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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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COVID 19 : quelles adaptations ?

Article de Laetitia Laich, Françoise de Barbot, Martine Frischmann, et al.

Paru dans la revue Contraste, n° 53, 1er semestre 2021, pp. 7-235.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Épidémie, Handicap, Enfant handicapé, Relation travailleur social-usager, Distance, Adaptation, CAMSP, Hôpital, Parents, Témoignage, Lien social, Télémédecine, Polyhandicap, Autisme, Vidéo, Relation soignant-soigné, Thérapie, Maladie contagieuse, Maladie neuromusculaire, Technologie numérique, Anxiété

Conçu et réalisé entre deux périodes de confinement dues à la Covid-19, ce numéro présente la façon dont diverses structures (camsp et services hospitaliers) et des professionnels de spécialités variées (médecins, psychologues, orthophonistes, psychomotriciens, enseignants spécialisés) ont cherché à s’adapter aux mesures de confinement qui les ont empêchés de rencontrer leurs jeunes patients en présentiel. Différentes expériences sont relatées : diagnostic, rééducation et psychothérapie en visio, mise en place d’une cellule d’aide psychologique, etc. Quelques interviews de mères de jeunes enfants handicapés ont aussi été réalisées afin de montrer comment elles ont vécu cette période.
Avec la participation de Magnolia AKKAYA, Nathalie ANGEARD, Gaëlle ANQUETIL, Marie-Lise BABONNEAU Bettina BEAUJARD, Anita BEGGIATO, S. BIASETTO, Nathalie CHABROUD, Elise CHAUVIN, Lucien COUDRIN, Noémie COUSIN, Françoise DE BARBOT, Aurélie DE CLERCK, Priscille DE THE, Nayla DEBS, Christèle DECKER, Richard DELORME, Florence FRIC, Martine FRISCHMANN, Marcela GARGIULO, Valérie GARRAUD, Ariane HERSON, Marie HULLY, Elise HUMEAU, Eliane JOSSET-RAFFET, Sophie KEREBEL, Lyphea KHUN-FRANCK, Andrea KOCH, Laetitia LAICH, Lydie LE FORESTIER, Sabrina MENRATH, Marie MEUNIER, Claire-Cécile MICHON, Malika NAULET, Hoang Thi NGUYEN, Céline NOUVELLON, Marc OLLIVIER, Lisa OUSS, Monica PERRUSI, Nathalie PONCELET, Benedetta POZZI, Sara RAMOS PEREIRA, Christian REVEILLERE, Jean-Tristan RICHARD, Sabrina SAYAH, Camille SERVENT, Anne SOARES DEREDJAN, Cécile TESTUD, Marie THEISSE, Sandra THETIO, Danièlle VALLEUR-MASSON, Lara VAN DER HORST, Valérie VANTALON, Nathalie VARENE

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Les caractéristiques du handicap : des perspectives contextuelles et culturelles

Article de Gaëlle Lefer Sauvage, Cendrine Mercier

Paru dans la revue Revue française des affaires sociales, n° 1, janvier-mars 2021, pp. 167-178.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Handicap, Culture, Différence, Autisme, Scolarisation, Insertion professionnelle, Travailleur handicapé, Enfant handicapé, Intégration scolaire, Législation, Immigration, Mayotte

Cette contribution à deux voix s’est construite comme un dialogue qui enchâsse des perspectives, macro, méso et micro concernant l’éducation et les apprentissages à travers la diversité des apprenants. La diversité culturelle au sein du système français est un élément important dans l’appréhension de la situation de handicap, car elle donne à lire des phénomènes de société, des incompréhensions, des non-dits, qui ne facilitent pas le quotidien des personnes. Sur le plan épistémologique, l’objet de cet article est de situer les travaux scientifiques dans une entrée contextuelle au sein de laquelle les dimensions culturelles anthropologiques seront des sources explicatives (Sabatier, 2014). La situation territoriale envisagée est celle de Mayotte, en tant qu’illustration exemplaire et critique des liens entre classification du handicap et processus de désignation d’une situation de handicap. Ce dialogue imaginé entre des cultures et des contextes permet d’intégrer des paradoxes et des différences, en vue de les articuler en un tout ; c’est ce qu’on pourrait appeler la psychologie des contacts de cultures (Denoux, 2004). Nous tentons en même temps de contextualiser les questions posées par la classification du handicap, de les décontextualiser et de les recontextualiser, tels que le font S. Genevois et N. Wallian en 2020 dans le champ didactique, à partir de Mayotte ou du champ du handicap. L’intérêt de notre article ne réside donc pas dans une perspective centrée sur Mayotte, mais plutôt dans l’art de croiser autisme, handicap et contexte mahorais.

