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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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ACM : les spécificités de l'accueil des enfants de moins de 6 ans

Article de Roselyne Van Eecke

Paru dans la revue Le Journal de l'animation, n° 244, mars-avril 2024, pp. 76-81.

Mots clés : Travail social : Établissements, Jeune enfant, Accueil collectif de mineurs, Management, Directeur d'établissement, Responsabilité, Législation

L'accueil de la petite enfance en ACM a ses spécificités. Nous détaillerons dans cet article les obligations réglementaires qui incombent aux organisateurs qui ouvrent leurs accueils aux enfants de moins de 6 ans, et nous y ajouterons des recommandations pour les organisateurs, directeurs et animateurs issues du livre "Créer et gérer un accueil collectif de mineurs".

Fonction de direction : des exigences accrues

Article de Jean-Marc Engelhard

Paru dans la revue Direction(s), n° 224, novembre 2023, pp. 22-30.

Mots clés : Travail social : Établissements, Directeur d'établissement, Établissement social et médicosocial, Management, Responsabilité, Innovation, Reconnaissance, Gestion financière, Ressources humaines, Formation, Budget, Motivation, Conditions de travail, Recrutement, Engagement

En vingt ans, comment la fonction de direction a-t-elle évolué ? Inflation réglementaire, rigueur budgétaire, multiplication des reportings, transformation de l'offre, pénurie de personnels... Les répondants au baromètre Direction[s] 2023 ont vu leurs responsabilités croître considérablement. Une fonction managériale plus complexe qui exige d'être mieux outillée à l'avenir.

Malgré les contraintes et difficultés de tous ordres, les directeurs et cadres du secteur sont, plus que jamais sur le pont, mobilisés confirme le Baromètre Direction[s] 2023. Combien de temps cet engagement pourra-t-il encore durer ?

Comment organiser un ACM ?

Article de Roselyne Van Eecke

Paru dans la revue Le Journal de l'animation, n° 241, septembre-octobre 2023, pp. 76-81.

Mots clés : Travail social : Établissements, Accueil collectif de mineurs, Gestion, Création, Administration, Management, Aménagement de l'espace, Organisation du travail, Responsabilité, Accueil de loisirs

"Le Journal de l'Animation" a déjà publié des précis de réglementation ("Mémento annuel" et livre "Comprendre et appliquer la réglementation des ACM"), des ouvrages destinés aux animateurs d'ACM (Le Cahier de l'animateur), aux directeurs (Le Cahier du directeur), aux formateurs Bafa (Le Cahier du formateur). Il manquait un outil pratique et complet pour les organisateurs d'accueils collectifs de mineurs. Focus sur le nouveau guide de Roselyne Van Eecke, "Créer et gérer un accueil collectif de mineurs".

La transformation de l’offre : y a-t-il encore une place pour l’institution ?

Article de Gilles Brandibas

Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 562-563, mars-avril 2023, pp. 39-48.

Mots clés : Travail social : Établissements, Institution, Perte, Sens, Désinstitutionnalisation, Modèle, Inclusion, Responsabilité, Libéralisme, Karpman (Stephen)

La transformation de l’offre est devenue formule consacrée dorénavant et entrée dans le vocabulaire, vécue tantôt comme une nécessité et le nouvel âge d’or, laissant enfin la part belle à l’émergence de prestations « ciblées et efficaces », tantôt comme une nouvelle menace d’une éthique forgée au fil de nombreuses années de construction, d’élaboration, de mise en sens de la rencontre, de la relation éducative et thérapeutique. La mesure de l’écart à laquelle nous invitent les Cahiers de l’Actif, entre effets escomptés et résultats observés, ne peut qu’inviter les thuriféraires d’une prestation de service à des usagers devenus des clients à nous faire part de leur enthousiasme. Pour cela ils nous offrent avec certitude une administration par la preuve d’indicateurs chiffrés et donc forcément vrais. Celui qui tient à la fois l’étendard d’une nouvelle offre et la calculette de la mesure des effets sera certainement sincère. Nous n’en doutons pas.

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Assurances : êtes-vous assez couverts ?

Article de Armelle Gegaden, Marion Emmerich Ropiteau

Paru dans la revue Direction(s), n° 216, février 2023, pp. 22-29.

