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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Conception de supports d'information sur les aides techniques pour les professionnels travaillant auprès de personnes en perte d'autonomie

Article de Lauriane Blavette, Anne Sophie Rigaud, Sébastien Dacunha, Maribel Pino

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 168, juillet-août 2024, pp. 21-25.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Aide technique, Dépendance, Information, Communication, Besoin, Équipe soignante, Aidant, Qualité de la vie, Accompagnement, Acquisition des connaissances, Savoir, Partage d'informations, Projet, Conditions de travail, Prise en charge, Étude de cas, Recherche, Méthodologie

L’utilisation d’aides techniques a un impact positif sur l’autonomie et la qualité de vie des personnes âgées ou en situation de handicap, bénéfique aussi pour les aidants et les professionnels qui les entourent. Néanmoins, d’importants freins à leur usage demeurent, notamment un manque d’information global sur les aides techniques. Ce constat nous a conduit à réaliser un ensemble de supports d’informations permettant une meilleure compréhension de ces aides et de leurs modalités d’utilisation.

Autodétermination et vieillissement des personnes avec déficience intellectuelle. Des repères pour penser le processus de vieillissement acteur et l’individualisation des réponses

Article de Romina Rinaldi, Erika Wauthia, Chloé Croes

Paru dans la revue Vie sociale, n° 40, mai 2023, pp. 145-159.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Déficience cognitive, Vieillissement, Vulnérabilité, Accompagnement, Empowerment, Handicap, Qualité de la vie

À l’échelle de la population mondiale, l’accroissement de l’espérance de vie a pratiquement doublé lors du siècle dernier. Avec l’amélioration continue des réponses fournies en termes de provision de services, cette tendance s’étend désormais dans une certaine mesure aux personnes avec déficience intellectuelle (di). Toutefois, avec l’avancée en âge, les personnes avec déficience intellectuelle feront plus probablement l’objet d’un niveau de contraintes, de restriction des libertés, plus élevé en relation avec des processus dits de double discrimination, liés d’une part au vieillissement et d’autre part, à la situation de handicap. Ce « cumul des vulnérabilités » amène une vigilance accrue dans les pratiques d’accueil et d’accompagnement de ce public. L’enjeu d’un accompagnement centré sur la qualité de vie et le maintien des capacités implique un décloisonnement des secteurs du handicap et du vieillissement vers une réponse articulée et flexible qui puisse mutualiser les pratiques probantes et créer un dialogue intersectoriel centré sur les besoins des personnes qui vieillissent avec une déficience intellectuelle.
Au sein de cet article, nous approcherons le concept d’autodétermination et son abord en tant que principe permettant d’orienter les pratiques d’accompagnement des personnes vieillissant avec une déficience intellectuelle.

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Le bien-être au travail dans la petite enfance : enjeux et espoirs

Article de Danielle Rapoport, Pierre Moisset, Marie Hélène Hurtig, et al.et al.

Paru dans la revue Le Furet, n° 108, mars 2023, pp. 11-60.

Mots clés : Travail social : Établissements, Bientraitance, Qualité de la vie, Travail, Etablissement d'accueil du jeune enfant, Auxiliaire de puériculture, Reconnaissance, Libéralisme, Plaisir, Accompagnement, Innovation sociale, Emploi, Analyse de la pratique, Recherche-action, Syndicalisme, ATSEM, Inclusion, Culture, France, Québec, Allemagne

