PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 376, avril 2024, pp. 19-21.
Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, École maternelle, Bilan de santé, PMI, Prévention, Épidémiologie, Examen médical, Dépistage, Suivi médical, Éthique, Parents, Communication, Jeune enfant, Puéricultrice
Les enfants scolarisés en école maternelle dès 3 ans bénéficient au cours de leur première année d’un bilan de santé systématique organisé entre le service de protection maternelle et infantile et le système scolaire. Au-delà des tests de dépistages effectués, c’est un réel dialogue qui s’installe avec les parents et les enseignants autour des besoins de l’enfant et d’éventuelles orientations.
Paru dans la revue La Revue française de service social, n° 289, juin 2023, pp. 81-87.
Mots clés : Travail social : Métiers, Enfant maltraité, Maltraitance, Enfance en danger, Travailleur social, Prévention, Information préoccupante, Parents
Dans le cadre de leurs pratiques professionnelles, les travailleurs sociaux sont amenés à rencontrer des enfants victimes de négligences, voire de maltraitances. Cet article tente de répondre aux questionnements suivants : comment les travailleurs sociaux préviennent, repèrent les maltraitances, et interviennent dans ces situations ? Comment interagissent-ils avec l'enfant et avec les parents, et à quelles difficultés peuvent-ils être confrontés ?
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3244, 28 janvier 2022, pp. 24-27.
Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Crèche, Famille, Accompagnement social, Parents, Isolement, Précarité, Lieu de vie, Confiance, Prévention, Adulte en difficulté, Argent, Administration, Implication personnelle, Lien social, Insertion sociale
Depuis le mois d’avril 2021, un nouveau dispositif est expérimenté dans deux crèches de la région Auvergne-Rhône-Alpes. A destination des familles en situation de précarité, il propose un accompagnement socioprofessionnel individualisé au sein même des crèches.
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 345, mars 2021, pp. 29-30.
Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Oralité, Nourrisson, Association, Groupe de travail, Trouble du comportement alimentaire, Alimentation, Parents, Information, Pluridisciplinarité, Outil, Prévention, Goût, Jeu
Le groupe Miam-Miam est né dans l’espoir de réunir des parents et des soignants de toutes fonctions et de différentes régions, confrontés au quotidien aux troubles de l’oralité alimentaire des enfants. L’association a pour objectifs de partager et d’échanger les connaissances, expériences et outils pour mieux faire connaître, prendre en soins et prévenir ces troubles.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3182, 30 octobre 2020, p. 14.
Mots clés : Travail social : Métiers, Technologie numérique, Travailleur social, Accompagnement, Pratique professionnelle, Association, Formateur, Approche globale, Prévention, Jeune, Communication verbale, Parents
S’ils passent une grande partie de leur temps connectés, les « digital natives » n’en restent pas moins vulnérables face aux outils numériques. Souvent moins agiles qu’eux, les travailleurs sociaux peinent à les accompagner dans leurs pratiques. Certaines associations et formateurs indépendants parviennent toutefois à développer de nouvelles approches.
Article de Olga Kasatkina, Laurent Lima, Nadia Nakhili
Paru dans la revue Vie sociale, n° 29-30, 1-2/2020, pp. 55-71.
Mots clés : Ecole-Enseignement, Université, Orientation scolaire, Prévention, Échec scolaire, Compétence, Parents, Classe sociale, OVE (Observatoire national de la vie étudiante)
Les étudiants dont les parents n’ont pas fait d’études supérieures, dits étudiants de première génération, ont-ils les mêmes chances de réussir à l’université que les autres étudiants ? Des travaux internationaux montrent que ce n’est pas le cas aux États-Unis, au Canada ou en Belgique. Cependant, cette question n’est pas tranchée en France. Nous étudions donc la réussite des étudiants de première génération en France à partir de quatre enquêtes de l’Observatoire de la vie étudiante menées entre 2006 et 2016. Nos analyses montrent que les étudiants de première génération ont moins de chances de réussir leur première année universitaire que les autres étudiants et que cette moindre réussite s’explique par des caractéristiques scolaires plus défavorables à l’entrée à l’université. De plus, les faibles variations observées entre les différentes vagues d’enquête, alors que le plan réussite en licence a été mis en place dès 2008, montrent que les actions destinées à augmenter la réussite à l’université n’ont pas amélioré la réussite des étudiants de première génération, bien qu’elles semblent avoir augmenté l’accès à l’enseignement supérieur. Il semble que le statut d’étudiant de première génération peut être un critère pertinent pour cibler des actions de prévention de l’échec à l’université sur les publics les plus vulnérables.
Paru dans la revue Dialogue, n° 228, 2e trimestre 2020, pp. 39-60.
Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Sexualité, Information sexuelle, Conseiller conjugal, Prévention, Affectivité, Groupe de parole, Égalité, Santé, Parents, École primaire, Collège, Enfant handicapé, MAS, Foyer d'accueil médicalisé, Établissement social et médicosocial, ESAT, Accompagnement
Formées au conseil conjugal et familial dans une approche psychanalytique, deux conseillères conjugales et familiales montrent comment cette formation colore leur accompagnement à la vie affective, relationnelle et sexuelle et à son « éducation », prévue par la loi en milieu scolaire et en milieu spécialisé. Elles partagent ce qui les a guidées pour construire des projets spécifiques, au-delà de la simple prévention/information, allant souvent jusqu’à la mise en place de groupes de parole dédiés à l’EVARS. Elles décrivent leurs expériences aussi bien avec les jeunes et les usagers qu’avec les professionnels, les familles, les structures.