Mots clés : Travail social : Établissements, Établissement social et médicosocial, Assurance, Risque, Management, Prévention, Directeur d'établissement, Responsabilité, Internet, Contrat

Sommes-nous bien assurés ? C'est une question que se posent bien des responsables du secteur social et médico-social, sans avoir le temps de s'y attarder. Pourtant, les enjeux économiques et humains d'un pilotage régulier des contrats d'assurance sont bien réels. Il en va des fonds propres des organisations, mais aussi de la pérennité et de la continuité des accompagnements. Alors comment les reprendre en main ?
Il n'est plus conseillé de faire l'économie d'une couverture adéquate pour protéger individuellement les mandataires sociaux et les dirigeants. Un bon contrat doit toujours comporter un volet "risque employeur personne physique", recommande Marion Emmerich-Ropiteau, directrice du cabinet de courtage Plenita.
Avec une fréquence en hausse des cyber-attaques dans le secteur, les assureurs sont de moins en moins enclins à couvrir les dommages. Le nombre de leurs exigences préalables s'allonge parfois au-delà d'une hygiène informatique de base. S'ils veulent garantir ce risque et protéger les données des publics, les gestionnaires ont intérêt à se mettre à la page.
A l'occasion de la création de sa direction administrative et financière, Addictions France a intégralement remis à plat ses assurances. L'association a découvert que son risque routier était mal couvert. Elle a alors investi dans une garantie auto-mission pour les professionnels qui utilisent leur véhicule personnel.

Bientraitance : une vigilance permanente

Article de Aurélie Vion, Hugo Steverlynck

Paru dans la revue Direction(s), n° 212, octobre 2022, pp. 22-29.

Mots clés : Travail social : Établissements, Bientraitance, Violence institutionnelle, Management, Dépendance, Personne âgée, Handicap, Relation travailleur social-usager, Directeur d'établissement, Responsabilité, Éthique, Association

L'affaire Orpea a remis le sujet des maltraitances sur le devant de la scène. En Ehpad, en foyer de l'enfance, à domicile... A chaque scandale, son lot d'émotion et d'indignation. Pourtant, les professionnels du secteur social et médico-social multiplient les actions à différents niveaux. Mais se heurtent au manque de moyens et à l'absence d'une politique publique à la hauteur des enjeux.

Qualité de vie au travail, responsabilité sociétale : le médico-social peut-il toujours s'en exonérer ?

Article de Gilbert Fabre, Sandrine Ferrand

Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 550-553, mars-juin 2022, pp. 65-80.

Mots clés : Travail social : Établissements, Qualité de la vie, Travail, Risque professionnel, Risques psychosociaux, Audit, Évaluation, Législation, Établissement social et médicosocial, Responsabilité, Sécurité, Prévention, Ressources humaines, Management

Risques professionnels, qualité de vie au travail, responsabilité sociétale... autant de sujets règlementaires d'actualité, sur lesquels il n'est plus possible de faire l'impasse. Toute structure, quelle qu'elle soit, se doit d'intégrer ces thématiques dans sa stratégie. Quid du secteur du médico-social ? Où en sommes-nous sur ces questions ? D'où venons-nous ? Sur quoi sommes-nous attendus ? Pourquoi réfléchir et évoluer sur ces sujets dans un secteur en pleine mutation avec des attentes très fortes ? Quelles sont les perspectives et options possibles pour faire évoluer les systèmes ? Autant de questions auxquelles nous tenterons de répondre dans notre article.

Gestion des ressources humaines : restaurer le collectif

Article de Jean Marc Engelhard, Jean René Loubat

Paru dans la revue Direction(s), n° 205, février 2022, pp. 22-29.

Mots clés : Travail social : Établissements, Ressources humaines, Établissement social et médicosocial, Management, Directeur d'établissement, Projet d'établissement, Conditions de travail, Formation professionnelle continue, Qualité de la vie, Usure professionnelle, Équipe, Responsabilité, Délégation

La crise sanitaire n'en finit pas de s'étirer et chez les professionnels, la fatigue est de plus en plus perceptible. Nouveaux projets, qualité de vie au travail, temps d'échange et de respiration, formations... Malgré les difficultés, les directions doivent trouver les leviers pour rebondir, non sans avoir tiré les leçons de cette période inédite.
Le psychosociologue Jean-René Loubat analyse, sur la motivation des professionnels, les effets de la crise, intervenue dans un contexte déjà tendu pour le secteur. Il s'inquiète notamment du timing très court et des modalités encore floues de la phase de transformation de l'offre. Même s'il est rassuré par la réactivité et la solidarité des équipes.
A l'Ehpad public d'Argonne, dans la Meuse, la direction mise sur la qualité de vie au travail pour repartir du bon pied. Une démarche qui passe notamment par une prise en compte améliorée des attentes des professionnels.
Depuis 2017, l'association d'aide à domicile Amical expérimente les équipes autonomes. S'il s'agissait en premier lieu de redonner du sens au travail des intervenantes, cette nouvelle organisation produit d'autres effets bénéfiques pour les professionnelles.

La liberté d'aller et venir : trouver l'équilibre juste

Article de Alexandra Marquet, Laurence Hardy, Philippe Giafferi, et al.

Paru dans la revue ASH Etablissements, hors-série n° 13, janvier 2022, pp. 3-41.

