Documentation sociale

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De cendres et de braises

Film de Manon Ott, 2018.

Mots clés : Territoire-Logement, Banlieue, Milieu urbain, Ouvrier, Approche historique, Mémoire, Mouvement social, Jeune, Vie quotidienne, Culture urbaine, Témoignage, Les Mureaux

Portrait poétique et politique d'une banlieue ouvrière en mutation, De Cendres et de Braises nous invite à écouter les paroles des habitants des cités des Mureaux, près de l'usine Renault-Flins. Qu'elles soient douces, révoltées ou chantées, au pied des tours de la cité, à l'entrée de l'usine ou à côté d'un feu, celles-ci nous font traverser la nuit jusqu'à ce qu'un nouveau jour se lève sur d'autres lendemains possibles. [Présentation de l’éditeur, © ADAV]

En complément :  Entretien avec la réalisatrice (21'). "La cour des murmures", un film inédit de Grégory Cohen tourné aux Mureaux (49'). Bande-annonce.

Vivre chez soi : trois portraits

Film de Pierre Rapey, Marie Delsalle, 2015.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Territoire-Logement, Personne âgée, Logement, Besoin, Autonomie, Adaptation, Récit de vie, Mémoire, Couple, Recherche en sciences sociales

"J'y suis j'y reste !"  est une recherche psychosociale sur les motivations des personnes âgées  à rester chez elles. Marie Delsalle a souhaité approfondir sa compréhension de la manière dont le logement se disait dans le temps long du récit de vie. Cela en réalisant trois portraits documentaires audiovisuels consacrés à certains habitants rencontrés lors des précédents tournages (source éditeur).
En complément : Bande-annonce, fiche technique du film, note de recherche.

Accès à la version en ligne, Présentation du document

L'image manquante

Film de Rithy PANH, 2013.

Mots clés : Guerre, Traumatisme, Mémoire, Résilience, Communisme, Enfant, Approche historique, Cambodge

Le réalisateur Rithy Panh revient sur son passé de jeune Cambodgien de 13 ans, qui en quelques mois, sous le régime des Khmers rouges, voit disparaître la plus grande partie des siens et survit en côtoyant quotidiennement la mort et l’'horreur dans des camps de travail. Ce film c’'est le bonheur tranquille anéanti par un génocide, "le monde d'’avant, de la musique, de la douceur, de la famille", dont le souvenir n’'est pas moins dangereux pour qui l’'a irrémédiablement perdu. Des images qui brûlent dans la mémoire - le crime de masse, la maison familiale à Phnom Penh - demeurent à jamais introuvables dans la réalité. Alors le cinéaste narrateur les fait revivre à sa manière avec des personnages d'argile. Rithy Panh parvient à évoquer les souffrances vécues jour après jour, la douleur du survivant, l’'amour pour ceux qu’on a perdus. Contrepoint des images de propagande filmées par le régime, de minuscules poupées d’'argile, restituent toute l'’inhumanité des quatre années de terreur khmère rouge.