Introduction
Nathalie Bigras, Marie Paule Thollon Behar, Francine Hauwelle
Pour la bien-traitance
des professionnel.les bien-traitant.es Danielle Rapoport
La qualité de vie au travail des professionnel.les de l’accueil collectif Pierre Moisset
Les origines du malaise chez les professionnel.les de la petite enfance Marie-Hélène Hurtig
« Le sourire toujours » Histoire des auxiliaires de puériculture en formation, 1948 - 1996 Zoé Poli
Bien-être au travail des professionnel.les de CPE du Québec, une étude sur les retombées de la pandémie de COVID-19Nathalie Bigras, Geneviève Fortin, Christelle Robert-Mazaye, Lise Lemay et Caroline Bouchard
La reconnaissance : un levier vers le bien-être et la santé Jean-Pierre Brun et Brigitte Lépine
Le système compétent : un regard européen Michel Vandenbroeck
Impacts du néolibéralisme sur le bien-être au travail des éducatrices de la petite enfance au Québec Martine Lauzier
Regards croisés de directrices d’EAJE de France, d’Allemagne, du Québec : convergences et divergences Claudia Beaudin, Sandrine Alaixendri, Pénélope Andam et Odile Sola
Les bienfaits du plaisir dans un contexte professionnel Josée Dumoulin
« Reprendre son souffle ! » Nathalie Bigras, Lise Lemay, Geneviève Fortin et Christelle Robert-Mazaye
Comment je vis ma première année d’emploi ? Kathleen Bentein, Nathalie Bigras, Gabrielle Di Blasio, Alexandra Plante, Véronique Brouillette et Marie Eve Rioux-Pelletier
L’analyse de pratique au service du bien-être au travail dans les équipes Marie Paule Thollon Behar
De l’écriture-action en petite enfanceSylvie Rayna
« Valorisons Ma profession », le mouvement citoyen québécois Émilie Dechamplain, Emma Bernard, Élizabeth O’farrel et Mariève Péloquin
SNPPE : un syndicat pour défendre les professionnel.les de la petite enfance ! Équipe SNPPE
ATSEM, aujourd’hui Sylvie Rayna
Une démarche participative de réflexion sur la qualité de l’accueil et son évaluationMarie Paule Thollon Behar
Lettre ouverte aux professionnel.les de la petite enfance : « Quand la petite enfance donne des ailes ! » Isabelle Guillon Verne
Penser ensemble en créant ensemble Sonia Barnat
Une équipé fédérée autour d’un projet d’accueil social, artistique et culturel, un levier pour faire face au mal-être des professionnel.les Anaïs Belly et Marion Latuillière
Du protagonisme en petite enfance Sylvie Rayna

Les interventions psychosociales : un autre accompagnement possible

Article de Alexandra Marquet, Kevin Charras, Laurence Hardy, Hervé Platelet al.

Paru dans la revue ASH Alzheimer, hors-série n° 5, mai 2021, pp. 3-41.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Démence sénile, Vieillissement, Personne âgée, Accompagnement, Médecine alternative, Lien social, Animation socioculturelle, Traitement médical, Qualité de la vie, Vie quotidienne, Soin, Bien-être, Aménagement de l'espace, Adaptation, Trouble du comportement, EHPAD, Repas, Plaisir, Musicothérapie, Mémoire, Émotion, Psychosociologie, Relation soignant-soigné, Communication non-verbale, Psychothérapie, Souffrance psychique, Snoezelen (Méthode)

