PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Article de Virginie Champion, Jacques Draussin, Claudine Colozzi, Serge Tisseron
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH - cahier 2 – les numéros juridiques, n° 3175, 11 septembre 2020, 121 p..
Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Animal, Médiation éducative, Soin, Pratique éducative, Équithérapie, Ferme pédagogique, Formation professionnelle, Projet éducatif, Enfant, Personne handicapée, Personne âgée, Prison, Hôpital psychiatrique, Lien social, Évaluation, Recherche sociale, La Chabraque, Dôle, Aveyron, Alpes de Haute Provence, Paris, Etats Unis d'Amérique, Italie, Allemagne, Autriche
La médiation animale est désormais reconnue par de nombreux travailleurs sociaux pour ses bienfaits. Les personnes qui se trouvent en situation de fragilité physique, psychique ou sociale éprouvent souvent des difficultés à communiquer avec autrui mais se sentent plus souvent en confiance avec un animal. "L'écoute" de l'animal apaise quand prendre soin de lui est socialement reconnu et valorisé. Réalisé en partenariat avec la fondation Adrienne et Pierre Sommer, ce numéro juridique des ASH recense les obligations et les bonnes pratiques des professionnels qui interviennent dans les secteurs du social et du médico-social avec des animaux. Il vous propose aussi un retour en arrière pour revenir sur la naissance de ce type de médiation. Il offre enfin des pistes de réflexion sur les enjeux futurs quant à la qualité des formations, des qualifications et des certifications.
Article de Harold Searles, Sandrine Aumercier, Marie José Durieux, et al.
Paru dans la revue Le Coq-héron, n° 242, septembre 2020, pp. 11-163.
Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Psychanalyse, Écologie, Environnement, Milieu naturel, Crise, Inconscient, Anxiété, Peur, Épidémie, Technologie, Animal, Responsabilité, Psychodrame, Évolution, Éthique, Covid-19
À l’heure où notre planète, en proie à d’imparables désordres climatiques, constate que l’humanité est en train de vivre la sixième extinction massive de la biodiversité, des plantes et des animaux, n’est-il pas temps que les psychanalystes du XXIe siècle s’interrogent sans complaisance sur les paradoxales relations psychiques humaines avec leur milieu naturel ? Car cet environnement non humain, dans lequel les familles de l’espèce humaine se sont pourtant développées depuis des millénaires, celui dont Harold Searles a souligné il y a cinquante ans l’impact psychique trop souvent occulté, est devenu – sous couvert d’« avancées » technologiques et d’insatiables avidités humaines – assujetti à l’omnipotence de processus délétères entraînant l’effondrement incontestable de ce milieu fondamental d’existence vitale. Sans prétention exhaustive, ce dossier rassemble plusieurs études pour ouvrir au monde spécialiste de la psyché certains aspects de ces questions d’une actualité capitale.
Hocine Hadjab, directeur de service au centre éducatif fermé (CEF) de La Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret), recense de nombreux avantages au jardinage et à l’éco-pâturage mis en place pour les jeunes placés âgés de 13 à 16 ans ainsi que pour leurs éducateurs.
Paru dans la revue Le Sociographe, n° 70, juin 2020, pp. 113-122.
Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Animal, Milieu urbain, SDF, Adulte en difficulté, Accueil temporaire, Accompagnement, Exclusion sociale, Stigmatisation
Il aboie, il grogne, il mord, il pue, il défèque, il porte des parasites, transmet des maladies : autant de raisons pour lesquelles il faut s’en méfier et s’en prémunir. Mais les caractéristiques du chien font de ce compagnon un allié pratique idéal pour la vie à la rue. Le chien serait-il plus humain que nous-mêmes ? Il est celui qui reconnaît l’homme en tant que tel, même lorsque les hommes eux-mêmes ne le font pas. Le chien ne pourrait-il pas être considéré comme un support à l’intervention, voire un collègue, par les travailleurs sociaux ? La place qui lui est laissée dans les institutions ne dépendrait-elle pas de celle que l’on veut bien lui donner dans nos esprits ? Il ne s’agirait alors non pas de laisser une place à l’animal, qui vient la prendre indubitablement en impactant l’accompagnement, mais d’opérer une remédiation cognitive de manière à ce que cet impact puisse représenter une opportunité de construction.
Paru dans la revue Lien social, n° 1273, 12 au 25 mai 2020, pp. 18-24.
Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Animal, Médiation, Jeune en difficulté, Estime de soi, Affectivité, Personne handicapée, IME, Centre d'action éducative, Lieu de vie, Équithérapie, Handicap psychique, Médiation animale
La médiation animale connaît un succès grandissant dans les institutions pour enfants et adolescents en difficulté. D’où vient-elle ? Comment fonctionne-t-elle ? Avec quels publics ? Quels bénéfices ? Comment la mettre en place ?
Article de Hartmut Rosa, Slavoj Zizek, Giorgio Agamben, et al.
Paru dans la revue Philosophie magazine, n° 138, avril 2020, pp. 16-23.
Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Société, Épidémie, Écologie, Économie, Liberté, Éthique, Animal
A l’heure actuelle, l’Italie est confinée, la France a fermé écoles et lieux publics, des frontières se ferment… Les philosophes que nous avons interrogés projettent sur cet événement global leur concept central.
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 334, février 2020, pp. 12-14.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Zoothérapie, Médiation, Animal, Attachement, Objet transitionnel, Jouet, Développement sensoriel, Jeu, Rire, Affectivité, Empathie, Stimulation
La zoothérapie est un soin alternatif non médicamenteux qui se pratique avec un animal soigneusement sélectionné et éduqué pour qu’il soit le médiateur du thérapeute formé à cette discipline. Parmi les animaux le plus adaptés aux enfants, le chien, les équidés, comme le poney et l’âne, et le cochon d’Inde occupent une place importante.
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 334, février 2020, pp. 25-26.
Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Animal, Bien-être, Communication, Etablissement d'accueil du jeune enfant, Projet, Affectivité, Professionnel de l'enfance, Soin
Les animaux ont un effet bénéfique sur le développement des enfants aux niveaux affectif, relationnel et cognitif. En effet, le fait de caresser un chien ou un chat ou d’observer des poissons dans un aquarium apaise, abaisse le rythme cardiaque et la pression artérielle. Bien qu’aucun texte de loi n’interdise aux animaux l’accès aux établissements d’accueil du jeune enfant, il peut s’avérer compliqué de les inclure dans un projet permanent.