Article de Hélène Romano
Paru dans la revue Métiers de la petite enfance, n° 322-323, novembre 2023, pp. 28-31.
Mots clés : Anxiété, Crise, Enfant, Jeune enfant, Professionnel de l'enfance, Stress, Etablissement d'accueil du jeune enfant, Conditions de travail, Parole, Relation adulte-enfant
Les lieux d'accueil du jeune enfant (crèche, maison d'assistantes maternelles, domicile d'une assistante familiale) ne sont pas préservés du contexte actuel particulièrement anxiogène. Pour les tout-petits pris en charge, les conséquences sont réelles. Cet article propose une réflexion à ce sujet ainsi que des perspectives pour accompagner au mieux les enfants dans un climat insécurisant
Article de Hélène Romano
Paru dans la revue Métiers de la petite enfance, n° 315, pp. 28-31.
Mots clés : Enfant, Guerre, Professionnel de l'enfance, Traumatisme, Violence, Média, Image, Trouble du comportement
La guerre était, jusqu’au début de l’année 2022, une réalité lointaine pour les enfants français. Si elle a toujours existé, y compris dans des pays kilométriquement peu éloignés de l’Hexagone, si l’armée française reste déployée dans une multitude de territoires, le déclenchement de ce conflit armé, le 24 février 2022, a bouleversé tous nos repères. La réalité de la guerre ne peut dorénavant plus être cachée aux enfants qui y sont exposés quotidiennement via les médias, qui voient de petits Ukrainiens accueillis dans leur classe, qui sont confrontés à l’inquiétude de leurs parents et des adultes en général. Comment les plus jeunes comprennent-ils la guerre ? Comment en parlent-ils et quels sont les effets de ces conflits sur leur devenir ?
Article de Hélène Romano
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 359, août-septembre 2022, pp. 26-30.
Mots clés : Santé-Santé publique, Enfant, Adolescent, Santé mentale, Traumatisme, Psychologie, Souffrance psychique, Prise en charge, Professionnel de l'enfance, Covid-19
Les conséquences psychologiques des pandémies et périodes de crise sont connues, celles de la Covid-19 et des innombrables mesures qui l’ont accompagnée ont été multiples, en particulier chez les plus jeunes. Pourtant, l’attention portée aux enfants et aux adolescents n’a pas été immédiate. Il a fallu attendre la publication des premières études pour que les impacts psychologiques de la pandémie sur cette population soient enfin pris en compte. Une réflexion est proposée sur les résistances à la reconnaissance de ces effets, avant de présenter les données actuelles sur les troubles constatés et les perspectives de prise en charge.