Vous êtes étudiant, professionnel, enseignant, documentaliste, chercheur en travail social ?
Accédez ici à tous les outils de PRISME vous permettant de chercher de la documentation et de suivre une veille documentaire spécialisées dans le secteur des sciences sociales et de l'action sociale.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 163, septembre-octobre 2023, pp. 27-29.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Médicament, Traitement médical, Prescription médicale, Santé, Soin, Prise en charge, Pathologie, Psychotrope, Consommation médicale, Risque, Évaluation, Besoin, Suivi médical
La consommation de psychotropes chez les personnes âgées est fréquente et peut être problématique en raison des risques associés à leur utilisation inappropriée et à leurs effets indésirables. Il est essentiel d’adopter une approche prudente et individualisée dans la prescription de psychotropes, en évaluant régulièrement leur efficacité et en considérant d’autres approches non médicamenteuses lorsque cela est possible. La collaboration entre les professionnels de la santé et les patients peut contribuer à une utilisation plus appropriée de ces médicaments chez les personnes âgées.
Au cours de ces dernières années, un certain nombre d’actions ont été réalisées pour développer l’aide aux aidants en France. Ces aides peuvent être coordonnées à celle des services sociaux, ce qui peut être difficile, pour des raisons psychologiques, aussi bien pour la personne âgée que pour son aidant. À défaut de mettre en place un parcours de soins adapté et réadapté, l’aidant peut être exposé à des risques psychosociaux.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 158, novembre-décembre 2022, pp. 27-29.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Gériatrie, Gérontologie, Psychiatrie, Qualité de la vie, État dépressif, Environnement, Risque, Motricité, Isolement, Suicide, Pathologie, Anxiété, Lien social
La dépression de la personne âgée est délicate à repérer, car souvent masquée par d’autres traits pathologiques. Il est donc important pour tous les intervenants d’être vigilants et d’être capables de demander l’aide d’un professionnel qualifié. L’individu interagit avec son environnement humain et matériel. Or, l’environnement peut être dépressogène. La qualité de vie de la personne intervient dans le cours de la dépression.
Article de Tristan Cudennec, Laurence Gouriou, Philippe Thomas, Nadia Geray Le Flochet al.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 156, juillet-août 2022, pp. 9-33.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Conditions de travail, EHPAD, Équipe soignante, Éthique, Maladie d'Alzheimer, Mort, Participation, Personne âgée, Posture professionnelle, Prise en charge, Projet de vie, Qualité de la vie, Relation, Rite, Sexualité, Soin, Soins à domicile, Télémédecine, Usure professionnelle, Vieillissement, Vie institutionnelle
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 156, juillet-août 2022, pp. 27-32.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accueil, Besoin, Confiance, Dignité, Écoute, EHPAD, Équipe soignante, Famille, Management, Personne âgée, Projet de vie, Qualité de la vie, Participation, Prise en charge, Relation, Relation famille-institution, Relation soignant-soigné, Soin, Vieillissement, Vie institutionnelle
Prendre en compte les besoins et les attentes des familles en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) conduit à leur satisfaction concernant les soins donnés à leur parent institutionnalisé.
Une charte relationnelle participe à prévenir conflits et malentendus entre les différents acteurs du soin formels (soignants) et informels (familles) au chevet des résidents. Les familles doivent se sentir invitées dans l’Ehpad et reconnues comme étant à leur place dans leur rôle de soin, au moins relationnel. Certaines restent cependant ancrées dans une hostilité irréfragable. La solidarité dans les équipes et la robustesse du projet de soins sont ici essentielles.
Article de Philippe Thomas, Marine Calvez, Laurence Gouriou, et al.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 156, juillet-août 2022, pp. 13-22.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Affectivité, Consentement, Déficience cognitive, Démence sénile, Désir, Déviance sexuelle, EHPAD, Éthique, Intimité, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Posture professionnelle, Qualité de la vie, Rapport sexuel, Sexualité, Soin, Traitement médical, Transgression, Trouble de la sexualité, Vieillissement
La vie sexuelle des personnes âgées vivant en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) est un sujet sensible trop rarement abordé. Des difficultés particulières naissent parfois, lorsque celles-ci présentent des troubles cognitifs. Affectivité et sexualité en Ehpad doivent être abordées avec tact et maturité par les soignants. La sexualité appartient en propre à la vie privée, mais ses débordements sont difficilement compatibles avec la vie collective. Certaines propositions peuvent être formulées sur les questions éthiques et sur les modalités relationnelles avec les résidents et leur famille.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 146, novembre-décembre 2020, pp. 30-31.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Affectivité, Anxiété, Conditions de travail, Crise, EHPAD, Épidémie, Gériatrie, Isolement, Lien social, Personne âgée, Psychologie, Reconnaissance, Relation, Relation familiale, Relation soignant-soigné, Vieillissement
Le développement de l’épidémie de coronavirus a bouleversé l’organisation des services et augmenté la charge de travail du personnel soignant. Les services ou les établissements accueillant les personnes âgées ont été particulièrement exposés à la contagion. Le personnel a exprimé des craintes légitimes et les résidents, âgés, ont développé des formes graves de la maladie. À l’anxiété générée par le risque d’être contaminé s’est ajoutée celle provoquée par la distanciation physique des visiteurs, nécessaire pour les protéger.
L’urgence sanitaire liée à la Coronavirus Disease 2019 a été stressante pour le personnel travaillant en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, et doublement douloureuse pour les résidents devant le risque infectieux et la réalité de l’éloignement familial. Des conséquences psychologiques résultant de leur vécu dans la crise sanitaire qui s’éloigne ont été étudiées, en espérant que l’expérience acquise permettra une plus grande efficacité en cas de reprise de la pandémie.