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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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L'exercice ambulatoire en puériculture

Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 306, Avril 2017, pp. 11-27.

Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Consultation, Coordination, Éthique, Hospitalisation à domicile, Innovation, Pédiatrie, {Pratique médicale}, Prise en charge, Puéricultrice, Urgence, Soutien à la parentalité

L’hospitalisation à domicile en pédiatrie, un cadre de soins spécifique ; La reconnaissance de l’exercice libéral, une préoccupation majeure des puéricultrices ; La place de l’infirmière puéricultrice dans la prise en soins en ville ; Les maisons de santé, une opportunité d’exercice coordonné ; Accompagner la parentalité, une activité d’infirmière puéricultrice en micro-entreprise.

Prise en charge précoce et rôle infirmier en cas d'accident vasculaire cérébral hémorragique

Article de Séverine Héraud Carré, Bruno Le Roy, Gladys Prével

Paru dans la revue Soins Pédiatrie Puériculture, vol. 38, n° 295, mars-avril 2017, pp. 20-23.

Mots clés : Santé-Santé publique, Infirmier, Rôle, Maladie cardiovasculaire, Pédiatrie

L'accident vasculaire cérébral pédiatrique constitue une urgence thérapeutique, qui peut être d'ordre médical et/ou chirurgical. La rapidité et la précocité de la prise en charge ont un fort impact sur le pronostic. Le rôle infirmier, de la surveillance continue aux soins spécifiques, est essentiel dans l'évaluation, le parcours de soin et le devenir à court, moyen et long terme de l'enfant...

La rééducation motrice de l'enfant après un accident vasculaire cérébral

Article de Clara Julia Ros, Cordelia Jouishomme, Pascaline Kehlhoffner

Paru dans la revue Soins Pédiatrie Puériculture, vol. 38, n° 295, mars-avril 2017, pp. 24-27.

Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Rééducation, Motricité, Maladie cardiovasculaire, Pédiatrie, Enfant, Neurologie

La rééducation de l'enfant après un AVC est différente de celle de l'adulte. En effet, celui-ci est en cours de croissance, de maturation cérébrale et de développement psychomoteur...

Diagnostic et prise en charge en urgence de l'accident vasculaire cérébral de l'enfant

Article de Gaëlle Gousse, Stéphanie Chabrier, Manoëlle Kossorotoff

Paru dans la revue Soins Pédiatrie Puériculture, vol. 38, n° 295, mars-avril 2017, pp. 14-16.

Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Diagnostic, Prise en charge, Pédiatrie, Maladie cardiovasculaire

La survenue soudaine d'un déficit neurologique focal, parfois transitoire et fluctuant, doit faire évoquer un accident cardiovasculaire (AVC), y compris chez l'enfant. L'examen à privilégier est l'imagerie par résonance magnétique avec angiographie par résonance magnétique en urgence.

Vivre après un infarctus cérébral néonatal, expérience de la cohorte AVCnn

Article de Lucie Salah, Magaly Ravel, Manoëlle Kossorotoff

Paru dans la revue Soins Pédiatrie Puériculture, vol. 38, n° 295, mars-avril 2017, pp. 28-31.

Mots clés : Santé-Santé publique, Petite enfance-Périnatalité, Maladie cardiovasculaire, Nourrisson, Pédiatrie

L'infarctus cérébral artériel néonatal est un modèle clinique d'étude du développement, après une lésion cérébrale précoce. Les données de la cohorte AVCnn, étude française multicentrique, montrent que les séquelles sévères sont rares tandis que les plus légères intéressent de nombreux domaines d'activité et concernent une majorité d'enfants...

Épidémiologie des accidents vasculaires cérébraux en pédiatrie

Article de Yannick Béjot, Benoit Delpont, Christelle Blanc

Paru dans la revue Soins Pédiatrie Puériculture, vol. 38, n° 295, mars-avril 2017, pp. 12-13.

Mots clés : Santé-Santé publique, Petite enfance-Périnatalité, Pédiatrie, Épidémiologie, Maladie cardiovasculaire

L'incidence des accidents vasculaires cérébraux (AVC) artériels (infarctus cérébraux, hémorragies intracérébrales et méningées) périnéaux, c'est-à-dire survenus entre 20 semaines de gestation et 28 jours de vie, est de 20 à 65 cas pour 100 000 naissances vivantes...

Accompagnement de l’enfant malade en fin de vie et soutien de sa famille en réanimation pédiatrique en France

Article de P. Hubert

Paru dans la revue Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, vol. 64, n° 5, septembre 2016, pp. 331-336.

Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Enfant, Fin de vie, Accompagnement de fin de vie, Famille, Pédiatrie, Maladie, Soins palliatifs

L’auteur présente un panorama de l’évolution des réflexions et des pratiques au sein des unités de réanimation pédiatrique à la fois par rapport aux limitations et arrêts des traitements (LAT) et à la place des parents dans ces décisions. Les recommandations professionnelles et les exigences légales y ont très vraisemblablement contribué, mais il convient de ne pas sous-estimer l’importance de la réflexion éthique menée par de nombreuses équipes soignantes de réanimation pédiatrique et néonatale, qui ont su s’enrichir de la contribution de parents, de pédopsychiatres et de professionnels de soins palliatifs. Partant de l’idée que cette décision était trop lourde pour les familles, et qu’il fallait leur éviter d’y être associé pour les protéger, on en est aujourd’hui à l’information et au recueil de l’assentiment ou de la non-opposition des parents de l’enfant malade vis-à-vis d’une LAT. C’est une exigence morale et légale non contestée, même si la législation française a statué que la décision de LAT revenait in fine au médecin. L’attitude recommandée envers les parents s’écarte de toute approche systématique pour privilégier une approche personnalisée, leur laissant le libre choix de leur niveau d’implication vis-à-vis de la décision de l’équipe soignante. Cela se traduit aussi par la présence possible des parents auprès de leur enfant, le respect d’un délai « suffisamment long » (de l’ordre de 24 à 48 heures) entre le moment où l’équipe soignante décide collégialement, avec l’accord des parents, de ne pas poursuivre un traitement, et le moment de son arrêt effectif. Cette attitude suppose une grande cohésion d’équipe où infirmiers et médecins sont ensemble auprès des familles et des enfants, ce qui nécessite aussi que les équipes confrontées à des décisions aussi difficiles puissent être aidées.