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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Entendre et accompagner l’enfant victime de violences

Paru dans la revue Journal du droit des jeunes, n° 350, décembre 2015, pp. 38-39.

Mots clés : Enfance en danger-Protection de l’enfance, Enfant maltraité, Protection de l'enfance, Accompagnement, Parole, Violence, Victime

Le guide « Entendre et accompagner l’enfant victime de violences » paru en décembre 2015 et conçu par l’Organisation internationale de la Francophonie part du constat que la qualité de l’écoute accordée à un enfant victime de violence conditionne sa capacité à se (re)construire.

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Prévenir la délinquance juvénile par l’éducation au droit et la Justice pénale de proximité : « En attendant Godot... »

Article de Marie Martine Bernard

Paru dans la revue Journal du droit des jeunes, n° 350, décembre 2015, pp. 18-24.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Éducation, Droit, Parents, École, Justice des mineurs, Justice de proximité, Délinquance juvénile, Prévention de la délinquance

La prévention de la délinquance juvénile renvoie généralement à la prééminence du rôle des parents sur l’effectivité ou, au contraire, sur les défaillances de cette prévention. Relevant de la sphère privée et intime de la famille , l’éducation parentale constitue en effet un enjeu majeur dans la prévention de la délinquance potentielle des enfants qu’elle entend protéger de « la séduction d’un monde dangereux »
Elle s’avère être une tâche d’une ampleur considérable mise à la charge des parents assignés à donner au quotidien à leur enfant, le « mode d’emploi de la vie », des relations sociales par une adaptation et un apprentissage primaires commençant dans et avec la famille, dont on a dit qu’elle « sera toujours la base de la société » 

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Même l’ONU manque à son devoir de protéger. A propos des abus sexuels qui auraient été commis par des soldats français en Centrafrique

Article de Philip D. Jaffe, Jean Zermatten, Benoît Van Keirsblick

Paru dans la revue Journal du droit des jeunes, n° 350, décembre 2015, pp. 7-8.

Mots clés : Enfance en danger-Protection de l’enfance, Enfant maltraité, Protection de l'enfance, Abus sexuel, Armée, Afrique

La mise en œuvre des droits de l’enfant trébuche au cœur même du système onusien, l’organisation chargée de la promotion des droits humains et de la protection à travers le monde des personnes vulnérables, en particulier des enfants.
La lecture du rapport d’enquête indépendant sur les violences et abus sexuels commis par des troupes françaises opérant sous autorisation onusienne en République centrafricaine montre que l’ONU n’a pas su réagir aux accusations d’abus sexuels commis par des soldats appartenant aux troupes Sangaris de maintien de la paix. L’ONU n’a pas fait mieux que l’Église catholique face à ses prêtres pédophiles !

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Déchéance : à propos du projet de révision constitutionnelle concernant les binationaux condamnés pour terrorisme - Du sentiment renforcé d’être différent

Article de Jean Luc Rongé

Paru dans la revue Journal du droit des jeunes, n° 350, décembre 2015, pp. 9-17.

Mots clés : Justice-Délinquance, Terrorisme, Législation, Réforme, Nationalité, Guerre

Le premier ministre justifie le projet de loi de révision constitutionnelle relatif à l’état d’urgence et la déchéance de nationalité des « binationaux » condamnés pour des « actes de terrorisme » par la formule « Nous sommes en guerre ». S’il est vrai que la France est en guerre sur des théâtres extérieurs (Mali, Syrie, Irak...), le « front intérieur » est, lui, sous la menace « d’actes de guerre » commis par des individus se réclamant de telle ou telle mouvance « islamiste radicale et guerrière ».
Avant d’aborder la question de la »binationalité » pouvant justifier la déchéance de la nationalité française et les conséquences pouvant affecter plus de trois millions de citoyens, il convient d’examiner le texte qui devrait être soumis aux deux chambres du Parlement avant d’être soumis à l’approbation du Congrès rassemblant députés et sénateurs aux trois cinquièmes de leurs voix.

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Démocratiser les relations éducatives - « Bonnes feuilles »

Article de Frédéric Jesu, Jean Le Gal

Paru dans la revue Journal du droit des jeunes, n° 350, décembre 2015, pp. 25-37.

Mots clés : Ecole-Enseignement, Enfance-Famille, Enfance en danger-Protection de l’enfance, Relation éducative, Famille, Participation, Parole, Société, École, Droits de l'enfant

L’apprentissage du droit - et notamment des droits de l’enfant - ne serait que pure illusion s’il ne se développait pas dans un environnement démocratique. Au pire, on pourrait soupçonner que la connaissance par les plus jeunes de la Convention des droits de l’enfant (CIDE) puisse mener à la déconsidération des institutions destinées à les accueillir... et les éduquer. La limpidité du texte de la CIDE pourrait aussi inciter à des révoltes.
L’ouvrage de Frédéric Jésu et de Jean Le Gal dont nous présentons ci-dessous les « bonne feuilles » éclaire sur la place de l’enfant, à commencer par la famille, pour se poursuivre dans les institutions destinées à son éducation, ses loisirs, à commencer par l’école, en passant également par les établissements chargés de les accueillir, notamment lorsqu’ils sont retirés de leur famille. Comment apprendre une citoyenneté dans une société qui se prétend démocratique si les conditions de son apprentissage ne respectent pas la prise en compte de la parole de l’enfant et sa participation aux décisions qui les concernent, voire sa codécision ?

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