PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Actualité et dossier en santé publique, n° 98, mars 2017, pp. 11-54.
Mots clés : Santé-Santé publique, Épidémie, Bilan, Épidémiologie, Prise en charge, Pays émergent, OMS, Établissement de santé, Recherche clinique, Recherche médicale, Traitement médical, Armée, ONG, Guinée, Sierra Leone, Libéria, Afrique occidentale, France
Article de Olivier Morenon, Marie Anaut, Bernard Michallet
Paru dans la revue Education permanente, n° 210, janvier-mars 2017, pp. 169-176.
Mots clés : Travail-Emploi, Santé-Santé publique, Formation, Infirmier, Analyse de la pratique, Résilience, Formation alternée, Usure professionnelle, Stress
Cet article fait état d'une recherche qui s'appuie sur une enquête auprès d'étudiants et de professionnels à propos d'un supposé processus de résilience chez l'étudiant infirmier vulnérabilisé durant sa formation. L'article propose de montrer en quoi l'analyse de la pratique professionnelle peut être considérée comme un outil pédagogique favorisant la résilience.
Article de Marianne Berthod Wurmser, Frédéric Bousquet, Renaud Legal
Paru dans la revue Revue française des affaires sociales, n° 1, janvier-mars 2017, pp. 7-195.
Mots clés : Santé-Santé publique, Santé, EHPAD, Prise en charge, Législation, Consentement, Personne âgée, Accompagnement, Éthique, Soin, Projet individualisé, Relation d'aide, Dépendance, Formation, Médecin, Médiation, Droits des usagers, Hôpital, Démocratie, Cancer, Accès aux soins, Relation soignant-soigné, Belgique
Le numéro de janvier-mars 2017 de la Revue française des affaires sociales comprend tout d'abord un dossier sur "Le patient et le système de santé", coordonné par Marianne Berthod-Wurmser, Frédéric Bousquet et Renaud Legal. L'appel à contribution proposait trois axes de réflexion : la prise en compte de la personne qu'est le patient par les institutions et les professionnels de santé ; l'évolution des compétences, comportements, attitudes, attentes et obligation des patients ; la démocratie sanitaire et la place des usagers dans le fonctionnement du système de santé. Quatre articles ont été sélectionnés. Ils sont suivis de plusieurs éléments. D'une part, des contributions qui visent à définir les notions de patient-centredness et de person-centredness (Observatoire européen des systèmes et politiques de santé), à proposer un tour d'horizon international de la participation des usagers aux systèmes de santé et à approfondir la politique britannique d'implication des patients et du public (Véronique Ghadi et Frédéric Bousquet). D'autre part, trois entretiens ont été réalisés auprès de Didier Tabuteau, de Claire Compagnon et de l'association Renaloo. Puis, après une présentation des Plancs cancer est évoquée la place des patients dans les parcours de prise en charge de cette maladie. Enfin, une revue de littérature développe le thème de l'accès aux soins.
Paru dans la revue Empan, n° 105, mars 2017, pp. 88-95.
Mots clés : Travail-Emploi, Santé-Santé publique, Hôpital, Urgence, Gestion, Motivation, Management, Organisation du travail, Travail social, Implication personnelle, Paris
À partir du récit de la nuit du 13 novembre 2015 à l’hôpital Saint-Antoine à Paris, proche du Bataclan, l’auteur étudie le comportement du personnel hospitalier, pris dans la tourmente d’événements exceptionnels. La gravité de la situation va les obliger à s’adapter très rapidement ; les principes de hiérarchie et d’organisation se verront radicalement modifiés. L’auteur en tire des réflexions actuelles sur les orientations managériales à l’hôpital, puis par extension sur les évolutions du travail social, alimentées par les travaux récents de deux sociologues. Pour l’idéologie managériale, la grande inconnue est précisément la « merveille » qui s’est produite à Saint-Antoine et qui a pu enfin se libérer : la capacité des professionnels d’aimer leur travail et de s’y investir en pleine capacité.
Paru dans la revue Le Journal des psychologues, n° 344, février 2017, pp. 67-71.
Mots clés : Santé-Santé publique, Santé mentale-Souffrance psychique, Représentation sociale, Thérapie de groupe, Institution, Hospitalisation, Lien social, Média, Socialisation, Communication, Groupe de parole
Paru dans la revue Les Politiques sociales, 76ème année, n° 3 & 4, décembre 2016, pp. 65-75.
Mots clés : Immigration-Interculturalité, Santé-Santé publique, Relation soignant-soigné, Interculturel, Accès aux soins, Formation
Pour répondre aux difficultés que les soignants rapportent dans la prise en charge de patients culturellement différents d’eux et à l’impact de ces difficultés sur les inégalités en matière de santé, diverses institutions nationales et internationales ont élaboré des recommandations visant à renforcer leurs compétences interculturelles. Cet article présente brièvement ce contexte ainsi que les enjeux autour de la formation de base ; il contribue à la démarche interculturelle dans le milieu des soins.
Article de Endo Véronica, Grondin Valérie, Langlamet Catherine, et al.
Paru dans la revue Art et thérapie, n° 120/121, décembre 2016, 92 p..
Mots clés : Santé-Santé publique, Fin de vie, Accompagnement de fin de vie, Soins palliatifs, Maladie, Art-thérapie, Danse, Dessin, Peinture, Temps, Silence, Imaginaire, Écriture
Article de Isabelle Lambotte, Véronique Delvenne, Lotta de Coster, et al.
Paru dans la revue La Psychiatrie de l'enfant, vol. LIX, n° 2, juin-décembre 2016, pp. 617-627.
Mots clés : Enfance-Famille, Santé-Santé publique, Enfant, Maladie, Psychologue, Hospitalisation
Le travail du psychologue de liaison avec l’enfant malade hospitalisé est de rendre possible un dégagement et une transformation des traumatismes psychiques potentiels, créés par le contexte de la maladie (annonce de diagnostics graves, séparation, douleurs, angoisses de mort, etc.), et de faciliter l’émergence du processus psychique d’appropriation subjective. Il s’agit d’inscrire le travail du clinicien dans une dimension transitionnelle à différents niveaux. D’abord, en accompagnant l’enfant, les parents, la fratrie, le soignant dans le cadre hospitalier, puis en installant les conditions « suffisamment bonnes » favorables à l’appropriation subjective de la maladie par l’enfant et son entourage, dans un travail de symbolisation, de contenance et de créativité.