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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Santé mentale des jeunes : état d'urgence

Article de Naïri Nahapétian

Paru dans la revue Alternatives économiques, n° 435, juin 2023, pp. 38-41.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Jeune, Jeune en difficulté, Souffrance psychique, État dépressif, Psychiatrie infantile, CMPP, Prise en charge, CMP, Enfant en difficulté, COVID-19

La crise sanitaire a affecté la santé mentale des enfants, adolescents et jeunes adultes de manière durable. Pourtant, leur prise en charge souffre toujours d'un manque criant de moyens

Santé mentale des jeunes : état d'urgence

Article de Naïri Nahapétian

Paru dans la revue Alternatives économiques, n° 435, juin 2023, pp. 38-41.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Souffrance psychique, Jeune en difficulté, État dépressif, Psychiatrie infantile, CMPP, CMP, Prise en charge, Jeune, Confinement

La crise sanitaire a affecté la santé mentale des enfants, adolescents et jeunes adultes de manière durable. Pourtant, leur prise en charge souffre toujours d'un manque criant de moyens.

Répercussions psychologiques de la Covid-19 sur les enfants et les adolescents

Article de Hélène Romano

Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 359, août-septembre 2022, pp. 26-30.

Mots clés : Santé-Santé publique, Enfant, Adolescent, Santé mentale, Traumatisme, Psychologie, Souffrance psychique, Prise en charge, Professionnel de l'enfance, Covid-19

Les conséquences psychologiques des pandémies et périodes de crise sont connues, celles de la Covid-19 et des innombrables mesures qui l’ont accompagnée ont été multiples, en particulier chez les plus jeunes. Pourtant, l’attention portée aux enfants et aux adolescents n’a pas été immédiate. Il a fallu attendre la publication des premières études pour que les impacts psychologiques de la pandémie sur cette population soient enfin pris en compte. Une réflexion est proposée sur les résistances à la reconnaissance de ces effets, avant de présenter les données actuelles sur les troubles constatés et les perspectives de prise en charge.

Les équipes mobiles en psychiatrie : du bébé au sujet âgé

Article de Sylvie Tordjman, Vincent Garcin, Dominique Brengard, et al.

Paru dans la revue Perspectives psy, vol. 61, n° 3, juillet-septembre 2022, pp. 200-239.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Non-recours, Invisibilité sociale, Sectorisation psychiatrique, Équipe de secteur, Santé mentale, Mobilité géographique, Accès aux soins, Prise en charge, Souffrance psychique

Dossier composé de 6 articles :
- Les équipes mobiles en psychiatrie : du bébé au sujet âgé
- Les équipes mobiles en psychiatrie : un besoin de définition
- Équipes mobiles en psychiatrie périnatale : l’art des ponts
- Équipes mobiles autisme : vers la définition d’une nouvelle pratique ?
- Les équipes mobiles en psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent : similitudes, différences, et perspectives
- Équipes mobiles de psychiatrie du sujet âgé : la mobilité au service de la fragilité

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Santé mentale et détention : les conséquences de la surpopulation

Article de Garlonn de Maistre, Dominique Simonnot

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3255, 15 avril 2022, pp. 6-10.

Mots clés : Justice-Délinquance, Prison, Souffrance psychique, Santé mentale, Prise en charge, Détenu, Accès aux soins, Pathologie, Suivi médical, Psychologie

Dossier composé de deux articles :
Santé mentale et détention : les conséquences de la surpopulation
« La surpopulation pourrit les rapports entre détenus et avec les surveillants »

Étrangers, des traumas mal/traités par l’État

Article de Francis Remark, Arnaud Veisse, Laure Wolmark, et al.

Paru dans la revue Plein droit, n° 131, décembre 2021, pp. 3-26.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Droit d'asile, Santé mentale, Droit des étrangers, Traumatisme, Prise en charge, Accès aux soins, Dossier administratif, Souffrance psychique, Évaluation, Expertise

L’analyse historique des modalités de la reconnaissance des besoins de protection et de soins en France pour les exilé·es montre l’empreinte des volontés politiques. « Droit au séjour pour raison médicale », l’expression signale d’emblée deux logiques différentes : d’une part, la question du droit au séjour des étrangers, qui est au cœur des politiques d’immigration depuis 40 ans ; et d’autre part celle du droit à la santé, elle-même au cœur du débat public depuis l’émergence de la pandémie de Covid. C’est de la tension entre ces deux logiques que dépend, depuis plus de 20 ans, l’application effective de ce droit au séjour des étrangers malades (Dasem).