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L'effet de la présence et de l'absence de fratrie sur le niveau d'adaptation sociale des enfants présentant un trouble du spectre de l'autisme

Article de Marie Andrée Eymard, Nathalie Poirier, Nathalie Nader Grosbois

Paru dans la revue Devenir, vol. 33, n° 1, janvier-mars 2021, pp. 5-22.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Enfant handicapé, Autisme, Sociabilité, Fratrie, Âge

Dans la littérature scientifique, il est indiqué que la fratrie contribue au développement social de leurs frères ou de leurs sœurs. Cependant, l’influence de la fratrie sur les habiletés sociales des enfants ayant un trouble du spectre de l’autisme diffère d’une étude à l’autre. Ainsi, la présente étude (n=39) vise l’exploration de l’effet de la présence ou de l’absence d’une fratrie sur le niveau d’adaptation sociale des enfants ayant un TSA, chez les enfants âgés entre 6 et 12 ans, et évalue également l’effet d’avoir ou de ne pas avoir une fratrie plus jeune et une fratrie plus âgée. Cette étude suggère qu’il serait pertinent d’inclure la fratrie dans les interventions auprès des enfants ayant un TSA, afin que celles-ci soient plus efficaces.

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Grand-parentalité et troubles du spectre autistique du petit-enfant : étude exploratoire de l’expérience… des grands-mères et des grands-pères

Article de Véronique Rouyer, Alexia Alonso Diez, Joanna Lucenet

Paru dans la revue Dialogue, n° 230, décembre 2020, pp. 123-140.

Mots clés : Enfance-Famille, Grands-parents, Famille, Autisme, Enfant handicapé, Relation familiale, Accompagnement, Implication personnelle

Dans une approche psycho-développementale et systémique, cet article examine l’expérience grand-parentale en contexte de troubles du spectre autistique (TSA) de l’enfant en considérant la pluralité des relations familiales (conjugale, co-grand-parentale, parents/enfant(s), grand(s)-parent(s)/petit(s)-enfant(s), etc.) dans lesquelles les grands-parents sont inscrits. L’analyse des entretiens menés auprès de six grands-parents (quatre familles) montre notamment l’important engagement et le soutien instrumental et émotionnel des grands-parents auprès des parents et de leur petit-enfant porteur de TSA. Ces résultats sont discutés en lien avec l’accompagnement des enfants présentant un TSA et leurs familles, dans une perspective systémique.

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Fonctions et enjeux du narcissisme grand-parental

Article de Franck Rexand Galais

Paru dans la revue Dialogue, n° 230, décembre 2020, pp. 81-100.

Mots clés : Enfance-Famille, Grands-parents, Famille, Narcissisme, Vieillissement, Famille recomposée, Idéal du moi, Psychanalyse, Enfant handicapé, Parentalité

Si le narcissisme parental est l’objet d’explorations régulières depuis Freud, le narcissisme grand-parental demeure quant à lui un concept largement peu exploré, ce qui revêt un caractère paradoxal lorsque l’on prend en considération l’importance de la question narcissique dans le vieillissement et le poids des petits-enfants dans le discours des sujets vieillissants. Trois vignettes issues d’une clinique gérontologique d’orientation psychanalytique permettent d’illustrer le sens narcissique que peut prendre l’arrivée d’un petit-enfant – mais aussi l’annonce du handicap du petit-enfant ou encore son l’éloignement en cas de recomposition familiale. L’auteur montre comment le narcissisme grand-parental ne puise pas exactement aux mêmes sources que le narcissisme parental qu’il remet d’ailleurs souvent en cause. Il propose de considérer le rôle central du rééquilibrage narcissique via l’Idéal du Moi dans le vieillissement mais aussi de constater l’impact de ces mutations sur le Surmoi en situation de grand-parentalité.

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L'apprentissage de la langue écrite dans le cas du syndrome de Williams

Article de Anne Sophie Pezzino, Nathalie Marec Breton, Agnès Lacroix

Paru dans la revue Enfance, vol. 72, n° 4, octobre-décembre 2020, pp. 475-508.

