PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Vie sociale et traitements VST, n° 146, 2e trimestre 2020, pp. 73-77.
Mots clés : Travail social : Formation, Formation professionnelle continue, Travailleur social, Résistance, Éthique, Déontologie, Valeur sociale, Approche clinique, Transmission, Organisme de formation, Compte personnel de formation, Compte personnel d'activité
À travers l’exemple d’un centre de formation continue, l’auteur fait apparaître le démantèlement de la transmission des métiers du travail social, mais aussi du droit à se former pour les professionnels. Comment faire pour résister et continuer à donner sens à la clinique au-delà des normes gestionnaires ?
Paru dans la revue Lien social, n° 1272, 28 avril au 11 mai 2020, pp. 12-13.
Mots clés : Travail social : Formation, Enseignement à distance, Travailleur social, Formation professionnelle, Organisme de formation
Stages annulés, fermeture des établissements, mobilisation des étudiants pour renforcer les équipes en difficulté et... continuité de la formation. Les centres de formation en travail social jonglent avec les injonctions paradoxales pour poursuivre leur mission.
Paru dans la revue Vie sociale et traitements VST, n° 145, 1er trimestre 2020, pp. 104-112.
Mots clés : Travail social : Formation, Transfert, Relation éducative, Pratique professionnelle, Organisme de formation, Travail social
À partir de deux vignettes – choisies pour la diversité des publics, problématiques et modalités éducatives qu’elles engagent –, cet article tente de rendre compte de la manière dont un dispositif d’analyse de la pratique professionnelle en centre de formation en travail social contribue, à partir de l’élaboration des affects convoqués dans une relation éducative opérant sous transfert, à la construction d’une identité professionnelle et d’une posture clinique respectueuses de la singularité du sujet. Loin de la technicisation actuelle du travail social, il souligne l’efficace d’un espace d’accueil et, partant, d’élaboration, de ce que la rencontre humaine produit inéluctablement d’inouï, d’insu, d’embarras.
Article de Véronique Bourrel, Marie Canali, Virginie Lozet, et al.
Paru dans la revue Empan, n° 115, septembre 2019, pp. 133-140.
Mots clés : Travail social : Formation, Professionnalisation, Identité professionnelle, Écrit professionnel, Insertion sociale, Insertion professionnelle, Handicap, Surveillant de nuit, Partenariat, Organisme de formation, Université, Diplôme, Travailleur social, Recherche
Cet article se propose de présenter les travaux de recherche en sciences de l’éducation de trois formateurs de l’Institut Saint-Simon : le premier s’interroge sur l’impact des écrits pédagogiques demandés aux stagiaires dans leur processus de professionnalisation. Le deuxième souhaite aborder la question de l’inclusion sociale et professionnelle de personnes en situation de handicap. Le troisième aborde la question de l’identité professionnelle des surveillants de nuit et leur rapport à la formation.
Paru dans la revue Empan, n° 109, mars 2018, pp. 90-93.
Mots clés : Travail social : Formation, Professionnalisation, Travail social, Formation alternée, Réforme, Stage, Organisme de formation, Compétence professionnelle, Pédagogie
Étudier les modalités de professionnalisation à l’œuvre dans les établissements de formation en travail social, tel a été l’objet d’un groupe de travail national Unaforis. Cet article en présente les travaux. À l’heure des réformes des formations, repérer les critères pédagogiques permettant d’approcher un réel processus d’acquisition de compétences pour les futurs travailleurs sociaux permet de renouveler nos représentations de l’alternance intégrative.
Paru dans la revue Le Sociographe, hors-série n° 9, décembre 2016, pp. 203-214.
Mots clés : Travail social : Formation, Coopération internationale, Organisme de formation, Identité professionnelle, Apprentissage, Approche systémique, France, Suisse, Allemagne
La coopération RECOS réunie des hautes écoles du travail social des trois pays du Rhin supérieur (Allemagne, France, Suisse) situées à Bâle, à Freiburg, à Mulhouse et à Strasbourg. L’article constitue une présentation sur la base d’un récit d’expérience structuré méthodologiquement par quelques éléments de la théorie systémique. L’auteur ayant eu différents rôles en lien avec la coopération, son regard sur l’objet est celui d’un proche sans objectivité revendiquée.