Confiée précédemment aux médecins inspecteurs de santé publique (Misp), puis aux médecins des agences régionales de santé (Mars), agissant au sein des service du ministère de la santé, l’évaluation médicale du Dasem avait déjà connu des variations importantes, selon le contexte social et politique. Depuis le transfert de cette évaluation à l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii), agence sous tutelle du ministère de l’intérieur, les pratiques des médecins de l’Ofii ont conduit à une réduction considérable du nombre de protections accordées, en particulier à l’encontre des personnes atteintes de troubles psychiques.

Dans ce dossier de Plein droit, proposé par le collectif Dasem psy (voir encadré), seront évaluées les logiques et arguments à l’œuvre dans cette détérioration inédite, qui intervient dans un contexte pandémique où les enjeux de santé mentale sont apparus au premier plan des déclarations gouvernementales.

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Sécuriser des jeunes filles en grande difficulté

Article de Aurélie Vion

Paru dans la revue Direction(s), n° 200, septembre 2021, pp. 12-15.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Santé mentale-Souffrance psychique, Protection de l'enfance, ASE, Enfant en difficulté, Adolescent, Prise en charge, Soin, Thérapie, Trouble du comportement, Crise, Souffrance psychique, Psychiatrie infantile, Séparation, Santé mentale, Moselle

Depuis 2016, la Maison éducative et thérapeutique (MET) accueille des adolescentes ayant épuisé les structures classiques de protection de l'enfance. Pour gérer leurs troubles du comportement associés à de multiples problématiques, l'équipe d'éducateurs et de soignants mise sur une prise en charge sur mesure et contenante.

Impact de la pandémie sur les étudiants

Article de Richard Pougnet, Laura Semeraro, Gaëtan Lecallo, et al.

Paru dans la revue La Revue de l'infirmière, n° 271, mai 2021, pp. 16-18.

Mots clés : Santé-Santé publique, Souffrance psychique, Prise en charge, Vulnérabilité, Étudiant, Santé mentale, Crise, Épidémie, Bien-être, Épidémiologie

La société française a pris conscience de la détresse des étudiants, au point de mettre en place des systèmes dédiés à leur santé mentale. Afin d'éviter toute confusion, il est important de qualifier la santé mentale des étudiants et de proposer des pistes pour comprendre pourquoi il s’agit d’une population vulnérable face à la crise sanitaire.

Une écoute clinique "nomade" des sujets migrants précaires

Article de Louise Roux, Gaia Barbieri

Paru dans la revue Nouvelle revue de psychosociologie, n° 30, automne 2020, pp. 129- 140.

Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Accès aux soins, Approche clinique, Écoute, Exil, Groupe de parole, Institution, Migration, Nomadisme, Politique sociale, Posture professionnelle, Précarité, Prise en charge, Psychologie, Recherche, Santé mentale, Souffrance psychique, Témoignage, Vie institutionnelle, Vulnérabilité

Cet article interroge les conditions de possibilité des cliniques de l’exil dans le contexte politique contemporain vectorisé par une logique néolibérale. Les politiques publiques ne cessent de précariser les institutions du soin psychique, réduisant notamment les possibilités d’accès aux soins pour les sujets migrants. La réponse des cliniciens face à un tel mépris de leur travail semble aller dans le sens d’une multiplicité de « bricolages institutionnels », valorisant le groupe et les pratiques « marginales ». La prise en compte d’un dispositif d’écoute que les auteures ont mis en place ensemble, dans le cadre de leurs recherches en psychologie clinique, auprès de lieux de vie occupés par des collectifs de sujets exilés, sera le point d’appui pour réfléchir au « bricolage » groupal d’une écoute clinique « nomade ».

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