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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Une tour de Babel pour bousculer ses pratiques

Article de Laurence Ubrich

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3311, décembre 2023, pp. 55-58.

Mots clés : Lien social-Précarité, Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Vulnérabilité, Travailleur social, Précarité, Migration, Pluridisciplinarité, Orspere-Samdarra (Observatoire), Lyon

Unité fonctionnelle de l’hôpital Vinatier, à Lyon, l’observatoire Orspere-Samdarra s’intéresse aux liens entre les questions de santé mentale et de vulnérabilités sociales. Son équipe pluridisciplinaire propose des ressources destinées aux professionnels de l’accompagnement, aux personnes concernées par des troubles, la précarité ou la migration et au grand public.

Sans-abrisme : la « patate chaude » des troubles psychiatriques

Article de Laurence Ubrich, Christian Laval

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3279, 21 octobre 2022, pp. 6-13.

Mots clés : Lien social-Précarité, Territoire-Logement, Santé mentale-Souffrance psychique, SDF, Précarité, Psychiatrie, Accueil d'urgence, Psychopathologie, Errance, Un chez soi d'abord, Lyon

Ce dossier est composé de 3 articles :
- Sans-abrisme / La « patate chaude » des troubles psychiatriques
- Les clés du rétablissement
- « On ne soigne personne contre son gré »

Assistant de service social et équipe de santé mentale

Article de Jacob Benarosch, Clément Bonnet, Marcel Jaeger, et al.

Paru dans la revue Pratiques en santé mentale, n° 4, novembre 2020, pp. 1-95.

Mots clés : Travail social : Métiers, Santé mentale-Souffrance psychique, Lien social-Précarité

Ce métier va-t-il étouffer sous les tâches administratives ou va-t-il retrouver sa compétence première, le développement du lien social des personnes accompagnées ?
Que penser des évolutions du travail social en polyvalence de secteur psy ? Est-il en danger de disparition par l’évacuation de la relation d’aide ? Il est en effet habituel d’entendre les professionnels en polyvalence de secteur courir après le temps avec des interventions sociales ciblées et rationalisée, la suppression des visites et des suivis, une réduction des réunions d’échanges entre pairs et la recherche d’une gestion du plus grand nombre possible de dossiers. Les assistants de services sociaux spécialisés en psychiatrie sont-ils soumis aux mêmes contraintes, quelles en seraient les incidences ?
Ce métier va-t-il étouffer sous les paperasses administratives ou va-t-il retrouver la possibilité de travailler avec sa compétence première, le développement du lien social des personnes et la mobilisation des capacités du milieu à être tolérant et accueillant ?

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Aux frontières de l’humanitaire

Article de Christian Laval, Davide Ziveri, Évelyne Josse, et al.

Paru dans la revue Rhizome, n° 73, pp. 3-19.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Lien social-Précarité, Santé mentale, Action humanitaire, Réfugié, Psychosociologie

Ce numéro nous invite à penser que la santé mentale est une problématique autant personnelle que collective. Nous pouvons agir sur soi, sur la relation à l’autre, sur les structures collectives, mais pas sur l’autre. Ce qui tend à devenir une évidence pour les personnes qui présentent des troubles de santé mentale grâce à des mobilisations et des initiatives de plus en plus nombreuses des personnes concernées le devient aussi dans l’action dite « sociale » ou « humanitaire ». Il faut alors composer avec des groupes sociaux et communautaires hétérogènes. Mais ces communautés existent moins dans la différence entre soi et l’autre que dans l’inscription d’un sujet dans son environnement social ou culturel. Faisons le pari que le fait d’être à l’écoute des revendications communautaires est moins une manière de marquer une frontière entre des communautés, que d’entendre la possibilité pour la personne de s’inscrire, de faire avec, voire de s’émanciper de ses groupes sociaux d’appartenance. Et si le soutien psychosocial n’était pas une version euphémisée de la « clinique », mais bel et bien une écologie de l’intervention, où le social et le psychique ne sont pas des catégories préétablies, mais un couple dynamique et singulier ; pour que les frontières, notamment entre le social et le psychique, puissent se dire, se discuter et se transformer ?

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