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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Les personnes âgées et leur dignité aux urgences

Article de Audrey Ripoche

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 144, juillet-août 2020, pp. 44-46.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Autonomie, Bientraitance, Communication, Dignité, Étude de cas, Hôpital, Personne âgée, Prise en charge, Qualité, Recherche, Soin, Tolérance, Urgence médicale, Vieillissement

Le besoin fondamental d’humanité dans les soins est la première requête des personnes âgées, car son absence menace, voire atteint, leur dignité à certains moments de leur prise en charge. Aux urgences, il faut ainsi lutter notamment contre l’âgisme, le manque de communication et d’information qui altèrent la qualité des soins.

Vieillissement, stéréotypes et implications

Article de Joël Belmin

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 144, juillet-août 2020, pp. 34-37.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Communication, Discrimination, Implication personnelle, Langage, Personne âgée, Recherche, Relation, Représentation sociale, Soin, Stigmatisation, Vieillissement

Les personnes âgées sont souvent victimes de stéréotypes qui ont des conséquences préjudiciables, l’âgisme, avec ses attitudes négatives et discriminatoires du seul fait de l’âge. Il est essentiel de savoir communiquer avec justesse dans le respect de la personne âgée et avec bienveillance. Les mots utilisés sont des composants importants de la relation de soin. La société tout entière doit agir sur elle-même et sur son langage afin de lutter contre l’âgisme et devenir plus inclusive.

Respect de l'intimité du patient

Article de Stéphane Grazzini, Adèle de Malherbe

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 144, juillet-août 2020, pp. 29-31.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Aide technique, Consentement, Corps, Dignité, Hygiène, Innovation, Intimité, Personne âgée, Pratique professionnelle, Pudeur, Relation soignant-soigné, Responsabilité, Sexualité, Soin, Technologie numérique, Vieillissement, Vulnérabilité

Les soignants sont responsables du respect de l’intimité des patients âgés, plus vulnérables. Cela nécessite une réflexion professionnelle individuelle et collective sur le sens des pratiques. Il s’agit également de respecter le libre choix de mode de vie en prenant en compte les besoins des proches aidants.

Sexualité et soins aux personnes hospitalisées en unité cognitivo-comportementale

Article de Pascal Saidlitz, Camille Cransac

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 144, juillet-août 2020, pp. 17-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Déficience cognitive, Dignité, Éthique, Hospitalisation, Intimité, Personne âgée, Prise en charge, Pudeur, Trouble de la sexualité, Sexualité, Soin, Soutien psychologique, Traitement médical, Vieillissement

Évoquer la sexualité des personnes âgées reste un tabou dans notre société. Pour autant, le soin apporté en unité cognitivo-comportementale aux personnes atteintes de troubles neurocognitifs majeurs peut amener les professionnels de santé à être confrontés à la sexualité des patients. Différents éléments permettent de distinguer les troubles du comportement sexuel, y compris la capacité de la personne âgée à consentir à la sexualité, ainsi que les éléments utiles à la prise en soins de ces comportements sexuels inappropriés.

Pudeur, intimité, sexualité et soins

Article de Tristan Cudennec, Philippe Thomas, Camille Cransac, Fany Cérèseet al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 144, juillet-août 2020, pp. 11-32.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Bien-être, Dignité, EHPAD, Éthique, Hospitalisation, Intimité, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prise en charge, Pudeur, Relation soignant-soigné, Sexualité, Sida, Soin, Stigmatisation, Vieillissement, Vie quotidienne

Communiquer malgré tout

Article de Alexandra Marquet, Pierre Moyon, Stella Choque, et al.

Paru dans la revue Doc'Accompagnement, n° 28, juillet-août 2020, pp. 7-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Communication, Communication non-verbale, Personne âgée, Personne handicapée, EHPAD, Foyer d'accueil médicalisé, Aphasie, Maladie d'Alzheimer, Langage, Parole, Soin, Équipe soignante, Adaptation, Animation, Bientraitance, Corps, Observation, Outil, Vulnérabilité, Langue des signes, Pictogramme, PECS (Méthode), MAKATON (Programme)

Communiquer ne se résume pas au fait d'échanger des mots et à avoir une discussion. Les professionnels travaillant en EHPAD ou en foyers pour personnes en situation de handicap en sont d'ailleurs pleinement conscients. Au quotidien, ils accompagnent des usagers souffrant de troubles du spectre autistique, de déficiences intellectuelles, de troubles psychiatriques ou encore de maladies neurodégénératives. Les exemples sont nombreux. Les équipes doivent donc apprendre à communiquer autrement avec des usagers dont la compréhension peut être altérée. Certains ne parlent pas, quand d'autres ne s'expriment que par des sons ou des syllabes. Comment décrypter ? La formation initiale ne donne pas de clefs à chaque situation. Et pourtant, l'accompagnement ne sera de qualité que si les professionnels parviennent à entrer en communication avec les personnes aidées. Il s'agira alors de comprendre pourquoi untel adopte un comportement d'opposition, devient violent ou se replie sur soi. L'enjeu est d'apporter une autonomie dans la communication et de s'appuyer sur une communication alternative. Les solutions techniques ne manquent pas, que ce soit PECS, Makaton, LSF, bébé signé, Animate, autant de méthodes qui ont fait leurs preuves sur le terrain. Ces outils sont évidemment utiles, mais ils ne suffisent pas. Le professionnel va devoir observer, écouter et surtout décoder. Il va devoir associer la parole au geste pour se faire comprendre. Avoir une attitude bienveillante, se mettre à la bonne hauteur, à la bonne distance, ne pas détourner le regard mais au contraire soutenir ce regard quand l'échange se complique. Autant de paramètres qu'il lui faudra prendre en compte pour que la personne, certes vulnérable, puisse se faire comprendre et demeure actrice de son quotidien en établissement.

