi 2015-1176 du 28 décembre 2015

Au seuil de la mise en œuvre de la loi d'Adaptation de la société au vieillissement, regardons ce que la loi propose aux aidants et les innovations qu'elle leur apporte. Leur "reconnaissance" proclamée marque-t-elle la responsabilisation de notre société face au risque de la perte d'autonomie ? Permettra-t-elle de mieux accompagner les personnes âgées vulnérables, et ceux qui les aident au quotidien ?

Le "to cure" et le "to care"

Article de Philippe Giafferi

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 41, février-mars-avril 2016, pp. 25-26.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Personne âgée, Personne handicapée, Vieillissement, Dépendance, Autonomie, Handicap, Soin, Intervention à domicile, Maintien à domicile, Soins à domicile, Accompagnement, APA, Compétence professionnelle, Aidant familial, Aide à domicile, Repos, Maladie d'Alzheimer, Care, SPASAD (Service polyvalent d'aide et de soins à domicile), Monalisa, Loi 2015-1176 du 28 décembre 2015

Parce que vieillir est une chose tout à fait naturelle et même obligatoire, nous devons pouvoir bénéficier, en cas de besoin, d'une aide ou d'un accompagnement pour nous soigner ou être soigné. Tout ceci ne peut que faciliter ce moment de vie et faire en sorte qu'il se passe le mieux possible. N'oublions jamais que cette vieillesse peut encore être plus belle si, vers la cinquantaine - l'âge du basculement -, nous appliquons, tout simplement, ce proverbe d'origine chinoise : "Verser, sans jamais remplir. Puiser, sans jamais s'épuiser".

Communiquer malgré les troubles cognitifs

Article de Véronique Beaussart

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 40, novembre-décembre 2015-janvier 2016, pp. 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Dépendance, Vieillissement, Cognition, Déficience cognitive, Communication, Langage, Mémoire, Attention, Aidant familial, Aide à domicile, Empathie, Parole, Communication non-verbale, Maladie d'Alzheimer, Stimulation, Parkinson (maladie de)

Quand la maladie s'en mêle, la communication avec les proches devient plus difficile, surtout quand les grandes fonctions cérébrales sont atteintes : perte de mémoire, déficit attentionnel, impression de ne plus trouver ses mots... De malentendus en incompréhensions, les échanges avec les personnes atteintes de troubles cognitifs deviennent moins enrichissants et se raréfient. Comment faire face aux changements cognitifs et maintenir une communication satisfaisante ? Quels facteurs permettent de pérenniser une relation harmonieuse au quotidien ?

La formation, un levier à prendre en compte

Article de Kevin Charras

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 40, novembre-décembre 2015-janvier 2016, pp. 16-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Dépendance, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Démence sénile, Cognition, Déficience cognitive, Accompagnement, Aide à domicile, Maintien à domicile, Formation, Aidant familial

Intervenir au domicile d'une personne n'est pas simple et notamment lorsque celle-ci est atteinte de la maladie d'Alzheimer ou d'une maladie apparentée. L'intervenant est bien souvent perçu comme un étranger, voire un intrus par la personne qui a besoin d'aide. Il se trouve généralement seul à faire face aux situations problématiques ainsi qu'à la détresse de la personne aidée comme celle de l'aidant. La réalité de terrain montre aussi que les intervenants à domicile ne disposent que de très peu de temps pour se réunir entre eux et pour se former. Mais se former à quoi ?

Adopter la bonne approche

Article de Cécile Aguesse, Magaly Hilaire

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 40, novembre-décembre 2015-janvier 2016, pp. 21-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Dépendance, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Démence sénile, Aide à domicile, Maintien à domicile, Aidant familial, Accompagnement, Cognition, Déficience cognitive, Mémoire, Langage, Geste, Stimulation, Intervention à domicile

L'intervention chez les personnes souffrant de troubles cognitifs peut parfois être source de stress pour les aidants. C'est pourquoi une connaissance des fonctions cognitives reste utile et améliore parfois les relations inter-individus. Les professionnels de santé peuvent avoir ce rôle pédagogique auprès des particuliers afin de les "éduquer" à l'adoption de conduites positives et valorisantes envers leurs proches, favorisant ainsi le bien-être psychologique du binôme aidant/aidé.