Paru dans la revue Sociétés et jeunesses en difficulté, n° 16, printemps 2016.
Mots clés : Travail social : Formation, Organisme de formation, CEF, Enquête, Professionnalisation, Travailleur social, Recherche, Recherche sociale, Pratique professionnelle, Formation
Le présent article porte sur l’expérience d’une recherche pilotée au sein d’un institut de formation en travail social et interroge ce que faire de la recherche dans un tel contexte veut dire. Pour ce faire, le propos développé se fonde sur une enquête ethnographique en Centres éducatifs fermés, menée sur deux ans par un collectif composé de chercheurs disciplinaires et de formateurs professionnels. Les éclairages visés portent autant sur la manière concrète dont s’est structuré et organisé le programme (démarche et méthode) que sur les enjeux que pose ce type de démarche en termes d’utilité scientifique et d’usages sociaux, notamment dans les apports de connaissances qui peuvent servir la formation et la professionnalisation des travailleurs sociaux.
Paru dans la revue Sociétés et jeunesses en difficulté, n° 16, printemps 2016.
Mots clés : Travail social : Formation, Action sociale : histoire et perspectives, Recherche sociale, Définition, Formation, Travail social, Organisme de formation, Coopération
Paru dans la revue Sociétés et jeunesses en difficulté, n° 16, printemps 2016.
Mots clés : Travail social : Formation, Travail social, Intervention sociale, Formation, Épistémologie, Identité professionnelle, Université, Organisme de formation, Recherche sociale, Norme, Pratique professionnelle
Depuis 2008, la création conjointe de l’UNAFORIS (Union nationale des associations de formation et de recherche en intervention sociale) et des PREFAS (Pôles de recherche et d’étude pour la formation et l’action sociale), a engendré d’importants enjeux politiques, institutionnels et épistémologiques, qui ont en commun l’intégration de la norme scientifique au cœur des écoles professionnelles du travail social. Dans le sillage du projet des HEPASS (Hautes écoles professionnelles pour l’action sociale et de santé), les normes et les activités de l’enseignement supérieur (ECTS- European credits transfer system), LMD (Licence, master, doctorat) et une activité de recherche, s’intègrent progressivement à l’appareil de formation professionnelle du travail social. Ce processus « d’académisation » génère un mouvement délicat de négociation entre normalisation scientifique et différenciation universitaire, selon la culture d’autonomie de ces écoles de formation professionnelle. Ce processus multidimensionnel génère des enjeux complexes pour les acteurs concernés. Nous proposons de distinguer les différentes dimensions qui s’entremêlent dans la réalité, pour mieux les décrire et les analyser. L’objectif de ce propos est de réduire le risque de confusion des registres qui est préjudiciable à la construction d’une communauté de chercheurs réunie autour d’une « scientifisation » susceptible de soutenir les pratiques professionnelles du travail social.
Paru dans la revue Pensée plurielle, n° 43, 2016, pp. 67-83.
Mots clés : Travail social : Formation, Partenariat, Université, Organisme de formation, Économie sociale et solidaire, Diplôme, Travail social, DEIS, Pédagogie, Identité, Travailleur social
Un partenariat récent entre l’Université de Haute-Alsace et les centres de formation au travail social de Strasbourg (ESTES) et Mulhouse (ISSM) a pour but de préparer à un double diplôme : le Master « Ingénierie de projet en économie sociale et solidaire » et le « Diplôme d’État en intervention sociale ». Ce partenariat émerge dans le contexte de la crise d’identité des travailleurs sociaux et de leurs interrogations sur leur place et leur rôle dans les politiques nouvelles, notamment le Développement social urbain. Pratiquant une participation observante et réflexive, les auteurs analysent les tensions dans le partenariat entre étudiants, universitaires et formateurs (non-universitaires) en travail social, et aussi avec leurs partenaires locaux. Leur résolution passe par des transactions sociales qui aboutissent à des compromis acceptables et à des synergies. Cette formation a besoin de s’élargir à de nouveaux terrains (le monde rural) et de s’internationaliser encore davantage.