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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 1 à 5 sur un total de 5

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Le sociographe ou carte relationnelle. Une technique graphique support des personnes sur les liens sociaux

Article de Pascaline Delhaye, Anne Sophie Fugaldi, Valérie Janson, Dorinne M'Bembo

Paru dans la revue Le Sociographe, n° 75, septembre 2021, pp. 115-124.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Accompagnement, Approche clinique, Lien social, Expression graphique, Recherche-action, Formation, Travailleur social

Cet article fait le récit de la création d’une technique graphique issue d’une recherche-action menée avec des apprenants en travail social. Cette carte relationnelle, nommée « le sociographe », consiste en un objet support au discours des personnes accompagnées à propos de leurs liens sociaux, partant du constat que ces liens sociaux sont d’ordinaire peu pris en compte dans le travail d’accompagnement.

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Obscène ! L'intime mis à nu

Article de Pierre Rosset

Paru dans la revue Le Sociographe, n° 69, mars 2020, pp. 91-99.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Réseau social, Média, Travailleur social, Pudeur, Intimité, Norme sociale, Vie privée, Pratique professionnelle

Dans cet article l’auteur ouvre une réflexion sur l’obscène (comme étant « ce qui blesse ouvertement la pudeur ») dans les médias et les réseaux sociaux mais aussi dans le travail social qui de plus en plus normé et porteur de contraintes paradoxales contribue à l’émergence d’une transparence aux effets obscènes. Dans ce contexte le travailleur social a beaucoup de difficultés pour exister et rester disponible à l’Autre en gardant ses motivations et ses valeurs... Peut-il en sortir sans y perdre son âme ?... Et surtout faire face ?

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Le bouleversement d’une vie

Article de Valentine Alexandre

Paru dans la revue Le Sociographe, n° 67, septembre 2019, pp. 95-100.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Deuil, Accompagnement de fin de vie, Suicide, Travailleur social

En formation de travailleur social, l’auteur s’interroge sur la fin de vie et la mort, en particulier par la façon dont elle a traversé le deuil de sa grand-mère. Témoignage sur le suicide assisté, la dignité, la culpabilité, les ambivalences des disparitions qui sont toujours trop tôt.

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L’étrange étranger écrit ce que nous sommes dans les blancs de l’histoire officielle

Article de Claude Jacquier

Paru dans la revue Le Sociographe, n° 67, septembre 2019, pp. I-XX.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Étranger, Immigré, Réfugié, Témoignage, Travailleur social, Communauté, Politique, Politique de la ville, Exclusion sociale, Exil, Travail social de communauté, Représentation sociale, Grenoble

L’étranger, le migrant, l’autre, tous gens de peu, voient leur place et leur rôle questionnés quand ils ne font pas l’objet d’un rejet de la part d’acteurs politiques. A partir d’une expérience singulière, cet article cherche à rendre compte de l’évolution de la place et du rôle de l’étranger, non pas pour souligner ses stigmates, mais au contraire pour s’étonner des silences qu’ils suscitent de la part des courants idéologiques qui étaient, jusqu’ici, prompts à manifester leur soutien, comme si, ainsi que les pauvres, ils n’avaient plus d’utilité sociale !

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Quand la relation d'aide se conjugue avec la violence

Article de Christelle Goffard

Paru dans la revue Le Sociographe, n° 56, décembre 2016, pp. 51-63.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Violence, Relation d'aide, Travailleur social, Majeur protégé, Tutelle

La violence n’est pas une spécificité du milieu sanitaire et médico-social, nous y sommes confrontés au quotidien à différents degrés : un trouble de voisinage, la négligence d’un automobiliste peuvent la faire naître.
Alors pourquoi, la violence exprimée dans les milieux sanitaires et médico–sociaux est-elle si singulière ? Nous, professionnels du secteur sanitaire et médico-social dont la mission principale est d’aider l’usager serions parmi les premiers à la subir ? La relation d’aide, cœur de notre métier serait-elle porteuse des germes de la violence ?
Et si la réponse reflétait la complexité d’une violence, qui ne s’invite pas toujours à l’endroit où elle est attendue ? …

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