Jardins thérapeutiques : la nature soigne et apaise

Article de Maxime Ricard, Kevin Charras

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3171-3172, 31 juillet 2020, pp. 14-16.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Jardinage, Lien social, EHPAD, Handicap, Milieu naturel, Soin, Établissement social et médicosocial, Haute Gironde

Dossier composé de trois articles :
Jardins thérapeutiques : la nature soigne et apaise
« Il n’y a pas de recette particulière pour élaborer un jardin »
Oréda : la biodiversité au soutien d’une association de maintien à domicile

Temps et qualité incompatibles ?

Article de Alexandra Marquet, Pierre Moyon, Marcel Nuss, et al.

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 58, mai-juillet 2020, pp. 7-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Handicap-Situations de handicap, Temps, Qualité, Rythme, Aide à domicile, Maintien à domicile, Accompagnement, Personne âgée, Personne handicapée, Dépendance, Autonomie, Handicap, Vieillissement, Soin

Surveiller sa montre et accélérer la cadence. C'est malheureusement le quotidien des aides à domiciles, que ce soit en zone rurale ou au cœur des grandes métropoles... Quand le temps file et les interventions s'enchaînent, difficile de proposer un accompagnement qualitatif. Difficile certes, mais pas impossible. Les professionnels de terrain savent pertinemment que leur posture, attitude, écoute, observation peuvent faire la différence pour mieux comprendre la requête d'une personne qui ne peut plus s'exprimer, savoir exactement quel geste nécessitera plus ou moins d'efforts. La connaissance de l'usager, les formations, le savoir-être et le savoir-faire sont heureusement autant d'outils dont disposent les aides à domicile... Car force est de constater que le système mis en place ne joue pas en leur faveur. A l'heure où le minutage de chaque soin est une réalité, où la morcellisation des actes s'est démocratisée, les accompagnements nécessitent paradoxalement de plus en plus de temps avec une population en perte d'autonomie qui vieillit à domicile et des personnes en situation de handicap qui choisissent de rester chez elles pour ne pas être institutionnalisées. La logique du financement ou de l'accompagnement ? C'est une question qui va se poser. La prochaine loi Grand Age et Autonomie permettra-t-elle de passer de la gestion de la dépendance au soutien à l'autonomie ? C'est en tout cas la volonté des professionnels et des personnes accompagnées qui souhaitent rester le plus longtemps actrices de leur quotidien. Encore faut-il le pouvoir, pouvoir avoir le temps de se lever, de se laver, de s'habiller, de manger ou encore d'échanger... sans subir une course contre la montre perpétuelle.

Supplémentation ferrique par voie intraveineuse chez le patient âgé

Article de Flora Ketz, Anne Buisson, Eric Pautas, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 143, mai-juin 2020, pp. 44-46.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Équipe pluridisciplinaire, Équipe soignante, Gériatrie, Maladie, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prise en charge, Santé, Soin, Symptôme, Traitement médical, Vieillissement

La carence martiale, absolue ou fonctionnelle, est une problématique très fréquente chez le sujet âgé, avec une indication à la supplémenter. Que ce soit pour des problèmes d’absorption ou de tolérance, la voie intraveineuse est à privilégier, notamment chez le sujet âgé. Selon la molécule choisie, les modes d’administration, la dilution, la dose ou le rythme varient. Le risque majeur de la voie parentérale est l’anaphylaxie, d’où l’obligation d’une administration hospitalière, bien qu’il apparaisse comme très peu fréquent.

Intervention sur la pratique des recommandations de thromboprophylaxie veineuse

Article de Hind Benzengli, Richard Tuligenga, Marie Thérèse Rabus, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 143, mai-juin 2020, pp. 39-43.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Équipe pluridisciplinaire, Équipe soignante, Gériatrie, Hospitalisation, Maladie, Méthodologie, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prévention, Prise en charge, Recherche, Soin, Statistiques, Traitement médical, Vieillissement

La pratique de prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez le sujet âgé hospitalisé n’est pas conforme aux recommandations publiées, dans 30 % des cas. L’objectif d’un travail mené était d’évaluer l’impact du rappel des recommandations sur la thromboprophylaxie veineuse.