PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3088, 14 décembre 2018, pp. 34-35.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Maladie d'Alzheimer, Prévention, Technologie numérique, Stimulation, Cognition, Activité, Prévention sanitaire
ExoStim est une application d’entraînement cérébral qui vise à exercer de manière ludique son cerveau avec diverses activités permettant de cibler et de stimuler avec précisions certaines fonctions cognitives. Disponible aussi bien à domicile qu’en établissement, l’application permet de créer un profil cognitif sur-mesure.
Article de Antoine Leblanc, Romain Dugravier, Betty Azocar, et al.
Paru dans la revue Enfances & psy, n° 77, janvier-mars 2018, pp. 6-117.
Mots clés : Santé-Santé publique, Accompagnement de la personne et identité, Prévention, Santé publique, Bien-être, Prévention sanitaire, Conduite à risque, Soutien à la parentalité, Éducation familiale, Carnet de santé, Protection de l'enfance, Besoin, Évaluation, Assistance éducative, Planning familial, Sexualité, Psychiatrie, Périnatalité, Attachement, PMI, Supervision, Scolarisation, Trouble du comportement, Adolescent
Les médecins seraient, pour l’essentiel, formés à décrire la sémiologie et à diagnostiquer des pathologies afin de choisir le traitement le plus approprié. Mais la frontière entre le normal et la pathologique est parfois ténue et la notion de santé, selon l’OMS, est beaucoup plus large. Être en bonne santé ne se résume plus à l’absence de pathologie mais repose sur « un bien-être physique, psychique et social ». Pour cela, il est nécessaire de modifier les paradigmes qui régissent la formation et l’approche du soin et de passer d’une logique de médecine curative à une logique de médecine préventive. Ce numéro a pour objectif d’évaluer les enjeux de la prévention en termes de santé publique et d’économie de la santé, mais aussi de discuter de ses aspects historique et sociologique et du passage d’une pratique basée sur la demande de soin à une démarche consistant à aller vers les sujets les plus vulnérables. Parmi les nombreux dispositifs existant, ont été choisis ceux qui paraissent emblématiques de ces approches. Reste à discuter de la manière de mesurer l’efficacité et les limites des mesures de prévention et donc d’orienter les choix futurs de notre société.
Article de Gladys Lutz, Laurence Arguillère, Caroline Barbaste, et al.
Paru dans la revue Psychotropes, vol. 24, n° 3-4, 2018, pp. 57-82.
Mots clés : Toxicomanie-Addictions, Addiction, Drogue, Psychotrope, Consommation, Prévention, Prévention sanitaire, Travail
Les conduites addictives s’imposent comme une question de santé au travail. Dans ce cadre, nous posons deux constats. D’une part, les consommations de psychotropes sont conjointement des facteurs et des symptômes de risques professionnels à évaluer. D’autre part, les pratiques de prévention ignorent cette investigation et se focalisent sur une amélioration a priori des savoirs et des conduites. Nous défendons l’idée que pour respecter leur obligation de moyens renforcés en santé et sécurité, les dirigeants doivent créer les conditions de mobiliser leurs savoirs d’expériences et ceux des salariés pour comprendre et améliorer les interrelations entre leur travail et leurs usages de médicaments, d’alcool ou de drogues. Il s’agit d’ouvrir, ou de renforcer, des espaces de discussion sur le travail qui permettent d’éclairer les stratégies de santé, les fonctions professionnelles des usages de psychotropes et leurs régulations dans le travail.
Paru dans la revue La Gazette santé social, n° 147, janvier 2018, pp. 15-22.
Mots clés : Enfance en danger-Protection de l’enfance, Protection de l'enfance, PMI, Information préoccupante, Législation, Loi, Aide alimentaire, Prévention, Prévention sanitaire
Instituée à la Libération pour lutter contre la morbidité infantile et périnatale, la protection maternelle et infantile (PMI) a progressivement vu ses missions étendues au-delà de la sphère sanitaire. Malgré la vocation universaliste du service, ses interventions tendent à être ciblées sur les publics les plus fragiles et doivent s'articuler avec les missions relevant de la protection de l'enfance sur lesquelles la PMI est de plus en plus mobilisée. Cette évolution est généralement perçue comme un éloignement, voire un abandon, de ses missions originelles. De par sa dualité santé/social et sa culture du partenariat, la PMI dispose cependant d'atouts majeurs pour constituer le pivot des démarches préventives.
La seule publication, en janvier 2017, des nouveaux repères nutritionnels de l'Anses en lieu et place du quatrième volet du Programme national nutrition santé (PNNS) interroge sur l'éventuelle disparition de ce texte majeur de la politique de santé publique. Bien que mis à mal par des polémiques récentes sur sa normativité, le PNNS a toutefois conduit à des modifications importantes des comportements alimentaires et ainsi participé au recul de l'obésité en France.
Article de André TRILLARD, Françoise FORETTE, Jean François TOUSSAINT, Geneviève IMBERTet al.
Paru dans la revue Gérontologie et société, 283 p..
Mots clés : Vieillissement, Personne âgée, Dépendance, Prévention, Autonomie, Risque, Politique, Environnement, Observatoire, Maintien à domicile, Adaptation, Logement, Habitat, Prévention sanitaire, Dent, Maladie d'Alzheimer, Maladie, Maladie cardiovasculaire, Accompagnement, Inégalité, Expérimentation, Technologie de l'information et de la communication, ARS, ECONOMIE DE LA SANTE, PRIF, PREVENTION RETRAITE ILE DE FRANCE, MAIA, MAISON POUR L'AUTONOMIE ET L'INTEGRATION DES MALADES D'ALZHEIMER, AG2R LA MONDIALE, FRANCE, QUEBEC