PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3087, 07 décembre 2018, pp. 14-15.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Dépendance, Personne âgée, Prise en charge, Financement, Établissement social et médicosocial, Prestation sociale, Autonomie
Structurer l’offre autour du domicile, individualiser les propositions de prise en charge, réformer le financement, laisser un reste à charge aux personnes âgées qui en ont les moyens, tenir compte du patrimoine pour évaluer l’aide… Dans la perspective de la réforme de la dépendance, le Synerpa a présenté ses propositions.
Dans la psychose, l'âge amène des modifications de l'expression clinique, tout en conservant le "noyau dur" des pathologies. Alors que, dès 60 ans, la plupart des psychotiques vieillissants sont orientés en Ehpad, quels sont leurs besoins spécifiques ? Comment faire cohabiter ces "jeunes" patients avec des résidents de plus de 85 ans, très dépendants physiquement et psychiquement ? Quels partenariats les équipes de psychiatrie peuvent-elles mettre en place avec les Ehpad ? Souvent oubliés des politiques publiques, ces patients bénéficient encore trop rarement de prises en charge cohérentes et adaptées.
Article de Catherine Martineau, Laurence Pineau, Jean Pierre Bouchard, Sophie Gromb Monnoyeur
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 131, mai-juin 2018, pp. 34-40.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Prison, Détenu, Prise en charge, Soin, Personne âgée, Vieillissement, Équipe soignante, Dépendance, Handicap, Législation, Loi
La population carcérale vieillit. Les soignants doivent exercer dans un milieu peu adapté à la prise en charge des détenus âgés. La loi du 18 janvier 1994 relative à la santé publique et à la protection sociale, a profondément modifié la prise en charge sanitaire des personnes incarcérées. Le guide méthodologique relatif à leur prise en charge constitue une aide précieuse à son application. Depuis, diverses lois ont modifié le Code de procédure pénale, permettant de mieux prendre en compte l’état de santé des personnes incarcérées en général et des détenus âgés en particulier.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3060, 11 mai 2018, pp. 22-24.
Mots clés : Action sociale : histoire et perspectives, Personne âgée, Vieillissement, Approche historique, Dépendance, Prise en charge
Nous poursuivons notre exploration de la mutation sociale qui a marqué le pays depuis Mai 68. Aujourd’hui, c’est l’évolution démographique qui retient notre attention. En cinquante ans, nous sommes passés du « jeunisme » au « papysme ». En 1968, la vieillesse n’existait pas, si l’on peut dire. L’espérance de vie ne dépassait pas tellement l’âge de la retraite et donc ne se posaient ni le problème de financement, ni celui de prise en charge, la mort intervenant avant l’apparition des stigmates de la dépendance. Cette évolution a été lente mais continue, au point que le vieillissement de la population est devenu un problème central de la société. Comment celle-ci s’est-elle adaptée, ou non, à ce choc du papy-boom ?
Paru dans la revue Direction(s), n° 164, mai 2018, pp. 18-20.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Dépendance, Personne âgée, Sécurité sociale, Vieillissement, Prise en charge, Financement, Gérontologie, Établissement social et médicosocial
Le 15 avril 2018, Emmanuel Macron a annoncé vouloir construire un cinquième risque de Sécurité sociale. Pour faire face à la crise dans le champ des personnes âgées, la feuille de route d'Agnès Buzyn, attendue fin avril 2018, répondra-t-elle aux enjeux ? Pour Gilles Duthil, économiste spécialiste du vieillissement, c'est l'occasion de transformer le système de prise en charge en centralisant le financement de la dépendance.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3053, 23 mars 2018, p. 25.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Dépendance, Prise en charge, Personne âgée, Qualité, Aide à domicile, DOM-TOM, Martinique
Directrice de l’association Lakansyel, créée en 1999 et conventionnée par la caisse des retraites, qui propose des services à la personne aux seniors autonomes, Yola François-Lubin dénonce l’anarchie régnant sur l’île dans le domaine des services à domicile, avec des intervenants proposant des prestations low cost et ne répondant pas aux critères de qualité légaux.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3053, 23 mars 2018, pp. 22-24.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Dépendance, Prise en charge, DOM-TOM, Aide à domicile, Évaluation, Martinique
Les jeunes générations s’exilant massivement vers la métropole, la Martinique est le département le plus vieux de France, ce qui remet en cause le modèle familial de prise en charge des personnes âgées et handicapées. De ce fait, le nombre de places en institution est faible et ne peut pas répondre à la nouvelle demande qui apparaît. Explication d’une crise sous les tropiques.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3051, 9 mars 2018, pp. 7 et 9.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Besoin, Prise en charge, Hébergement, Autonomie, EHPAD, Dépendance
Pour la déléguée générale du Syndicat national des établissements et résidences privés pour personnes âgées (Synerpa), le développement des structures intermédiaires est une évolution indispensable pour répondre aux nouveaux besoins de prise en charge.
Paru dans la revue Dialogue, n° 216, juin 2017, pp. 67-80.
Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Dépendance, Économie, Santé, Famille, Personne âgée, Aidant familial, Prise en charge
La mise en évidence de l’importance de l’aide informelle a conduit au développement de travaux économiques visant à mieux comprendre les déterminants, conséquences et mécanismes socioéconomiques de la mobilisation familiale. Un premier axe d’analyse s’inscrit au niveau individuel et familial et vise à mieux comprendre les comportements d’aide. Il met en lumière l’importance de la dimension familiale encadrant les comportements individuels et les coûts indirects de l’aide informelle. Un deuxième axe s’inscrit au niveau collectif et s’interroge sur la place de l’aide informelle dans notre système de protection sociale, à côté des solidarités publiques et de la prévoyance individuelle. Si l’effet d’éviction des solidarités familiales par les solidarités publiques semble très limité, l’effet d’éviction de la demande d’assurance dépendance par l’aide informelle semble plus important.