Rechercher un article, un ouvrage, une thèse

PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 51 à 60 sur un total de 73

Votre recherche : *

"Le rôle singulier du médecin coordonnateur"

Article de Jean Marie Voeltzel

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3045, 26 janvier 2018, p. 20.

Mots clés : Travail social : Établissements, Médecin, Coordonnateur, Rôle, Organisation du travail, EHPAD

Jean-Marie Voeltzel, médecin coordonnateur au sein de plusieurs établissements dans l’Allier, décrit une profession mal connue des médecins traitants et des familles qui ne comprennent pas toujours son rôle.

"Pour un binôme coordonnateur-traitant"

Article de François Bertin Hugault

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3045, 26 janvier 2018, p. 21.

Mots clés : Travail social : Établissements, Médecin, Coordonnateur, Travail d'équipe, EHPAD

Directeur médical du groupe Orpéa, lui-même médecin-gériatre, le Dr François Bertin-Hugault estime que les médecins coordonnateurs sont un rouage essentiel dans les Ehpad dont ils garantissent la qualité médicale des établissements. Favorable à une évolution de leur statut, il souhaite la création d’un véritable binôme médecin-coordonnateur-médecin traitant. Entretien.

Ehpad : les médecins coordonnateurs en quête d'identité

Article de Nadia Graradji

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3045, 26 janvier 2018, pp. 16-19.

Mots clés : Travail social : Établissements, Médecin, Coordonnateur, Management, Statut professionnel, Gériatrie, EHPAD, Association MCoor (Association nationale des médecins coordinateurs et du secteur médico-social)

Les médecins coordonnateurs sont un rouage essentiel dans les Ehpad et l’amélioration des indicateurs médicaux leur doit beaucoup. Mais il y a des trous dans la raquette : un Ehpad sur trois fonctionne actuellement sans médecin coordonnateur. Difficultés de recrutement, turnover, manque d’attractivité : radiographie d’une profession en crise.

Au coeur du management : gestion de crise la guerre est déclarée

Article de Philippe Rollandin

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3041-3042, 12 janvier 2018, pp. 24-26.

Mots clés : Travail social : Établissements, Établissement social et médicosocial, EHPAD, Management, Crise, Prévention, Communication, Média, Risque, Réduction des risques, SYNERPA (Syndicat national des établissements et résidences privés pour personnnes âgées)

Le nombre et la nature des crises – sanitaires, systémiques, épidémiologiques, climatiques et violentes – que les établissements sont appelés à affronter vont augmenter sous le double effet de l’aggravation de l’état physique et psychique des personnes qu’ils accueillent et de la baisse de l’acceptabilité des risques dans une société en quête de sécurité totale. La préparation à la gestion de crise doit devenir la priorité n° 1 des établissements. Explications.

Evénements indésirables : instaurer une culture du signalement

Article de Nadia Graradji

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3033, 10 novembre 2017, pp. 32-33.

Mots clés : Travail social : Établissements, Démarche qualité, Signalement, Risque, Législation, Établissement social et médicosocial, EHPAD, CESAP (Comité d'études d'éducation et de soins auprès des personnes polyhandicapées)

La gestion des risques est devenue une préoccupation majeure des ESSMS. Le signalement des événements indésirables y contribue à part entière. Mais la sous-déclaration est une réalité à laquelle se heurtent encore les établissements.

Ehpad, péril en la demeure

Article de Christophe Robert

Paru dans la revue Le Journal des acteurs sociaux JAS, n° 221, novembre 2017, pp. 12-16.

Mots clés : Travail social : Établissements, Gestion financière, EHPAD, Gestion administrative, Évolution

Prolifération incessante des normes, cruel manque de moyens humains, réforme de la tarification et des modes de gestion ... les maisons de retraite s'invitent sous les feux de la rampe à l'heure où le profil des résidents connaît une profonde évolution. Et tandis qu'une toute récente mission parlementaire vient de rendre ses conclusions sur les périls qui menacent nos Ehpad, les professionnels de terrain peinent à s'y retrouver.

Ehpad : s'adapter pour subsister

Article de Nathalie Levray

Paru dans la revue La Gazette santé social, n° 144, octobre 2017, pp. 33-35.

