PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH - cahier 2 - les numéros juridiques, n° 2964, 10 juin 2016, pp. 7-115.
Mots clés : Lien social-Précarité, Territoire-Logement, Accueil d'urgence, Hébergement, Accueil de jour, Logement, CHRS, Revenu minimum, Aide alimentaire, Aide financière, Accès aux droits, Accès aux soins, Domiciliation
Face à l’émergence progressive de « nouveaux pauvres » dont la situation s’est encore aggravée depuis 2008 avec la crise économique, les pouvoirs publics, soutenus par les acteurs associatifs, ont cherché à venir en aide aux plus démunis. D’abord centrée sur la mise en place de prestations sociales, la prise en compte de leurs besoins s’est élargie à de nouveaux droits (logement, santé, moyens d’existence…). Dans le même temps, l’orientation et l’information des intéressés se sont mieux structurées. Tour d’horizon des principaux outils à leur disposition.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 2942-2943, 15 janvier 2016, pp. 20-23.
Mots clés : Lien social-Précarité, SDF, Femme, Personne âgée, Hébergement
Trop désocialisées et/ou trop démunies pour accéder à un logement ordinaire ou s’y maintenir, des femmes vieillissent en situation d’hébergement précaire ou d’errance résidentielle. Certaines ont enchaîné les ruptures, d’autres ont été déstabilisées par un accident de la vie récent, toutes se retrouvent en très grande précarité dans leur 3e, voire leur 4e âge. Certaines associations de lutte contre l’exclusion leur proposent un accompagnement adapté.
Les maisons relais constituent une offre alternative d’habitat durable pour un accompagnement, sans limite dans le temps, de personnes marquées par la précarité, quels qu’en soient les déterminants. Ce texte offre, à travers l’expérience de structures toulousaines, une réflexion sur les possibilités et les limites de tels lieux, entre travail individuel d’accompagnement et collectif de socialisation, dans des espaces et des temps dédiés où les personnes peuvent parfois redécouvrir une intimité, un « chez soi » à travers la réappropriation d’un lieu à habiter.