PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Sommaire du dossier : Les bébés et le travail de culture, ou l'enfance comme "une culture à part entière". Le cri, le gouffre et le berceau. Naître au monde et à la culture : mais c'est bien sûr ! Apprendre à jouer pour développer l'empathie. Quelques mots dans le désordre pour dialoguer. Naître au monde, naître à la lecture... Comment évoluent les représentations du monde contemporain dans les albums destinés à la jeunesse ? Lire avec les tout-petits et leur famille : une entrée en culture ? Musiques à l'hôpital. Le corps en musique. Peut-on encore croire à la culture ? L'ombre du jeu : éloge de la culture de la triche....
Paru dans la revue Thérapie familiale, vol. 31, n° 4, pp. 305-472.
Mots clés : Famille, Image mentale, Représentation sociale, Famille en difficulté, Psychothérapeute, Interaction, Pratique professionnelle, Relation soignant-soigné, Thérapie, Thérapie de couple, Thérapie familiale, Thérapie de groupe
Article de Catherine VASSELIER NOVELLI, Charles HEIM
Paru dans la revue Thérapie familiale, vol. 31, n° 4, pp. 397-415.
Mots clés : Violence, FEMME BATTUE, Homme, Couple, Famille, Représentation sociale, Psychothérapeute, Groupe de parole, Prison, Détenu, Témoignage, Service pénitentiaire d'insertion et de probation
Parmi les nombreux changements qu'a connu la notion de famille au cours du temps, nous nous intéressons ici à la normalisation/banalisation du divorce (ou séparation). Nous postulons que, dans un contexte où ses modifications sont de moins en moins ritualisées et donc de moins en moins représentables, la famille (dont nous différencierons le caractère achronique du caractère diachronique) n'a pas accès à une représentabilité/acceptabilité sociale de sa ou ses séparations. Selon nous, elle souffre alors d'une crise identitaire dont l'enfant, parfois en plus de ses souffrances individuelles, peut être le symptôme. Reste alors aux thérapeutes à pallier ce manque de représentabilité des séparations, tout en restant lucides quant aux limites de leurs interventions.