Mots clés : Travail social : Établissements, EHPAD, Tarification, Gestion, Collectivité territoriale, Gériatrie, Géographie

Les contraintes budgétaires et des tâches de plus en plus complexes amènent à revoir le mode de gestion des Ehpad vers davantage de mutualisation et de synergie avec le sanitaire et le domicile. Si les SEM, SPL ou autres Semop sont encore rares hors restructuration patrimoniale, la DSP séduit les élus. Dans tous les cas, le mode de gestion doit s'inscrire dans une vision à long terme de la filière gériatrique.

Ehpad : les nouvelles règles de tarification

Article de Sorithi Sa

Paru dans la revue Travail social actualités TSA, n° 86, octobre 2017, pp. 34-39.

Mots clés : Travail social : Établissements, EHPAD, Financement, Soin, Législation, Dépense

Conclure un CPOM aujourd'hui

Article de Laurent Cocquebert, Karine Le Maguet

Paru dans la revue Direction(s), hors-série n° 18, juillet-août 2017, pp. 7-113.

Mots clés : Travail social : Établissements, Management, Établissement social et médicosocial, Action sociale et médicosociale, EHPAD, ARS, Législation, Partenariat, Budget, Tarification

Au cours des quinze dernières années, les contrats pluriannuels d'objectifs et de moyens (CPOM) se sont développés, d'abord largement encouragés par l'administration et, depuis peu, imposés à de larges pans du secteur médico-social. Conclus pour une durée maximale de cinq ans, l'objectif de ces contrats est double : favoriser, d'une part, des relations négociées entre les organismes gestionnaires d'établissements et les pouvoirs publics et, d'autre part, responsabiliser les opérateurs. Si les premiers signataires de CPOM ont bénéficié de conditions avantageuses, la donne a changé depuis.

Tant du côté des pouvoirs publics que des organismes gestionnaires, chacun montre moins d'empressement à entamer une démarche qui se révèle souvent lourde d'investissements. Pourtant, ce contrat continue à avoir le vent en poupe, même si le contexte financier est aujourd'hui moins porteur et si sa vocation d'outil de développement de l'offre a été singulièrement amoindrie par la mise en place des procédures d'appel à projet par la loi dite "HPST" (loi portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires, du 21 juillet 2009).

Par ailleurs, de nouvelles dispositions législatives font désormais obligation à l'ensemble des gestionnaires d'établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) et petites unités de vie (PUV) ainsi qu'aux gestionnaires d'établissements et services pour personnes handicapées sous compétence exclusive ou conjointe de l'agence régionale de santé (ARS) de conclure un CPOM d'ici cinq ou six ans, le contrat devenant le vecteur d'une procédure de tarification dite "à la ressource".

D'outil de dialogue entre deux partenaires sur un relatif pied d'égalité car sans obligation de conclure, le CPOM devient donc très clairement le vecteur d'une régulation et d'une convergence budgétaire systématiques ne laissant qu'une part très probablement fort congrue au dialogue et à la prise en compte des particularités des établissements et services. Alors que se mettent en place ces réformes capitales, ce hors-série a pour objectif de vous éclairer dans chaque étape de cette négociation, souhaitée ou contrainte. Car si le CPOM présente d'indéniables opportunités, l'aventure comporte des risques qu'il est impératif de connaître et de mesurer avant de se lancer.

A tout âge, écologistes et solidaires !

Article de Rachel Le Méhauté

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 9, mai-juin 2017, pp. 21-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Travail social : Établissements, Personne âgée, Vieillissement, Animation sociale, EHPAD, Développement durable, Intergénérationnel, Citoyenneté, Pratique professionnelle, Établissement social et médicosocial, Activité

A priori, les personnes très âgées vivant en institution ne semblent guère concernées par le développement durable et déplorent leur impossibilité à agir. Pourtant, les anciens sont sensibles à la pollution ou à l'épuisement des ressources... Face aux multiples alertes médiatiques, ils s'inquiètent du monde qu'ils vont "laisser" aux jeunes générations. Comment alors rendre aux aînés leur place de citoyens actifs ? Quelles actions mener et comment les intégrer aux pratiques de développement durable ?