Mots clés : Travail social : Établissements, Liberté, Établissement social et médicosocial, EHPAD, IME, Foyer d'hébergement, Personne âgée, Personne handicapée, Droits des usagers, Projet d'établissement, Sécurité, Responsabilité, Éthique, Accompagnement, Adaptation, Consentement, Contention, Enfermement, Démocratie, Santé, Motricité, Maladie d'Alzheimer, Maltraitance, Vulnérabilité, Technologie, Épidémie

LIBERTÉ LENTEMENT ACQUISE. Historiquement, les établissements médico-sociaux ont d’abord été des lieux d’enfermement pour les personnes vulnérables. Dans ces institutions, le collectif a longtemps primé sur les besoins et les particularités individuels. Mais depuis (seulement) une vingtaine d’années, un mouvement d’ouverture s’est dessiné. Timidement, avant de prendre un peu plus d’ampleur. Inclusion, désinstitutionnalisation : derrière ces mots résonnent la volonté des établissements, mais aussi celle des aidants d’imaginer un nouveau système d’accompagnement, plus ouvert, plus libre. Les lieux de soins se sont dès lors transformés en lieux de vie où les résidents ont pu enfin émettre leurs choix. La liberté de décider, de participer et de consentir a commencé à peser. Reste à octroyer aux usagers une présomption en compétences. Les aidants professionnels ou familiaux ne sont désormais plus les seuls décisionnaires, les seuls qui imposent certains outils comme les nouvelles technologies sous prétexte de protéger leurs proches, mettant fin à leur (toute) puissance face à la vulnérabilité des personnes aidées.
DROIT ENTRAVÉ. L’envie de voir ce qui se passe derrière les clôtures des établissements s’est faite de plus en plus forte. Les portails sont désormais ouverts, les portes ne sont plus systématiquement fermées à clé… Le secteur du handicap a profité de ce sentiment de liberté, somme toute « conditionné, sinon la maison serait ingérable ». Reste qu’à l’heure de cette ouverture, certains lieux fermés ont essaimé pour les personnes souffrant de troubles cognitifs de type Alzheimer. Sous prétexte de les protéger, ces unités dédiées ont la particularité d’être fermées ou digicodées. Pour éviter que les usagers ressentent cet enfermement, les portes sont souvent cachées par des brise-vue ou aménagées dans des espaces peu lumineux. Au nom de la sécurité, l’enfermement est encore prôné. Mais pour de bonnes intentions, peut-on manipuler ou mentir à des personnes vulnérables ? De plus en plus d’experts ou de professionnels de terrain s’interrogent quand certains franchissent le pas en dressant un parallèle avec le milieu carcéral. Si la iatrogénie médicamenteuse est aujourd’hui acquise, ce n’est pas encore le cas pour la iatrogénie environnementale. Et pourtant, d’autres modèles sont possibles. La preuve avec le village landais Alzheimer, même si les réflexions sur le papier se sont confrontées à la réalité du terrain et à la pandémie mondiale.
PANDÉMIE RÉVÉLATRICE. Si la Covid-19 a changé notre vie, les personnes vulnérables sont sans doute les plus impactées avec un mouvement de liberté clairement freiné pour ne pas dire stoppé. La mort sociale a été privilégiée pour éviter la mort biologique alors que les syndromes de glissement en Ehpad ont été nombreux. À l’heure où le droit à la liberté est entravé, les questionnements éthiques se posent. Les pratiques étant lentes à changer, comment renouer les liens sociaux dans ce contexte sanitaire ? Si l’ouverture est une voie d’avenir, garante d’une meilleure qualité de vie pour les usagers, cet espace de liberté leur sera-t-il garanti ou même seulement proposé ? Accompagner les déambulations, proposer des soins personnalisés, trouver des solutions proportionnées… Oui, des voies alternatives existent, mais les équipes épuisées auront-elles la force de s’y engager ? Ne plus opposer liberté et sécurité, mais trouver l’équilibre juste. C’est le défi des prochaines années.

Sécuriser les délégations

Article de Laurent Cocquebert

Paru dans la revue Direction(s), hors-série n° 24, juillet-août 2020, pp. 2-83.

Mots clés : Travail social : Établissements, Délégation, Établissement social et médicosocial, Directeur d'établissement, Management, Responsabilité, Pouvoir, Hiérarchie, Qualification professionnelle, Administration, Gestion, Association

Afin de fonctionner dans des conditions adéquates, tous les établissements et services sociaux et médico-sociaux (ESSMS) doivent mettre en place des délégations internes pour l’exercice des missions incombant spécifiquement à tout employeur, mais également d’autres outils juridiques qui opèrent un transfert de pouvoirs vers des partenaires extérieurs.

Le recours à ces dispositifs appelle à la vigilance du fait de leur caractère complexe et de leurs effets, notamment en matière de responsabilité, qui diffèrent selon leur nature. Ce numéro vous donnera toutes les clés pour vous permettre de distinguer quel type de contrat est le plus adapté à vos besoins et quels sont les écueils à éviter afin de sécuriser au maximum les conventions donnant lieu à délégation.