MEDECINES ALTERNATIVES, interventions non médicamenteuses ou interventions psychosociales ? Le débat lexical perdure, signe du chemin à parcourir pour que médecins, psychologues, soignants, thérapeutes, intervenants, financeurs parlent le même langage ; celui de l’accompagnement des personnes atteintes de maladies neurodégénératives et privées de traitements curatifs. Alors que leur dénomination suscite parfois le débat en France, les interventions psychosociales et environnementales (IPSE) sont reconnues au niveau international, et se sont progressivement développées. Derrière ces mots se cachent, selon l’association américaine de psychiatrie, des objectifs précis autour de l’amélioration de la qualité de vie, du fonctionnement psychologique et social des personnes aidées, le tout en s’appuyant sur leurs capacités restantes et leur pouvoir d’agir. En d'autres termes, un avenir possible et de l'espoir malgré la progression des lésions cérébrales. Pas à pas, les soignants ont changé leurs pratiques. Pendant longtemps, face aux symptômes liés à la démence, la seule réponse de soin passait systématiquement par les médicaments. C’est parfois encore le cas. Or, une autre philosophie se dessine avec une volonté d’accompagner et non de guérir. Cette approche aborde les maladies neurodégénératives sous un autre angle. Décider, choisir, s’exprimer sont encore possibles, même à un stade sévère, à condition que l’entourage, familial et professionnel, soit à l’écoute des besoins et que l’environnement architectural soit un support incontournable de l’accompagnement.
UNE OFFRE DIVERSIFIEE… En 2008, la Haute Autorité de santé consacrait une première série de recommandations pour l’utilisation des interventions psychosociales. Treize ans après, les expérimentations et évaluations en France et à l’étranger n’ont eu de cesse de se développer : art-thérapie, repas thérapeutiques, réminiscence, Snoezelen… Sur le terrain, rien ne doit être laissé au hasard : soignants et intervenants formés, indications de traitement, profils des bénéficiaires, constitution des groupes, observation, adaptation et évaluation. L’accompagnement personnalisé reste une condition sine qua non de leur réussite, que ce soit en institution ou à domicile.
UN FINANCEMENT A INVENTER. Comment les interventions psychosociales peuvent-elles se généraliser et s’affranchir des disparités territoriales pour se démocratiser ? Un nouveau modèle économique devra s’imposer pour favoriser leur déploiement, que ce soit en milieu urbain ou rural. Des réponses réglementaires doivent être apportées pour une prescription facilitée et un remboursement assuré. En 2018, suite à sa décision de dérembourser les médicaments "anti-Alzheimer", Agnès Buzyn avait promis qu’aucune économie ne serait réalisée "sur le dos des malades". Qu’en est-il ? Quel fléchage pour ces millions ? A travers ces interventions, un nouveau modèle doit se généraliser pour que les personnes malades et leurs aidants retrouvent leur statut dans la société. Et que les soignants soient réhabilités dans leur rôle d’accompagnants.

Qualité de vie des fratries d’enfants avec un trouble du spectre de l’autisme.

Article de G. Le Corfec, G. Le Maner Idrissi, S. Le Sourn Bissaoui

Paru dans la revue Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, vol. 68, n° 7, novembre 2020, pp. 362-369.

Mots clés : Autisme, Fratrie, Famille, Qualité de la vie, Accompagnement

La stratégie nationale « Autisme au sein des troubles neurodéveloppementaux » préconise la mise en place de dispositifs de soutien et d’accompagnement pour les familles. En effet, les familles d’un enfant présentant un handicap, et plus particulièrement un trouble du spectre de l’autisme (TSA), doivent régulièrement s’adapter au trouble et à ses manifestations.

Prendre soin des professionnels de santé. Quelles modalités d'accompagnement pour favoriser la qualité de vie au travail ?

Article de Anne Paule Duarte, Matthieu Sibé

Paru dans la revue Actualité et dossier en santé publique, n° 110, mars 2020, pp. 11-60.

Mots clés : Santé-Santé publique, Qualité de la vie, Travail, Établissement de santé, Hôpital, Management, Conditions de travail, Accompagnement, Équipe soignante, Infirmier, Qualité, Soin, Organisation du travail, Souffrance psychique, Innovation