Mots clés : Enfance-Famille, Handicap-Situations de handicap, Maladie génétique, Enfant handicapé, Handicap mental, Déficience cognitive, Lecture, Apprentissage, Maladie rare

Le syndrome de Williams (SW), maladie génétique rare admettant un handicap intellectuel, offre une occasion de mieux comprendre l’évolution des précurseurs phonologiques et visuels contribuant à l’activation des mécanismes de lecture. En effet, les déficits phonologiques et visuo-spatiaux semblent expliquer indépendamment une part de la variabilité dans l’installation du code écrit, malgré la préservation relative du lexique. Selon une approche multidimensionnelle, l’objectif de cette étude longitudinale sur trois ans était de repérer la nature et l’évolution des précurseurs phonologiques et visuels reconnus comme contribuant au bon développement de la maîtrise du code écrit. Nous avons rencontré une fois par an durant trois ans (3 temps), 7 jeunes avec SW âgés de 5 à 8 ans appariés, au cas par cas, à 30 enfants contrôles typiques selon le sexe et l’âge chronologique. Plusieurs tâches ont été administrées afin d’évaluer la connaissance du code et ses précurseurs phonologiques (épi- et méta-phonologie, mémoire auditivo-verbale et dénomination rapide) et visuels (raisonnement visuo-spatial et attention visuelle). Les résultats indiquent que l’évolution atypique et retardée de certains précurseurs conduit à un décalage temporel dans l’activation des mécanismes de lecture et, par conséquent, des trajectoires développementales de l’installation du code écrit dans ce syndrome. Notre discussion s’orientera vers une classification possible des trajectoires développementales, selon une approche multidimensionnelle des variabilités observées dans la maîtrise du code écrit.

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Quand la direction décide d’un changement institutionnel : entre mythe fondateur, crise et examens de passage

Article de Michel Hanot

Paru dans la revue Thérapie familiale, vol. 41, n° 4, 2020, pp. 299-311.

Mots clés : Travail social : Établissements, Direction, Management, Changement, Besoin, Crise, Équipe, Enfant handicapé, Projet d'établissement, Institution, Réunion d'équipe, Identité professionnelle

Quand la direction décide d’un changement institutionnel : entre mythe fondateur, crise et examens de passage – En 2003, je suis devenu le directeur d’une petite institution ayant deux ans d’ancienneté dans le secteur du handicap. La vie institutionnelle est faite de continuité et de changement. L’arrivée d’un nouveau directeur crée à la fois de l’incertitude et de l’espoir pour le personnel. Si, de surcroît, il est le dernier arrivé, il se retrouve dans la position paradoxale de devoir proposer une direction, un cap tout en ayant le moins d’informations et d’expérience concernant l’histoire institutionnelle, avec ses règles, ses croyances, son mythe fondateur. Arrive le moment où des changements sont nécessaires. Ceux-ci émergent à partir d’une ou plusieurs insatisfactions, parfois aussi à partir de nouveaux besoins. En tant que directeur, j’ai souhaité modifier l’offre de service à l’intention des bénéficiaires et procéder à une description de fonction du personnel. S’en est suivie une crise importante au sein de l’équipe car ces changements venaient modifier le mythe fondateur de l’institution, basé sur une indifférenciation des fonctions. J’ai été alors confronté à toute une série d’épreuves qui constituent de véritables examens de passage. Au terme de cette crise, un nouvel équilibre a émergé, apportant beaucoup de sérénité et de confort à l’ensemble de l’équipe ainsi qu’aux jeunes en situation de handicap.

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Enfants entre eux

Article de Frédéric Ruby, Sarah Salmona, Elisabeth Auerbacher, et al.et al.

Paru dans la revue Contraste, n° 52, 2ème semestre 2020, pp. 7-236.

Mots clés : Enfance-Famille, Handicap-Situations de handicap, Enfant handicapé, Élève, Relation interpersonnelle, Différence, Fratrie, Psychologie du développement, Adolescent, Réseau social, Handicap, Parole, Groupe de parole, CAMSP, Etablissement d'accueil du jeune enfant, Micro-crèche, Polyhandicap, Trisomie, Jeu, Intégration scolaire

L’inclusion dans des classes ordinaires des enfants porteurs d’un handicap pose de façon aiguë la question de leurs relations avec leurs pairs. Quel est le rôle des pairs dans le développement de l’enfant ? Le handicap entraîne-t-il des difficultés particulières dans les relations entre sujets du même âge ? Qu’en est-il à l’école, mais aussi dans les crèches, les centres de loisirs, les séjours de répit ? Comment les enfants parlent-ils du handicap entre eux ? Ce numéro ouvre les pages à de nombreux témoignages : personnes handicapées, parents, avs, etc.

- Éditorial / Régine Scelles
- « Qui a des pairs, gagne » / Frédéric Ruby
- De la rencontre de mes pairs à la découverte de ma banalité / Sarah Salmona
- Fratrie et handicap / Élisabeth Auerbacher
- Qu’est-ce qu’un pair ? Implications dans le handicap de l’enfant / Lisa Ouss
- Les relations aux pairs dans le développement de l’enfant / Olivia Paul
- Adolescence, handicap et liens aux pairs : de la réalité des relations aux relations virtuelles / Marie-Anne Écotière, Sophie Pivry, Régine Scelles
- Construction des liens avec les pairs chez un jeune garçon porteur de trisomie 21 / Clémence Dayan
- L’énigme du handicap : en parler aux enfants, les écouter, leur permettre de parler entre eux / Régine Scelles
- Le groupe expressions au camsp : un espace de créativité et de partage de l’enfant avec ses pairs / Bérengère Jacquot, Alissa Lumelsky
- Des nouvelles de Dagobert, Gulliver, Ali-Baba et... du Chat Apprendre des tout-petits / Cécile Herrou
- Les Pieds dans l’eau... Une micro-crèche à Nantes / Coralie Gonin-Olympiade, Jérémie Batsalle, Amandine Celli
- Enfants en situation de polyhandicap, leurs familles, leurs fratries en séjour de répit / David Fernandez, Ana Ferreira
- Qui veut jouer avec moi ? / Bernadette Céleste
- Semblables ou différents ? L’enfant et les autres à l’école/ Angélique Cayot

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Comprendre et accompagner le développement avec le numérique

Article de Céline Galissier, André Tricot, Ignacio Manez, et al.et al.

Paru dans la revue Enfance, n° 3, juillet-septembre 2020, pp. 277-446.

Mots clés : Enfance-Famille, Psychologie du développement, Technologie numérique, Jeu vidéo, Enfant handicapé, Adolescent, Film, Genre, Intergénérationnel, Apprentissage, Socialisation, Motivation, Identité, Relation enfant-parents

Focus sur le point de vue des psychologues : quels sont les effets des nouvelles technologies sur le développement ? Les outils numériques sont là, et ce sont de puissants moyens. Mais des moyens pour quoi faire ? Les psychologues s’interrogent : apprend-on aux enfants à les utiliser adéquatement et aux parents à les contrôler correctement ? Par exemple, comment les bébés et les parents gèrent-ils l’attention conjointe lors de leurs interactions à distance par vidéo ?
Les nouvelles technologies sont les moyens d’objectifs visant les apprentissages cognitifs, la médiation sociale, ou encore les thérapies à distance. Mais ils ont des effets autres, inattendus voire indésirables. Ils transforment l’environnement physique et humain. Ils privilégient la représentation du réel sur les interactions sociales directes, la perception passive sur l’action, une attitude de spectateur non impliqué sur l’initiative sociale. Ils ont des répercussions émotionnelles souvent inobservables faute de partenaires témoins. Les psychologues s’interrogent à nouveau : quel est le rôle de l’âge, du genre, du partenaire, de la motivation du jeune utilisateur ?
Ce numéro thématique, coordonné par Benoît Schneider, professeur de psychologie à l’université de Lorraine, aborde de nombreuses questions développementales liées à l’utilisation du numérique. L’utilisateur crée l’usage de l’outil selon ses besoins, mais l’outil peut, lorsqu’il est SMART, comme l’a montré Charles Tijus dans le numéro thématique 3, 2019, anticiper les besoins de l’utilisateur. Pendant que l’on étudie ses effets au fil du temps pour en faire un bilan, le numérique évolue, avec l’objectif de permettre aux personnes, selon la belle expression de Florian Forestier, auteur de l’après-propos, de trouver (voire d’inventer) leur propre chemin de développement. Une redescription du concept de développement est ainsi esquissée, qui invite les psychologues à prendre leur place dans l’option interdisciplinaire des nouvelles technologies. En pionnier, le numéro ouvre le dossier pour les professionnels de l’enfance et les parents.

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Description de pratiques diverses de terrain sur la vie affective, relationnelle et sexuelle… de deux conseillères conjugales et familiales

Article de Dominique Lemond, Maryse Pascau

Paru dans la revue Dialogue, n° 228, 2e trimestre 2020, pp. 39-60.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Sexualité, Information sexuelle, Conseiller conjugal, Prévention, Affectivité, Groupe de parole, Égalité, Santé, Parents, École primaire, Collège, Enfant handicapé, MAS, Foyer d'accueil médicalisé, Établissement social et médicosocial, ESAT, Accompagnement

Formées au conseil conjugal et familial dans une approche psychanalytique, deux conseillères conjugales et familiales montrent comment cette formation colore leur accompagnement à la vie affective, relationnelle et sexuelle et à son « éducation », prévue par la loi en milieu scolaire et en milieu spécialisé. Elles partagent ce qui les a guidées pour construire des projets spécifiques, au-delà de la simple prévention/information, allant souvent jusqu’à la mise en place de groupes de parole dédiés à l’EVARS. Elles décrivent leurs expériences aussi bien avec les jeunes et les usagers qu’avec les professionnels, les familles, les structures.

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