Finalisé en janvier 2020, ce dossier souhaite mettre en lumière l’importance d’un accompagnement favorable à la qualité de vie au travail des professionnels de santé. Entre-temps, la pandémie de la Covid-19 s’est installée, mettant à l’épreuve l’ensemble de la population et de notre système de soins. En soi, la difficulté de l’épidémie n’est peut-être pas tant de gérer le risque (les professionnels y sont préparés et formés), mais davantage d’inventer in vivo un management de l’incertitude liée à un risque inconnu, contraignant à décider malgré des informations contradictoires, parcellaires, fluctuantes. Nous avons eu peur collectivement du chaos. Il ne s’est pas produit grâce à l’intense mobilisation des acteurs de la santé, confrontés en première ligne à un afflux massif de patients. Dans l’urgence, les professionnels ont fait émerger des coopérations interprofessionnelles insoupçonnées, ont innové pour établir des plans de continuité des soins, ont trouvé des solidarités auprès de la réserve sanitaire, de l’armée, des entreprises (appels aux dons) et des citoyens (« protégez les soignants, restez chez vous ! »). Cette épreuve « hors norme » est un révélateur des capacités individuelles de résistance de nos professionnels, mais aussi des capacités collectives de résilience de nos organisations de santé en dépit de conditions initiales souvent défavorables.
Notre responsabilité commune est d’engager dès à présent une sortie par le haut de cette crise sanitaire. Créer rapidement des espaces de retour d’expérience est une priorité afin de comprendre les erreurs tant conjoncturelles que structurelles de nos politiques et choix organisationnels en matière de santé. Prendre le temps de l’échange avec chacun pour qu’il puisse exprimer son vécu du travail est une exigence humaine à défendre. Des épisodes aigus d’engagement peuvent redonner du sens au travail autant qu’accoucher de désillusions. Adopter un regard bienveillant est une posture nécessaire pour tirer parti des succès obtenus et des obstacles organisationnels levés. Au final, il est vital pour notre système d’enclencher cette discussion « thérapeutique » sur le travail, ses ressources et ses conditions d’exercice. N’est-ce pas là le b.a.-ba du « prendre soin des professionnels de santé » ?
Ce dossier sur la qualité de vie au travail et ses modalités d’accompagnement arrive donc à point nommé pour le « Ségur de la santé » afin de nourrir cet effort salutaire de reconstruction du travail de nos professionnels de santé.

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Relation thérapeutique, soins centrés sur la personne et troubles cognitifs sévères

Article de Eric Maeker, Bérengère Maeker

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 141, janvier-février 2020, pp. 42-45.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accès aux soins, Accompagnement, Déficience cognitive, Dignité, Empathie, Identité, Liberté, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Précarité, Prise en charge, Qualité de la vie, Relation soignant-soigné, Soin, Vieillissement

L’évolution inévitable des troubles cognitifs dans les maladies neurodégénératives, telles que la maladie d’Alzheimer, interroge les modalités et les finalités des soins apportés aux personnes atteintes de ces pathologies. Elle justifie l’acquisition d’un regard holistique et humaniste pour préserver au centre des préoccupations la personne dans sa globalité. Les soins centrés sur la personne répondent à cette exigence, en s’enracinant dans une relation favorisante.

Impact des interventions assistées d'un animal sur le résident

Article de Jan Chrusciel, Aude Letty, Stéphane Sanchez, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 140, novembre-décembre 2019, 12-14.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Animal, Autonomie, Bien-être, Démence sénile, Dépendance, EHPAD, Étude de cas, Isolement, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Prise en charge, Psychothérapie, Qualité de la vie, Robot, Vieillissement, Zoothérapie

Les interventions assistées par l’animal ont pour finalité le bien-être des personnes. L’objectif est de faire le point sur les études concernant cette pratique dans la population des anciens vivant en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. La thérapie assistée par l’animal, utilisable par un personnel préalablement formé, pourrait être un outil adapté à la personne âgée institutionnalisée souffrant de solitude.

Qualité et quantité de vie

Article de Pierre Henry Frangne, Amélie Aregui, Rémy Billon, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 139, septembre-octobre 2019, pp. 11-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Bien-être, Bioéthique, Cancer, Care, Communication, EHPAD, Espérance de vie, Évaluation, Gériatrie, Personne âgée, Philosophie, Pluridisciplinarité, Maladie, Morbidité, Prise en charge, Projet, Qualité de la vie, Soin, Soins palliatifs, Traitement médical, Vieillissement, Vulnérabilité

Soins en gériatrie, que doit-on privilégier ? Page :11
Approche philosophique de la qualité de vie. Page :12-18
La qualité et la quantité de vie en oncogériatrie. Page :19-21
Le sujet âgé polymorbide et fragile : quelle qualité de vie? Page :22-24
Qualité de vie en soins palliatifs. Page :25-27